Un oppidum est, dans le vocabulaire latin, repris par les historiens modernes, une ville fortifiée propre à la civilisation celtique, c'est-à-dire notamment en Gaule. Ils sont souvent situés sur une hauteur, protégeant ainsi leurs habitants des attaques éventuelles.
Les oppida étaient de vastes agglomérations fortifiées (plusieurs dizaines d'hectares, voire plus) caractéristiques de la fin de l'époque gauloise, entre la fin du IIe et le Ier siècle avant notre ère.
oppida ou oppidums. Ville fortifiée de l'époque romaine. Centre pré-urbain qui se caractérise par une surélévation, telle qu'un plateau ou une colline, avec des défenses naturelles qui ont été renforcées, retravaillées par les hommes.
oppidum, oppidums ou oppida
Fortification de type celtique généralement aménagée en surplomb, protégée par des fossés et servant de refuge et de lieu de rencontre.
Originaire de l'Europe centrale, le peuple celte se construit et s'organise dans une zone qui englobe l'Autriche, la Suisse, l'Allemagne, l'ouest de la Hongrie, l'ouest de la Slovaquie et l'Italie du Nord à partir de 1200 av.
Celtes. Anciens peuples de race indo-européenne, originaires du Haut-Danube, qui émigrèrent fréquemment en Europe occidentale aux iieet iermillénaires avant Jésus-Christ. Celtes et Germains; l'art, la religion des Celtes.
oppida : « ville », « agglomération généralement fortifiée »), au pluriel oppidums (ou oppida selon la forme latine) , est le nom donné par les historiens romains à un type d'habitat protohistorique fortifié que l'on trouve en Europe occidentale et centrale.
Oppidum de Bibracte, en Bourgogne. Section restaurée d'un murus gallicus. Un oppidum est, dans le vocabulaire latin, repris par les historiens modernes, une ville fortifiée propre à la civilisation celtique, c'est-à-dire notamment en Gaule.
Situé à Alise-Sainte-Reine, dans le département de la Côte-d'Or, en Bourgogne, sur une colline entre Montbard et Dijon, le site archéologique d'Alésia est le site archéologique de l'oppidum gaulois d'Alésia, du siège d'Alésia en -52 et de la ville gallo-romaine d'Alésia.
Afin d'écraser la révolte des Gaulois, Jules César, à la tête de ses légions, assiège et prend la ville d'Avaricum (Bourges). Mais il se fait battre par Vercingétorix à Gergovie, dans le Massif central, en juin 52 avant J. -C. Les Gaulois harcèlent les Romains.
Vercingétorix meurt à Rome 6 ans plus tard. Les circonstances de son décès restent floues. Selon l'une des hypothèses les plus célèbres, le chef gaulois aurait pu être exposé à la foule par César avant d'être jeté en prison puis exécuté par étranglement sur ordre de l'empereur.
Les Romains cherchaient à étendre leur territoire autour de la Méditerranée et voulaient envahir la Gaule pour ses richesses. En 58 avant JC, Jules César, un général romain, a décidé de conquérir la Gaule.
Les oppidums étaient des forteresses plus ou moins grandes et plus nombreuses suivant les régions : il y en avait peu dans le nord de la Gaule, plus dans le centre. Le plus souvent il s'agissait de collines dont le sommet était habité mais les oppidums pouvaient être aussi installés dans un méandre de rivière.
Ils vivaient dans des maisons (en bois, en torchis et en chaume) organisées en villages. Pour se protéger de l'ennemi, ils construisaient des oppida (oppidum au singulier). Les gaulois croyaient en plusieurs dieux, ils étaient polythéistes. Le druide était le garant de la religion.
Bataille d'Alésia : victoire de Jules César sur Vercingétorix.
Ces termes désignent tous les deux des peuples envahisseurs venus de l'est de l'Europe. La différence réside dans le fait que nous avons admis l'appellation « Celtes » pour qualifier les colons et le terme « Gaulois » pour ceux qui se sont installés sur le territoire de la France actuelle.
Ces « premiers français » sont sans doute des homo erectus, arrivés d'Afrique via le Proche-Orient et peut être le détroit de Gibraltar et leur population ne doit pas dépasser quelques milliers d'individus sur tout le territoire de la France actuelle.
On utilisait depuis l'an 883 le mot Francia (pays des Francs) et, avant cette date, Gallia (pays des Gaulois). En grec, la France s'appelle toujours Gallia.
Ne croyez pas que Vikings, Celtes et Bretons soient des entités différentes. Bien au contraire, ils ont une origine commune qui est d'ailleurs inscrite profondément dans le patrimoine et la géographie de la France actuelle. : Indo-Aryenne, elle-même fille d'une branche plus lointaine.
Le Triskell est un symbole celtique à trois branches.
Les sept arbres sacrés des druides sont le Bouleau, l'Aulne, le Saule, le Chêne, le Houx, le Noisetier et le Pommier.
LÉGENDES CELTES, Bretagne, Pays de Galles, Irlande, Écosse, Cornouailles.
Comme les autres peuples de la protohistoire/Antiquité d'Europe, les Celtes ont développé un système religieux polythéiste, dans le cadre duquel officiait la classe sacerdotale des druides.
La Bretagne et les Bretons sont considérés comme l'une des six nations celtiques. Le nombre factuel de « Bretons de souche » en Bretagne et dans la France entière est difficile à connaître étant donné que le gouvernement français ne fait pas ce type de statistiques.