"Il nous arrive à tous de ne pas terminer nos phrases. Il suffit de penser à autre chose, d'être fatigué… En revanche, chez les patients atteints d'aphasie, il y a des troubles comme des mots déformés, le manque de mots, des troubles de compréhension…et un trouble important qui est la maîtrise de la syntaxe.
Problèmes de langage
Une personne atteinte de la maladie d'Alzheimer peut oublier des mots faciles ou les substituer par des mots qui rendront ses phrases difficiles à comprendre. Il lui arrive aussi de ne pas terminer ses phrases. Déjà à ce stade de la maladie, il arrive parfois que le malade devienne très taciturne.
Psittacin, -ine, adj. Qui répète machinalement.
Il peut s'agir de l'aphasie mais ça peut aussi provenir d'une toute autre cause. Une cause par exemple motrice, une maladie musculaire, une maladie des nerfs moteurs qui empêche la prononciation des consonnes. Il faut donc un diagnostic neurologique.
Le mot juste : volubile, bavard, prolixe…
Les paraphasies : quand la personne aphasique se trompe de mot (ex. : «Passe-moi mon manteau», alors qu'elle veut dire « chapeau ») ou qu'elle déplace les sons dans un mot (ex.: «tévélision» pour «télévision»), on dit qu'elle fait des paraphasies.
L'anosognosie signifie l'absence de prise de conscience ou une prise de conscience amoindrie des troubles. Elle est fréquente chez les patients souffrant de maladie d'Alzheimer ou d'autres types de démences.
Répétition de un ou de plusieurs mots, de syllabes, d'onomatopées, sur un rythme parfois très rapide, dans les démences, les troubles schizophréniques et certaines affections neurologiques.
L'aboulie est un trouble psychique qui se caractérise par une absence ou une diminution de la volonté. Ce trouble est le plus souvent présent au cours d'une maladie psychiatrique. Son traitement associe psychothérapie et médicaments.
Le trouble primaire du langage oral, ou la dysphasie, est un trouble neurodéveloppemental du langage qui affecte la compréhension et/ou l'expression d'un message verbal, peu importe la modalité de présentation, langage oral ou écrit.
On parle d'aphasie quand un individu a perdu totalement ou partiellement la capacité de communiquer, c'est-à-dire de parler ou de comprendre ce qu'on lui dit.
La dysarthrie est une incapacité à articuler les mots de façon normale. L'élocution peut être saccadée, hachée, chuchotante, irrégulière, imprécise ou monotone, mais les personnes peuvent comprendre le langage et l'utiliser correctement.
Le manterrupting (fusion des mots anglais man et interrupting, traduit en français par hommeterruption ou mecterruption) est un néologisme féministe américain qui désigne le comportement consistant, pour un homme, à couper la parole à une femme lors de discussions ou de débats en raison du genre de son interlocutrice.
Ce que je vous conseille plus généralement, c'est surtout de réagir avec calme, fermeté et bienveillance, même si la personne en face de vous ne fait que vous interrompre. Vous lui montrerez que votre parole a de la valeur et qu'il doit aussi vous écouter. Mais ne prenez pas tout non plus personnellement.
Voilà donc une phobie bien étrange: celle du verre vide. En sont atteint majoritairement les personnes pessimistes (celle qui voient toujours un verre à moitié vide) , souffrant d'un trouble obsessionnel compulsif s'empressant de le remplir pour aussitôt le vider.
La tachypsychie pourrait se scinder en deux composantes : les « pensées accélérées » et les pensées dites « grouillantes ». Dans un état hypomane, la tachypsychie semble être caractérisée par des « pensées accélérées » résultant d'une production d'idées excessives se succédant les unes après les autres.
Impulsion à proférer des termes orduriers, de nature scatologique ou sexuelle.
Une personne logorrhéique ressent un besoin intarissable de parler. Son flux de paroles est précipité, diffus et continu. Ce flot de parole continu est souvent associée à une tachyphémie, c'est-à-dire à une accélération progressive du débit d'élocution et du rythme du cours de la pensée.
Les personnes atteintes souffrent généralement de troubles de l'équilibre (démarche titubante, dite « pseudo-ébrieuse »), de troubles de la coordination des mouvements et de problèmes d'élocution (parole scandée, explosive et mal articulée).
Non seulement nous ressentons de la colère, de la tristesse, de la douleur, mais aussi un sentiment de trahison, un désir de vengeance, D'ailleurs, le risque de sombrer dans une dépression existe, d'où le fait qu'il est important de rechercher du soutien.
Les femmes trompent de plus en plus, mais beaucoup moins que les hommes. C'est ce qui ressort d'un sondage Ifop*, cornaqué par la plateforme Gleeden.com, spécialisée dans les rencontres adultères.