La démarche d'élaboration de la grille d'évaluation comporte globalement cinq principales étapes : le choix des critères d'évaluation, le choix de l'échelle d'appréciation, la définition de la façon dont le jugement global sera portée, l'assemblage de la grille et son expérimentation.
Pour improviser, on utilisera donc des gammes, mais pas seulement : à chaque nouvel accord qui est joué, on veillera à jouer des phrases qui contiennent le plus possible de notes de cet accord. Ces notes sonneront à coup sûr ! Pour chaque grille donc, on analysera : Les gammes de la grille.
Une façon simple de le vérifier sans se prendre la tête avec la théorie, c'est quand vous commencez à improviser dessus : si vous êtes en La mineur, c'est sur la tonique (ici la note La) de la gamme de La mineur que vous aurez tendance à insister et à démarrer ou conclure vos phrases.
Pour connaître la tonalité de votre morceau, commencez par repérer le dernier dièse de l'armature. Par exemple, si vous avez 3 dièses à la clef, il s'agira du sol dièse. Ajoutez alors un demi ton, ce qui vous donne La. Vous êtes donc en La Majeur.
Pour trouver la gamme majeure quand il y a des dièses, on prend la note située un demi-ton au-dessus du dernier dièse. Ici, Ré # + 1 demi-ton => Mi. La gamme correspondante est donc Mi majeur. II- Deux possibilités de tonalité : soit Mi majeur, soit Do # mineur.
Il est important de connaître la tonalité d'un morceau et l'armure vous y aidera, l'armure étant les dièses ou les bémols présents à la clef. Selon elle, vous pourrez ainsi définir une gamme majeure ou mineure. Par exemple, si il n'y a qu'un dièse à la clef (Fa dièse), on est alors en Sol majeur ou en Mi mineur.
La grille comporte 3 lignes de 4 cases. Chaque case représente une mesure dans laquelle figure un accord. Les degrés sur lesquels se construisent sont symbolisés par les chiffres romains et les accords eux mêmes par les chiffres arabes.
Dans la musique tonale, la dominante désigne le cinquième degré d'une gamme. Quel que soit le mode — gamme majeure ou gamme mineure — ce degré est toujours situé une quinte juste au-dessus du degré principal, la tonique, soit, une quarte juste en dessous, conformément à la règle des renversements.
La gamme majeure
C'est la gamme la plus importante. Elle est utilisée partout comme référence, pour le chiffrage des degrés par exemple.
Pour improviser, il faut acquérir certaines compétences: avoir une bonne oreille pour traduire ce que l'on imagine par des gestes sur l'instrument. avoir de l'imagination pour créer des mélodies dans sa tête avant de les jouer sur l'instrument. savoir écouter l'accompagnement et l'intégrer dans son improvisation.
défini six critères d'évaluation (pertinence, cohérence, efficacité, efficience, impact et viabilité/durabilité) et deux principes d'utilisation. Ces critères sont destinés à guider les évaluations.
L'évaluation sommative a pour objectif de mesurer les acquis des apprenants. Cette modalité peut être utilisée en amont ou en aval de la formation. En amont, elle peut servir à mesurer les prérequis des apprenants, afin de leur proposer un parcours de formation correspondant à leur niveau.
Cette structure en 12 mesures, aussi appelée Blues en 12 mesures est composée de 3 accords : Le Premier degré (I) de la gamme. Le Quatrième degré (IV) de la gamme. Le Cinquième degré (V) de la gamme.
Dans sa forme la plus simple, un blues est d'une longueur de douze mesures divisées en trois phrases de quatre mesures (généralement AAB), principalement basé sur les degrés I, IV et V (tonique, sous-dominante, dominante). Les gammes blues y sont fréquemment utilisées.
Ainsi pour la gamme de mi on obtient mi / sol / la / si / ré / mi. Cette gamme se joue autant sur des blues mineurs que majeurs ; même si en majeur on peut utiliser aussi la gamme pentatonique majeure suivante : 1 ton, 1 ton, 1 ton et demi, 1 ton, 1 ton et demi, soit en mi : mi / fa# / sol# / si / do# / mi.
Cet ordre des noms des notes est très connu mais il faut aussi le connaître ans l'ordre inverse, donc de l'aigü vers le grave : Do, Si, La, Sol, Fa, Mi, Ré et Do. C'est une évidence : une mélodie peut aller du grave vers l'aigü mais aussi l'inverse. Donc la lecture se fait dans les deux sens.
Pour reconnaître facilement les accords, entraînez-vous à la reconnaissance harmonique. Il existe 5 principales familles : majeur, mineur, suspendu, puissance et de 7e. Exercez-vous à reconnaître le type d'accord joué avant d'essayer de l'identifier avec précision. Entraînez-vous ensuite à les jouer.
Les accords de trois notes
Au sein d'une tonalité, chaque note est considérée comme un degré à partir duquel on peut former un accord. Pour cela, il faut procéder par empilement de tierces en sélectionnant une note sur deux parmi les notes disponibles dans la tonalité.
Construction. Ces altérations, appelées altérations constitutives, dont le nombre peut varier d'un à sept, se succèdent dans l'ordre du cycle des quintes : Ordre des dièses, par quintes ascendantes : fa, do, sol, ré, la, mi, si.
Trouver la tonalité de l'œuvre
Vous prenez le dernier dièse dans l'ordre des dièses et vous lui rajoutez un demi-ton : Avec vos 3 dièses, le dernier dièse est SOL♯ Vous rajoutez un demi-ton : SOL♯ + 1/2 ton = LA.
Quand il n'y a qu'un dièse (Fa#) à la clé, la tonalité sera «Sol Majeur» ou «Sol Ionien». Pour trouver la tonalité majeure, il suffit de monter d'un demi-ton le dernier dièse: Fa# + 1/2 ton = Sol. Pour trouver la relative mineure, il faut descendre de 1,5 ton (d'une tierce mineur en-dessous).