Il fait partie de ces très rares individus dotés d'hyperthymésie (ou hypermnésie autobiographique). En anglais, on appelle HSAM (Highly superior autobiographical memory) ces personnes ayant des capacités hautement supérieures à la moyenne en termes de mémoire autobiographique.
L'hypermnésie (du grec huper, « avec excès », et "Μνήμης", « mémoire »), appelée également exaltation de la mémoire, se caractérise par une mémoire autobiographique extrêmement détaillée et un temps excessif consacré à se remémorer son passé pour certains et beaucoup de temps pour construire son futur pour d'autres.
Et cela possède un nom, l'hypermnésie, qui est le contraire de l'amnésie, dont la définition dans le Larousse est le fait d'avoir une "acuité spéciale de la mémoire".
Cette caractéristique, génétique, est plus ou moins intense. Vous pourriez ainsi être hypermnésique sans le savoir, si vous avez l'impression de vous souvenir d'énormément de choses, et que votre entourage vous dit aussi souvent que vous avez une mémoire incroyable.
Il est impossible de devenir hypermnésique, mais il existe bien évidemment des moyens pour améliorer ses capacités de mémorisation. En effet, la mémoire est semblable à un muscle qu'il faut travailler et exercer afin d'améliorer ses compétences.. L'autre moyen est celui de développer des moyens mnémotechniques.
L'hypermnésie est un syndrome caractérisé par une mémoire exceptionnelle. L'hypermnésie autobiographique ou hyperthymésie, rare, engendre la capacité de se souvenir très précisément et sans effort de chaque jour de sa vie à partir d'un moment spécifique de son enfance.
Les médicaments qui agissent sur le cerveau, comme les anxiolytiques, les antidépresseurs, mais aussi les somnifères. En modifiant la manière dont les neurones communiquent, ils perturbent la mémoire et la concentration. Le stress.
La logique et l'intelligence reposent en partie sur la mémoire, car il faut avoir acquis des connaissances pour résoudre des problèmes ou créer. Comme le disait Picasso, la peinture c'est comme le chinois, ça s'apprend.
Ayez une activité physique régulière. Limitez ce qui peut détourner l'attention durant vos phases de mémorisation, par exemple, évitez de faire plusieurs choses à la fois. Buvez beaucoup d'eau et très peu d'alcool !
Ces troubles peuvent survenir à cause d'une maladie affectant la mémoire. Ils peuvent également être d'origine émotionnelle. Stress, fatigue, anxiété peuvent altérer la capacité à mémoriser, de même qu'une alimentation carencée, un problème d'alcoolisme, un excès de médicaments ou une fatigue excessive.
l'amnésie rétrograde caractérisée par l'oubli des souvenirs antérieurs au début de la maladie, c'est-à-dire des faits anciens ; l'amnésie antérograde se traduisant par l'oubli des événements au fur et à mesure qu'ils se présentent.
Pourquoi certains ont-ils une mémoire plus performante? Il est probable que l'inégalité devant la mémoire a des fondements génétiques. Dans certaines familles, on retrouve plus fréquemment des individus disposant d'une bonne capacité de mémorisation. Mais, pour l'instant, rien n'a été démontré scientifiquement.
Trouble neurologique caractérisé par des fausses reconnaissances ou des faux souvenirs perçus comme réels.
La majorité des adultes situent leurs premiers souvenirs d'enfance entre 3 ans et 4 ans. Avant cela, ils ont presque tout oublié. C'est ce qu'on appelle l'amnésie infantile. En fait, vers 8 mois, les bébés sont capables d'avoir quelques petits souvenirs.
Peut-on se rappeler, par exemple, de sa naissance ? « Non, c'est impossible », répond sans hésiter le neuro-psychologue Francis Eustache, « car les structures cérébrales qui servent à fabriquer les souvenirs ne sont pas encore matures ».
Lorsqu'une personne a une mémoire kinesthésique, les gestes doivent primer dans son apprentissage pour stimuler sa concentration. Son corps retient les informations, car en quelque sorte, un kinesthésique se souvient de ce qu'il fait. Pour travailler sa mémoire, le kinesthésique doit effectuer des mouvements.
Vous vous souvenez de la plaque d'immatriculation, du prénom du chat de votre voisin lorsque vous étiez enfant, mais vous ne parvenez pas à vous rappeler du contenu de votre dernière assiette ? Ce phénomène n'a rien de pathologique, il est même parfaitement normal : c'est ce qu'on appelle la mémoire sélective.
L'oubli est un élément essentiel à l'intelligence humaine car il permet de se concentrer sur ce qui est important. Une mémoire efficace ne se conçoit pas comme une accumulation de données : la conservation d'informations trop précises peut en effet s'avérer contre-productive.
La vitamine C et la vitamine D protègent le cerveau contre le stress oxydatif et le déclin cognitif. Les vitamines du groupe B favorisent l'absorption du glucose par l'organisme et le transport de l'oxygène, et aident à la fabrication de certains neurotransmetteurs.
La mémoire n'aime pas non plus les graisses saturées.
Ce sont toutes ces mauvaises graisses, celles qui se transforment en mauvais cholestérol. Il vient se coller contre les parois des artères : fatalement, le sang circule moins bien, le cerveau est moins bien irrigué et la mémoire flanche un peu.