En France, les soldats qui combattent sur le front sont appelés les « poilus », sans doute parce qu'ils n'avaient ni le temps ni les moyens de se raser. Pour conserver à tout prix le terrain conquis, les troupes s'enterrent dans des tranchées, parfois fortifiées, qui forment bientôt un labyrinthe boueux.
Poilu est le surnom donné aux soldats de la Première Guerre mondiale qui étaient dans les tranchées. Ce surnom est typique de cette guerre et ne fut utilisé qu'en de rares et exceptionnels cas pendant la Seconde Guerre mondiale.
À l'occasion du 11-Novembre, l'animateur se demande pourquoi les soldats qui se battaient dans les tranchées en 1914-1918 sont appelés "les Poilus".
La guerre de tranchées (novembre 1914-mars 1918)
Il y a les blessés et, parmi eux, ces "gueules cassées". L'expression est du colonel Picot, lui-même mutilé de guerre. Ils sont environ 300 000 en Europe dont 15 000 en France. Ce sont des soldats en état de choc, victimes à la face d'une balle de mitrailleuse ou d'un éclat d'obus.
De tels objecteurs sont généralement considérés comme des pacifistes ou des antimilitaristes. Ils refusent de se porter volontaire à l'appel pour le service militaire, et de servir même s'il y a une conscription.
La vie dans les tranchées se résumait à de longues périodes d'ennui ponctuées de brefs moments de terreur. La menace de la mort obligeait les soldats à être constamment sur le qui-vive alors que les conditions de vie difficiles et le manque de sommeil minaient leur santé et leur endurance.
Le terme ost ou host désignait l'armée en campagne à l'époque féodale et le service militaire que les vassaux devaient à leur suzerain au Moyen Âge. Dès le haut Moyen Âge, le service d'ost ou ost s'imposait à tous les hommes libres (« homines liberi »), appelés plus tard vavasseurs.
En résumé, être poilu signifie être courageux. Avant 1914, le terme a d'ailleurs déjà servi à désigner les soldats de Napoléon durant la campagne de 1805. Le terme « poilu » s'utilise et se diffuse par la presse et le public qui entendent souligner la bravoure de leurs soldats qui partent au front.
Les combattants sont appelés "citoyens" "défenseurs". La liberté et l'amour sacré de la patrie soutiennent leur combat. ce qui soutient leur combat est L'amour sacré de la patrie, de la liberté, et la lutte contre la tyrannie.
Le terme poilus était le surnom des soldats français, durant la Première Guerre mondiale. On pense souvent qu'ils doivent ce surnom au peu de commodité de se raser dans les tranchées, et que leur moustache et leur barbe finissaient par pousser, de sorte qu'ils paraissaient tout poilus.
Les poilus, c'est le surnom donné aux soldats qui ont combattu pendant la Première Guerre mondiale. On les appelait ainsi car ils étaient sales et mal rasés : ils faisaient la guerre dans des conditions extrêmement difficiles.
Crapouillot : surnom donné aux mortiers de tranchée et, par extension, à l'ensemble de leurs projectiles. Terme qui signifie à la base "petit crapaud".
L'infanterie est l'ensemble des unités militaires qui combattent à pied, le soldat étant appelé fantassin. Le mot est emprunté de l'italien infanteria, dérivé de infante (« enfant ») qui prit au XIV e siècle le sens de « jeune soldat, fantassin ».
Les permissionnaires français de la Première Guerre mondiale sont les soldats bénéficiant d'un congé temporaire leur permettant de rentrer chez eux pour quelques jours, pendant le premier conflit mondial.
Dans la police ou dans l'armée, les jeunes recrues sont souvent qualifiées de «bleus». Ce terme fait référence à l'uniforme de certains militaires pendant la période révolutionnaire.
On appelait ainsi chevaliers de la proie ou chevaliers de proie des soldats pillards vivant de rapine et extorquant leurs biens aux malheureux qui avaient l'infortune de croiser leur chemin, et on appelait aussi capitaine le chef d'une bande de brigands. Capitaine et chevalier semblent donc aller toujours de conserve.
1. Service militaire qu'au Moyen Âge les vassaux devaient à leur suzerain. (C'était une partie du service vassalique avec la chevauchée et la garde. De durée illimitée à l'origine, il se réduisit ensuite à une courte campagne, et se limita à une défense territoriale.)
La guerre est partout, et la France part au front pour défendre son pays et ses alliés. Qui part en premier? Les forces opérationnelles immédiatement mobilisables, c'est-à-dire 77.000 femmes et hommes de l'armée de terre, 34.000 de la marine et 40.000 de l'armée de l'air et de l'espace.
Avec la Grande Guerre, l'artillerie inflige jusqu'à 70 %-80 % des blessures. Les éclats d'obus broient les membres, éventrent les corps, détruisent les visages. En cas d'impact direct, ils peuvent pulvériser un combattant, dont il ne reste finalement plus rien.
Soldat de l'armée française est un métier physique et difficile. Des cheveux très courts permettent de s'assurer qu'ils ne gêneront pas le soldat pendant le combat. De même, des cheveux longs pourraient s'avérer dangereux s'ils se coinçaient dans un des appareils manœuvrés.
Vétéran de la Grande Armée, de la vieille garde, de Napoléon; capitaine, caporal, caserne, régiment de vétérans.
Un pioupiou est un nom masculin, dans l'armée, qui désigne communément un jeune soldat qui n'a pas d'expérience de soldat.
On peut donc dire que la limite d'âge des mobilisés serait de 35 ans, sauf militaires du rang et cadres (pour ceux qui auraient déjà effectué des activités militaires, la limite d'âge d'accès à la réserve est de 40 ans pour les militaires du rang, pour les cadres la limite d'âge par grade est indexée sur les personnels ...