Soyez tous les deux d'accord sur l'attitude à adopter. Il est important que vous soyez tous les deux fâchés contre elle. Il faut que votre fille sente que vous, sa mère, êtes du côté de votre mari et non pas de son côté à elle, que vous ne le serez pas aussi longtemps qu'elle ne respectera pas son père.
Entre un père et une fille s'installe une relation faite d'amour, de tendresse et d'admiration. Le père doit l'encourager et la soutenir. Il lui montre le monde extérieur et l'aidera aussi à s'ouvrir à la vie professionnelle, personnelle et amoureuse.
La réconciliation. Si parents et enfants n'arrivent pas à se réconcilier, ils peuvent faire appel à un médiateur. Il peut s'agir d'un membre de la famille qui jouit de la confiance de chacun, d'un professionnel ou d'un thérapeute.
Les causes de l'agressivité
Un enfant agressif peut l'être parce qu'il se sent rejeté, en manque d'attention. L'arrivée d'un bébé dans la famille, par exemple, peut être source d'angoisse et de frustration. Il peut dès lors développer de la colère et adopter un comportement qui attirera l'attention sur lui.
De nombreuses raisons poussent un père à rejeter ses enfants. Les principaux sont : Problèmes psychologiques tels que l'alcoolisme, la dépression ou un trouble mental. Mauvaise relation avec la mère de l'enfant ou divorce.
Appelez la police si vous êtes en danger immédiat. Si votre père vous menace de vous faire du mal ou d'en faire à un autre membre de votre famille, vous ne devez pas hésiter à appeler la police. Ne croyez jamais qu'il va se calmer ou qu'il ne va pas faire ce qu'il dit.
Des techniques pour renouer le dialogue
Être sincère dans sa démarche ; Faire preuve de bienveillance envers l'autre ; Accepter de faire preuve de souplesse pour accueillir les arguments du partenaire ; Pardonner sincèrement, sans arrière-pensée, pour éviter de refaire surgir la frustration.
Et pour aller plus loin ensemble, s'exprimer et se confier l'un à l'autre est nécessaire. Comprendre le mal qu'ils peuvent se faire mutuellement simplement avec des mots n'est pas facile. Mais c'est un passage obligé pour eux et pour le bien de leur couple. « Il faut parler et mettre des mots, explique Claire.
Pour discuter avec ton père, prends rendez-vous
Ça sous-entend « ce jour-là, à cette heure-là, j'aimerais bien qu'on se parle, toi et moi ». Ça n'est pas négligeable. Ça vous permet à tous les deux de vous préparer, de savoir de quoi vous allez parler.
Un bon père est présent aux côtés de son enfant pour tisser des liens privilégiés et partager des moments de complicité : faire des câlins, donner le bain... Il le rassure, le protège et le réconforte tout en l'aidant à devenir autonome. Il pose des limites et des interdits de manière positive.
Elle veut qu'elle soit irréprochable, performante, aimée. Ses critiques peuvent aussi résulter de sa propre anxiété: elle a tellement peur que sa fille soit jugée par d'autres et elle veut tellement la préserver des coups qu'elle les porte elle-même en se disant que, venant d'elle, ça fera moins mal.
Réfléchissez avant de parler
Même si vous vous sentez proche de votre enfant, être complètement honnête n'est pas toujours la meilleure façon de l'aider. Écoutez d'abord. Parlez ensuite comme si c'était un ami.
L'importance du père au sein de la famille est essentiel au bon développement de l'enfant. C'est le père qui s'interpose entre la mère et le tout petit enfant et il permet ainsi à un bébé de développer ainsi sa propre identité.
"Un parent toxique, c'est un parent qui a été dominateur, critique, méprisant, manipulateur ou plus simplement démissionnaire et incapable d'offrir le moindre soutien à son enfant. Ces parents ne sont pas forcément coupables de sévices ou d'abus sexuels", définit au préalable la psychothérapeute.
Quand un des parents manipule les enfants pour détruire l'image de l'autre, cela s'appelle "le syndrome de l'aliénation parentale". Un concept psychiatrisant qui décrit un conflit de loyauté souvent ordinaire. C'est le dernier concept psychiatrisant en vogue.
Je t'aime si fort ! Ces simples mots ont une telle portée ! Depuis ta naissance, il n'est pas un jour sans que je pense à toi, ma bichette (oui, je ne peux pas m'empêcher de t'appeler ainsi, Blandine). Je t'aime si fort : mon cœur de maman n'a jamais cessé d'être tout tourné vers toi.
Pour qu'on puisse couper le cordon, notre mère doit accepter de nous laisser partir. Pas toujours simple! «Il y a parfois beaucoup de pression pour que la fille rentre dans le rang, et ce, à n'importe quel âge, car dans son vécu psychologique, la mère considère toujours sa fille comme son enfant.