L'insomnie est un trouble du sommeil qui touche près de 20% des Français. Souvent provoquée par le stress et des ruminations en lien avec des problèmes personnels, elle peut enfermer la personne dans un cycle infernal.
Insomnie psychophysiologique
On parle aussi d'insomnie chronique. L'idée est que la personne souffre tellement de ne pas dormir qu'elle finit par avoir peur de se coucher et de ne pas réussir à s'endormir : c'est une insomnie qui se nourri elle-même !
La narcolepsie ou « maladie de Gélineau » est un trouble du sommeil chronique ou dyssomnie rare. Les symptômes peuvent inclure un temps de sommeil excessif, une impression de fatigue extrême ou encore le fait de tomber en cataplexie involontairement à un moment non adapté, comme au travail, à l'école ou dans la rue.
Sans trop de surprise, les premiers responsables sont le stress et l'anxiété. "C'est la cause numéro 1" , assure Olivier Pallanca : "Certaines personnes ont des vulnérabilités au stress. Dès qu'ils vont être trop actifs, qu'ils vont avoir un niveau d'éveil trop important, ça va activer le même déséquilibre.
L'insomnie fatale est une maladie à prions rare qui perturbe le sommeil et qui aboutit à la détérioration des fonctions cognitives et à une perte de la coordination. Le décès survient en quelques mois à quelques années.
Durant cette tranche horaire, c'est le foie qui est roi. Celui-ci fonctionne à plein régime entre 1h et 3h du matin, il s'active pour éliminer les toxines, purifier l'organisme. Se réveiller durant cette tranche horaire peut donc être lié à votre foie.
On sait que la privation totale de sommeil conduit inéluctablement un rat à la mort, dans un délai d'environ vingt jours. Mais rend-elle fou ? En réalité, la privation de sommeil cause des troubles cognitifs et des hallucinations, mais elle ne rend pas fou au sens propre du terme.
En général, après 60 ans, les personnes ont tendance à moins dormir la nuit. Ce manque de repos est compensé par des siestes en journée. Le fait d'être atteint d'hypersomnie ou de somnolence diurne indique que le. Cette durée allongée peut éventuellement cacher une maladie comme une démence, type Alzheimer.
La phase terminale, qui conduit au décès, est souvent annoncée par des signes dits annonciateurs non spécifiques : troubles neuropsychiques (agitation, somnolence), angoisse de mort, modification des téguments : pâleur, teint cireux, respiration bouche ouverte avec chute des mandibules…
Si l'on dort la bouche ouverte, c'est que notre corps préfère respirer par cette voie. Seulement, en respirant ainsi, la bouche est asséchée, et la salive manque. Et c'est cette dernière composante qui est primordiale… La salive joue un rôle protecteur important sur les dents.
Ainsi, le manque de sommeil peut amener à produire moins de sérotonine, l'hormone du bonheur, ce qui mène à la dépression. Il peut aussi augmenter les risques de problèmes cardio-vasculaires, de diabète de type 2, et même de cancer.
Les conséquences du manque de sommeil sont nombreuses et aujourd'hui démontrées : risque accru d'obésité, de diabète, de maladies cardiaques et d'AVC, de dépression…
Un médicament à base de mélatonine est autorisé : le Circadin®. Ce produit n'est indiqué que chez l'adulte de plus de 55 ans, en monothérapie, pour le traitement de courte durée de l'insomnie primaire caractérisée par un sommeil de mauvaise qualité.
Certaines plantes, comme la valériane, la passiflore, le tilleul, la mélisse, le millepertuis, la verveine et le houblon sont également réputées pour leurs vertus sédatives. Parfois, les plantes sont jumelées (valériane et houblon, par exemple) pour augmenter leur effet.
faire une pause ou une courte sieste en début d'après-midi, dès les premiers signes de fatigue ; écouter son corps, respecter son rythme et ses besoins de sommeil ; pratiquer une activité sportive de manière régulière (à éviter en fin de journée ou le soir).
Nuit sans sommeil, c'est-à-dire période quotidienne où le soleil se couche qui est passée, par une personne, sans dormir. Exemple : J'ai besoin de beaucoup dormir chaque jour, je suis totalement incapable de faire une nuit blanche.
Pour demeurer en bonne santé, une nouvelle étude exposée au Congrès de la Société Européenne de Cardiologie (ESC), en août dernier, a démontré qu'il était nécessaire de dormir entre six et huit heures par nuit. Manquer de sommeil aurait ainsi des effets négatifs sur le corps et l'esprit.
Certes, il vaut mieux dormir un peu que pas du tout ! Mais le minimum vital serait fixé à 3 heures consécutifs de sommeil soit 2 cycles afin de pouvoir passer suffisamment de temps en sommeil profond.
L'hypersomnie idiopathique
Elle est caractérisée par une somnolence diurne excessive constante entrecoupée de siestes peu reposantes et accompagnée d'un sommeil nocturne de durée normale ou accrue mais non reposant.
Respirer par la bouche expose à un plus grand nombre d'infections car l'air entrant est froid et encore chargé en bactéries. Une croissance de la face : Une des grandes conséquences néfastes de la respiration buccale est une croissance pathologique des mâchoires et du visage.
Sur Twitter, un internaute qui a testé semble approuver la méthode. « Scotchez votre bouche quand vous allez vous coucher. Ainsi, vous allez seulement respirer par votre nez, et cela activera votre système nerveux parasympathique, ce qui vous permettra de rentrer dans un sommeil profond.
L'apnée du sommeil ou syndrome d'apnées–hypopnées obstructives du sommeil (SAHOS) est un trouble de la ventilation nocturne dû à la survenue anormalement fréquente de pauses respiratoires. Ce syndrome est dû à des épisodes répétés d'obstruction des conduits respiratoires de l'arrière gorge.