En Discipline positive, en parle beaucoup des choses à l'avance. Réfléchir avec l'enfant à ce qu'il faut faire pour que telle ou telle situation se passe bien, à ce qui se passera si ça se passe mal, mais aussi à se mettre d'accord sur ce que l'on attend de lui.
Par exemple, ne dites pas « va te coucher », dites : « tu préfères aller te coucher maintenant, ou dans dix minutes ? » Il faut lui donner des choix à faire, afin de lui laisser avoir un sentiment de contrôle sur sa vie et sur son destin.
Il faut qu'il y ait un apprentissage suite à un comportement ou une attitude inacceptable. Les conséquences doivent avoir un lien avec le geste. Contrairement à la punition qui elle, est souvent de mettre à l'écart l'enfant, ce qui constitue un moyen rapide d'éloigner ou de mettre fin à un problème.
En restant calme, la situation présente moins d'intérêt pour lui et il se fera plus docile. Si votre enfant est turbulent, demandez-vous si vous lui laissez la possibilité de se poser de temps en temps. Souvent, on rentre de l'école, on fait les devoirs, on prend la douche, on mange, on joue une demi-heure et au lit.
Établissez des limites raisonnables. Acceptez les comportements appropriés pour leur âge. Imposez les conséquences immédiatement pour les jeunes enfants. Autant que possible, évitez les émotions quand vous imposez des conséquences.
Des experts ont démontré que les enfants de 3 ans piquaient des colères encore plus terribles, et selon des études récentes, elles seraient engendrées par le temps qu'ils passent devant les écrans… Deux ans, l'âge redoutable et redouté par les parents du fait des nombreux caprices que font leurs bambins !
Rester calme, mais ferme face à l'insolence
Faites-lui entendre que vous saisissez ce qu'il ressent, sa colère ou sa frustration en lui disant par exemple : « je vois que tu es énervé ». Dialoguez avec votre enfant pour tirer la situation au clair tout en faisant preuve de fermeté.
Garder le calme : l'enfant rebelle fera tout pour vous provoquer. Il est important de rester calme, quel que soit votre tempérament. Essayez de discuter calmement avec lui. Vous mettre en colère, ne fera qu'encourager son côté rebelle.
Un enfant caractériel lutte pour le respect. Si vous le lui offrez, il n'a pas besoin de se battre pour protéger sa position. Cela l'aide de se sentir compris. Si vous voyez les choses de son point de vue et pensez qu'il a tort, vous pouvez toujours lui offrir votre empathie et essayer de faire un compromis.
Exemples : Réparer ce qu'on a cassé, remettre en place ce qu'on a dérangé, nettoyer ce qu'on a sali. Ou bien supprimer une heure de la prochaine sortie si l'ado est rentré une heure en retard sur l'horaire prévu. Chacun juge de ce qui est important dans le cadre familial.
Essayez la sanction du coin.
Cette punition n'est plus très courante, car l'isolement peut être frustrant. Cependant, cette sanction permet aux enfants d'éviter des situations de stress. Si vous soupçonnez qu'un de vos élèves se comporte mal parce qu'il est stressé ou épuisez, dites-lui d'aller au coin.
Un pédopsychiatre est un médecin spécialisé en psychiatrie de l'enfant et de l'adolescent. Il peut prescrire des médicaments à la différence d'un psychologue. Dépression, troubles alimentaires, addictions aux smartphones, enfants qui refusent le "non"... Il accompagne parents et enfants dans de nombreuses situations.
Pour obtenir l'attention de votre enfant, mettez-vous à sa hauteur et regardez-le dans les yeux pour lui parler. Il est parfois nécessaire de lui toucher l'épaule ou la main pour avoir toute son attention. Vous pouvez ensuite exprimer clairement votre demande et dire, par exemple: « Amélie, regarde-moi.
Dans l'enfance, un trouble d'opposition / provocation apparaît habituellement pour l'une des raisons suivantes: L'enfant n'est pas reconnu par ses parents dans ses besoins, dans son individualité et dans sa recherche d'autonomie. L'enfant et ses parents n'ont pas réussi à établir un lien de confiance mutuelle.
Le manque de respect au travail peut être lié à des émotions comme la colère, la tristesse, mais également la joie ou la peur. En effet, la colère conduit une personne à ne pas se sentir respectée. La tristesse traduit un état de manque.
Pourquoi fait-il ça ? Il arrive à l'âge où il prend conscience de son individualité, il sait qu'il ne pense pas toujours comme ses parents ou comme les autres adultes, il cherche à former sa propre personnalité en vous montrant qu'il ne suit pas vos règles.
La période des « fucking fours » est principalement caractérisée par des crises de colère, des négociations, de la bouderie, des paroles blessantes envers l'adulte et de la confrontation face aux limites instaurées par l'adulte.
Sanctionner, contrairement à "punir son enfant", doit permettre d'apporter du soulagement, de la reconnaissance à celui qui a subi un préjudice et à celui qui a enfreint la règle. Il a alors l'occasion de s'apaiser, de se racheter et se faire pardonner.
La punition positive
En d'autres termes, il s'agit de lui donner quelque chose qu'il n'aime pas. Le stimulus désagréable utilisé pour sanctionner un mauvais comportement peut consister à accomplir une action, à rendre un objet, à transmettre une émotion, etc. Voici quelques exemples de punitions positives : Crier.
Quand votre enfant n'obéit pas, au lieu de répéter et de vous impatienter, agissez. Votre enfant ajuste toujours son temps de réaction à votre degré de tolérance. Si vous répétez toujours une chose 10 fois avant d'agir, il règle son horloge mentale à 10.