Gendre Epoux de la fille, par rapport au père et à la mère de celle-ci. Grand-mère Mère du père ou de la mère. Grand-oncle Frère du grand-père ou de la grand-mère.
1. Gendre. 1. Mari de la soeur ou de la belle-sœur.
Georges, le mari de ma mère (mon beau-père), était [...]
Les beaux-parents, eux, sont le père et la mère de l'autre conjoint, tandis que la belle-famille est celle du conjoint. Un beau-petit-fils et une belle-petite-fille sont les enfants d'un gendre (beau-fils) ou d'une bru (belle-fille).
Utiliser le nom belle-mère ou belle-maman
Après le second mariage de leur parent plus précisément celui du père, certains enfants selon leurs ressentis peuvent appeler la deuxième femme de leur père « belle-mère » ou « belle maman ».
Bonsoir, Le mari de la belle-soeur est soit le frère, soit le beau-frère: J'ai un frère dont la femme est ma belle-soeur. Mon mari a un frère, donc mon beau-frère et sa femme est ma belle-soeur.
Deuxième épouse du père. Synonyme : – Vieux : marâtre.
Gendre Epoux de la fille, par rapport au père et à la mère de celle-ci. Grand-mère Mère du père ou de la mère. Grand-oncle Frère du grand-père ou de la grand-mère.
Le mari de ma nièce est bien mon neveu par alliance, et ce lien tante-neveu ou oncle-neveu dure le temps de l'engagement de l'alliance qui nous lie, normalement pour la vie.
(Famille) Fille née d'un lit antérieur de l'un ou de l'autre des deux époux. C'est votre belle-fille, vous avez épousé son père.
Comprendre mon lien de parenté avec le mari de ma tante
On dit qu'elle est votre parent au troisième degré. Lorsqu'elle se marie, son époux devient alors votre oncle par alliance. S'ils ont des enfants, le mari de votre tante devient le père de vos cousins et cousines.
Beau-frère : Mari de la sœur ou de la belle-sœur. Frère du mari ou de la femme. Beau-père : Père de la femme par rapport au mari. Second mari de la mère par rapport aux enfants de celle-ci.
Les liens de parenté par filiation
Les parents, les frères et les sœurs ainsi que leurs descendants (neveux et nièces du défunt). Les ascendants autres que les parents (grands-parents et arrière-grands-parents du défunt). Les collatéraux ordinaires (oncles, tantes, cousins, cousines du défunt).
PETIT-COUSIN, subst. masc.,PETITE-COUSINE, subst. fém. Fils, fille du cousin, de la cousine par rapport au fils, à la fille d'un cousin ou d'une cousine.
Étymologie de « belle-sœur »
(Date à préciser) Composé de belle, terme de courtoisie et d'affection, féminin de beau, et de sœur.
Le beau-père et la belle-mère et leur gendre ou bru sont alliés en ligne directe. Il existe aussi un lien d'alliance entre les enfants d'une précédente union et le nouveau conjoint du père ou de la mère. Ils sont appelés le parâtre ou la marâtre et le beau-fils ou la belle-fille.
Fille du frère ou du beau-frère, de la sœur ou de la belle-sœur.
Définition - belle-soeur.
Nom commun
Demi-frère du père ou de la mère. d'une personne. On est pour son demi-oncle un demi-neveu ou une demi-nièce.
Les beaux-parents, eux, sont le père et la mère de l'autre conjoint, tandis que la belle-famille est celle du conjoint. Un beau-petit-fils et une belle-petite-fille sont les enfants d'un gendre (beau-fils) ou d'une bru (belle-fille).
Nom commun
Lien de parenté entre deux enfants dont les parents sont cousins, enfants qui sont donc cousin au second degré, cousin issu de germain. Note : Dans cet usage, le degré de cousinage augmente d'une unité pour chaque répétition du « arrière- ».
Fils du frère ou du beau-frère, de la sœur ou de la belle-sœur, par rapport à l'oncle ou à la tante.
Les termes « marâtre » et « parâtre » ont pris dans le langage courant une connotation péjorative, et on leur préfère donc les termes de « beau-père » et « belle-mère ». Marâtre est devenu synonyme de « mauvaise mère », y compris pour désigner une « mauvaise » mère biologique.
nouvelle femme du père ou de la mère, pour les enfants d'un mariage antérieur. On dit aussi, avec une connotation péjorative, « marâtre », ou à l'opposé avec une appellation affectueuse « belle-maman ».
Le 'beau' était l'équivalent de 'cher', comme lorsque l'on dit aujourd'hui 'cher monsieur' ou 'cher ami'. Au 13ème siècle déjà, quand Saint-Louis s'adressait à son fils, il disait mon "biau fils". Au 14ème siècle, on emploie facilement le terme de 'bon père' et 'bonne mère' pour désigner ses parents.