Mot générique, mot épicène et masculin utilisé comme générique. Le genre grammatical ne doit être confondu ni avec le sexe ni avec le genre social du référent. Ainsi une perdrix, qui est du genre grammatical féminin, est un mot épicène qui peut aussi bien désigner un individu mâle que femelle.
Ainsi les mots matelot, camelot, médecin et marin devraient, suivant les règles traditionnelles, faire au féminin matelote, camelote, médecine et marine, tous des mots qui existent en français mais qui désignent tout autre chose. En conséquence, les formes matelot, camelot, médecin et marin sont jugées épicènes.
En français, il existe deux genres : le masculin (M) et le féminin (F). Il n'existe pas de neutre. Le genre de chaque mot peut se retrouver dans le dictionnaire sous forme d'abréviation : f.
Ce mot est dérivé du latin tentaculum, lui-même dérivé du verbe temptare, « toucher, tâter », « examiner, sonder, essayer, tenter, mettre à l'épreuve », etc. Le tentacule, souvent muni de ventouses, est bien sûr cet appendice souple qui sert notamment aux céphalopodes (les poulpes, les calamars…)
Non-binaire : se dit d'une personne dont l'identité de genre ne correspond ni aux normes du masculin ni à celles du féminin. Agenre : sous-catégorie de non-binaire. Se dit d'une personne qui ne s'identifie à aucun genre. Ni homme, ni femme, ni mélange des deux.
Généralement, un mot peut avoir plusieurs sens différents. On dit alors qu'il est polysémique (en grec, « poly » signifie « plusieurs » ; « sème » signifie « sens »). Exemple : Le mot « côte » peut désigner : un os, une pente, un rivage maritime, etc.
Les paronymes sont des mots qui se ressemblent dans leur prononciation et dans leur orthographe, mais dont le sens est différent.
On dit qu'un mot est polysémique lorsqu'il peut avoir plusieurs sens différents.
Pour « amour », les poètes ont pris l'habitude de le mettre au féminin. C'est pourquoi on va le retrouver au féminin, même au singulier, dans certaines poésies. Par contre au pluriel, dès que le mot désigne une représentation de Dieu en peinture ou en sculpture, il faut le laisser au masculin.
Règle n°1: Mentionner par ordre alphabétique les termes au féminin et au masculin. Quant à l'accord, il se fait avec le sujet le plus proche du verbe. Voici un exemple: Les hommes et les femmes sont belles.
En linguistique, le genre grammatical est une caractéristique intrinsèque des noms qui influe sur la forme de certains éléments satellites. En tant que catégorie linguistique, il manifeste une classification des mots en tant qu'objets structurant la langue elle-même, par opposition à ce à quoi ces mots réfèrent.
Astérisque, alvéole, pétale sont tous au masculin.
Testicule. Genre masculin, comme ceux qui en sont dotés. Ce fait pourrait vous aider à vous rappeler que l'on dit « un testicule ».
Ce sont les trois mots qui changent de genre au pluriel dans la langue française. Les mots amour, délice et orgue ont la particularité d'avoir un genre qui diffère au singulier et au pluriel. Il s'agit des trois seuls mots de la langue française qui sont masculins au singulier mais féminins au pluriel.
1. Qui est au-dessus du niveau commun ; qui se distingue par sa supériorité, ses qualités : Personnalité éminente du monde des arts. 2. Qui est très appréciable, qui se distingue par sa grande qualité, son très haut niveau ; insigne : Jouer un rôle éminent dans une affaire.
Très courants dans la langue française, les homographes sont des mots qui s'écrivent exactement de la même façon mais qui ne se prononcent pas de la même manière. Ils font partis de la famille des homonymes. Découvrez quelques exemples qui vous aideront à différencier ces homographes. « Mes fils ont cassé mes fils. »
Les mots d'une même famille sont donc des mots dérivés.
Se dit des mots qui se ressemblent fortement de par leur forme, leur orthographe, mais qui ont des sens différents. Exemple : Irruption est le paronyme d'éruption. Ballade est l'homonyme de balade.
Répétition dans un même énoncé de mots ayant le même sens, soit par maladresse (par exemple descendre en bas), soit dans une intention stylistique (par exempleJe l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres yeux, vu [Molière]).
– l'utilisation d'un préfixe et d'un suffixe comme avec anti- et –isme qui donnent antisémitisme et anticommunisme. – De nouvelles formes pour des verbes et des noms : des noms qui n'existent qu'au singulier sont créés au pluriel et adoptent alors un sens nouveau, tel que les banlieues, les cités, les quartiers, etc.
La binarité de genre, aussi appelée binarisme de genre, bicatégorisation, genrisme ou genderisme, est un concept utilisé en sciences sociales pour désigner la catégorisation de l'identité de genre en deux et uniquement deux formes distinctes et complémentaires : masculin et féminin.
La pansexualité est une orientation sexuelle caractérisant les individus qui peuvent être attirés, sentimentalement ou sexuellement, par un individu de n'importe quel sexe ou genre.
Pour l'instant, iel reste le pronom le plus courant. Sa forme du pluriel, iels avec un s , s'emploie de la même façon que la forme du singulier. En outre, le iels pluriel peut aussi être utilisé en langage inclusif pour désigner un groupe d'hommes et de femmes.