Maison de prostitution réglementée par l'autorité publique, dite aussi maison close, et familièrement bordel et lupanar.
En fait, les maisons closes fonctionnent avec des jetons. Elles font frapper des pièces de métal avec leur nom et leur adresse (ça fait de la pub au passage), et ce sont ces jetons que les clients vont acheter auprès de la tenancière ou de la personne qui les accueille à l'entrée.
La loi du 13 avril 1946 tendant à la fermeture des maisons de tolérance et au renforcement de la lutte contre le proxénétisme, dite loi Marthe-Richard, abolit le régime de la prostitution réglementée en France depuis 1804. Elle impose la fermeture des maisons closes (« maisons de tolérance »).
Étienne Jeaurat, Le transport des filles de joie de l'Hôpital, 1755, musée Carnavalet. À l'époque, ils doivent être signalés par une lanterne rouge et les volets doivent être clos… d'où le nom de maison « close » !
Le 13 avril 1946, la loi Marthe Richard abolissait une institution : le bordel. C'est la fin d'un système datant de 1804 qui donnait une existence légale aux maisons closes, cachant les prostituées pour préserver la morale, à l'ère de la bourgeoisie triomphante.
La prostitution est légale et régulée en Allemagne, Autriche, Grèce, Lettonie, Pays-Bas et Suisse.
13 avril 1946 : la loi dite Marthe Richard ferme les quelque 1 400 maisons closes françaises, dernier acte du combat de la conseillère municipale de Paris contre la réglementation de la prostitution, jugée périmée et immorale. Dans les mémoires, cette victoire est restée celle de Marthe Richard.
Définition "tenancière de maison close"
C'est le 13 avril 1946 que Marthe Richard, une prostituée et conseillère municipale de Paris, obtient l'adoption de sa célèbre loi dont on célèbre les 70 ans aujourd'hui.
Pour ouvrir une maison close, il est cependant nécessaire d'obtenir un permis et de respecter le règlement municipal.
C'est en 1890 aux États-Unis que red light (qui signifie en anglais « lumière rouge » ou « lanterne rouge »), est utilisé pour signifier une zone de commerce de la prostitution. Il dérive de la pratique qu'ont les maisons closes de s'annoncer en allumant une lanterne rouge sur le devant de la maison.
La Villa Tinto accueille quelque 260 prostitué(e)s au centre d'Anvers. Ce concept unique en Belgique leur offre de meilleures conditions de travail. Il séduit aussi certains de nos politiciens wallons et bruxellois…
Un "balance ton porc" du reality-show, porté notamment par Angèle Salentino, Rania ou encore Nathanya Sion, qui témoignaient en avril dernier dans TPMP, tout comme un ex-membre de la production des Anges, resté anonyme.
Lupanar, mot lat. signifiant «maison de prostitution, lieu de débauche» (de lupa «louve» et au fig. «courtisane, prostituée»). Fréq.
La loi française interdit le recours aux services d'une personne qui se prostitue. Le fait d'inciter une personne à se prostituer ou de tirer profit de la prostitution d'un tiers est également interdit.
La ville de Cologne a perdu une de ses institutions : Le Pascha, le plus grand et le plus célèbre bordel du pays. La crise du Covid est passée par là. Pandémie oblige, le Pascha, le plus grand bordel au monde, vient de déposer le bilan.
Vidéo -- C'est depuis hier qu'un établissement pas comme les autres a ouvert ses portes à la Jonquera, à la frontière espagnole. Avec ses 80 chambres et ses 200 prostitués, « Le Paradise » risque bien de faire parler de lui et de s'imposer comme le plus grand bordel d'Europe.
PROSTITUÉ, ÉE, (part.
Définition de prostitué Votre navigateur ne prend pas en charge audio. , prostituée nom. Personne qui se livre à la prostitution. Une prostituée qui fait le trottoir.
Les proxénètes (ou souteneurs), familièrement appelés « maquereaux » ou « mac » pour les hommes, maquerelles pour les femmes, déformation de l'ancien français marfaux, sont taxés de nombreux noms d'oiseaux dans le milieu.
Étymologie. (Nom 1) Attesté, en ancien français, sous la forme maquerel. Le mot se rattacherait à la famille de maquer, mascher, macher (« frapper, contusionner », d'où « tacher »), le maquereau étant un animal tacheté → voir mascheure, « tache » en ancien français.
Monument exclusivement religieux symbolisant la lumière du Christ. Les lanternes des morts étaient situées dans les cimetières, comme ici dans l'ancien cimetière entre l'Eglise Saint Pierre et l'Eglise Madame (aujourd'hui détruite). Elle fut restaurée en 1610 puis à la fin du XIXè siècle.
La lumière se réfléchit sur un miroir et vient frapper une plaque de verre peinte à la main qui est installée à l'envers à l'opposé de la source lumineuse. Par un phénomène optique, la lumière passe par une lentille et rétablit les images à l'endroit. Ces dernières sont projetées sur un mur ou un drap.