Un trouble cognitif peut avoir diverses causes : vieillissement, traumatisme cérébral, maladie, etc. Lorsqu'elle est liée à l'âge, cette dégradation des capacités reste le plus souvent modérée et n'évolue pas fatalement vers la démence.
Un trouble cognitif peut avoir une origine neurologique, psychiatrique, médicamenteuse, etc. Un trouble neurocognitif (TNC) : une réduction acquise, significative et évolutive des capacités dans un ou plusieurs domaines cognitifs.
Les personnes atteintes d'un trouble cognitif léger (communément abrégé « TCL ») ont des problèmes de mémoire, de langage, de raisonnement ou de jugement qui sont plus importants que les altérations cognitives liées au vieillissement normal.
Il s'agit d'un ensemble de symptômes d'origine cérébrale que l'on retrouve généralement dans les maladies neurodégénératives, comme la maladie d'Alzheimer. Les troubles cognitifs peuvent toucher une ou plusieurs fonctions intellectuelles telles que la mémoire, la perception, la coordination et le raisonnement.
La stimulation de la puissance du cerveau et l'atténuation des déficits cognitifs chez les patients atteints d'Alzheimer peuvent être une réussite grâce aux six activités approuvées par la science : la lecture, les casse-tête et jeux de mots, l'art-thérapie, la cuisine, le yoga et les exercices physiques.
Placez-vous en face de la personne, positionnez-vous au même niveau, établissez un contact visuel et restez immobile pour qu'elle puisse se concentrer sur vous. Réduisez les distractions. Amenez la personne dans un endroit calme si c'est possible. Cela peut être rassurant et l'aider à mieux vous comprendre.
Le déclin cognitif apparait dès 45 ans.
Comment le test des 5 mots décèle-t-il la maladie d'Alzheimer ? Le test de Dubois consiste à montrer au patient une liste de 5 mots et à lui demander de les répéter immédiatement, puis de recommencer l'exercice après 5 minutes.
Dans certaines situations, il est possible de traiter et de guérir un trouble cognitif. Dans le cas d'une démence en revanche, on ne peut que ralentir le processus de dégénérescence. On constate toutefois qu'une déficience cognitive légère peut précéder l'apparition de la démence.
Demandez à la personne d'écrire les chiffres aux bons endroits. Demandez-lui ensuite de tracer les aiguilles de l'horloge pour qu'elles indiquent 21 h 15. (Si la personne n'est pas familière avec le système 24 h, dites-lui plutôt « 9 heures et quart ».)
changement d'humeur et de comportement. perte de coordination motrice. désorientation dans le temps et l'espace. difficulté à effectuer les tâches quotidiennes.
Le trouble cognitif léger est un état clinique caractérisé par des problèmes de mémoire, du langage, de la pensée ou du jugement qui sont plus graves que ce à quoi on pourrait s'attendre dans le cas d'un vieillissement normal.
Bien que la maladie d'Alzheimer soit le trouble neurocognitif le plus répandu, il en existe d'autres types, comme : La maladie de Creutzfeldt-Jakob. Les dégénérescences fronto-temporales.
Le diagnostic d'un trouble cognitif
Le diagnostic du trouble cognitif s'effectue par son médecin, psychiatre ou neurologue.
Certains enfants autistes comprennent beaucoup plus qu'ils ne peuvent dire avec des mots ou avec des gestes, et on pense à tort qu'ils ont une faible intelligence. C'est pourquoi il est difficile d'évaluer les compétences cognitives des personnes autistes.
Des gestes du quotidien vous permettent de stimuler vos compétences cognitives. C'est par exemple le cas de la lecture. Elle sollicite la mémoire et les capacités d'apprentissage et de concentration. De même, l'utilisation d'un ordinateur ou d'une tablette est bénéfique.
détresse psychologique : stress, anxiété, syndrome dépressif, fatigue importante, vécu douloureux ; manque de sommeil ou sommeil de mauvaise qualité comme dans le syndrome d'apnées du sommeil ; carences nutritionnelles en vitamines, alcoolisme...
Face à des troubles de mémoire soudains et associés à d'autres symptômes, une consultation est urgente. Sinon en cas de pertes de mémoire persistantes et gênantes, un bilan est nécessaire. Les capacités de mémorisation peuvent être augmentées par une stimulation intellectuelle et des relations sociales.
Les principaux facteurs de risque de chutes observés chez les sujets ayant des troubles cognitifs sont les troubles de l'équilibre et de la marche, les anomalies de la vision, la malnutrition, les effets iatrogènes médicamenteux, la peur de tomber, l'instabilité neurocardiovasculaire (en particulier l'hypotension ...
Plusieurs causes peuvent être à l'origine de la palilalie : Dans la majeure partie des cas, la palilalie résulte d'un dysfonctionnement de l'articulateur. L'articulateur rassemble les organes qui intervient dans la production de la parole et comprend les lèvres, la langue, le larynx et le pharynx.