L'anadiplose se retrouve dans tous les genres littéraires, principalement ceux à dialogues. La poésie y a recours également.
Une épiphore (substantif féminin), du grec epi (« en plus ») et pherein (« porter, répéter, ajouter ») est une figure de style consistant en la répétition, à la fin de deux ou de plusieurs groupes de phrases ou de vers qui se succèdent, d'un même mot ou d'un même groupe de mots.
Définitions linguistiques. Une anaphore consiste à répéter un ou des mot(s) identique(s) au début ou à la fin de vers ou de phrase.
L'anaphore est également très utilisée dans la littérature polémique pour signifier l'urgence d'une situation (par exemple le fameux J'accuse de Zola). La répétition intervient en général en début de phrase parce que c'est ce que l'on voit en premier, mais il existe aussi une anaphore de fin de phrase.
L'effet de l'anadiplose
L'anadiplose, qui est une figure de style de répétition, permet à l'auteur de fixer l'attention du lecteur sur un mot en particulier. Elle permet de donner de l'emphase à un discours. L'anadiplose est aussi un procédé d'oralisation : elle permet à l'auteur de rendre plus réelle une conversation.
Répétition dans un même énoncé de mots ayant le même sens, soit par maladresse (par exemple descendre en bas), soit dans une intention stylistique (par exempleJe l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres yeux, vu [Molière]).
anaphore
Reprise du même mot au début de phrases successives. (Exemple : Mon bras qu'avec respect toute l'Espagne admire, / Mon bras qui tant de fois a sauvé cet empire [Corneille].)
N.B. Pour former un oxymore, les mots de sens contraire sont toujours accolés, tandis que l'antithèse ne fait que les unir au sein d'une même proposition.
La palilalie est un trouble de la parole où une ou plusieurs syllabes, mots ou courtes phrases sont répétés involontairement. On privilégie le terme paraphasie à palilalie lorsqu'il s'agit de groupe de mots ou de phrases.
fréquence, récidive, recommencement, récurrence, renouvellement, reprise, reproduction, retour. – Familier : resucée.
Anaphore : répétition d'un même mot au début d'une série de phrases dans un but de renforcement (exemple : Paris outragé ! Paris brisé ! ... En tant que pronom représentant, il consiste le plus souvent en une anaphore. ...
Une anaphore est la répétition d'un mot, d'un nom ou de plusieurs mots en début de phrase. Elle permet de mettre l'emphase sur une idée, un objet, une personne… Elle rythme un énoncé, souligne un mot, une idée, une obsession...
Ainsi, au moment de remplacer l'anaphore par le référent trouvé, l'élève devra, pour vérifier son hypothèse, effectuer un déplacement du complément pour que la phrase ait du sens, ce qu'il n'a pas à faire pour les pronoms sujets.
En grammaire, une anaphore (du grec ἀναφορά, reprise, rapport) est un mot ou un syntagme qui, dans un énoncé, assure une reprise sémantique d'un précédent segment appelé antécédent. Sans cet antécédent, l'anaphore perd son sens. C'est pourquoi elle doit toujours être liée avec un autre élément dans la phrase.
Les reprises anaphoriques sont différentes car le but recherché est au contraire d'éviter la répétition du même terme dans un récit ou un texte documentaire. Dans un récit ou un texte documentaire, l'auteur doit éviter les répétitions qui risquent de rendre son style plat et ennuyeux.
Psittacin, -ine, adj. Qui répète machinalement.
Répétition de un ou de plusieurs mots, de syllabes, d'onomatopées, sur un rythme parfois très rapide, dans les démences, les troubles schizophréniques et certaines affections neurologiques.
L'écholalie, c'est-à-dire la répétition de ce qu'a dit une autre personne, est depuis longtemps considérée comme un trait caractéristique de l'autisme, bien que des études récentes tendent à démontrer que ce type d'imitation n'est pas exclusive aux personnes autistes et peut être observée chez des personnes présentant ...
La litote consiste donc à dire moins pour suggérer plus. La plus connue est contenue dans Le Cid de Corneille. Dans l'acte III, scène IV, Chimène s'adresse à Rodrigue en ces termes : « Va, je ne te hais point ! », pour lui signifier qu'elle l'aime encore.
Un oxymore est une figure de style qui réunit deux mots contradictoires, ou en apparence contradictoires.
1. Disposition en ordre inverse de deux phrases syntaxiquement identiques, formant une antithèse ou constituant un parallèle. (Exemple Un roi chantait en bas, en haut mourait un Dieu.)
« C'est malin ! », pour signifier au contraire que c'est complètement idiot. « Cet honnête homme », pour exprimer que c'est un fripon. « C'est la vie de château, pourvu que cela dure ! », alors que les conditions de vie sont difficiles.
La répétition consiste à reprendre les mêmes termes, sans aucune modification lexicale. La répétition peut être une faute de style, mais elle peut aussi exprimer une idée : dans l'exemple donné, l'auteur insiste sur la grisaille générale du paysage et traduit ainsi l'uniformité, la monotonie qui s'en dégage.