PÉCHEUR, PÉCHERESSE (s. m. et f.) [pé-cheur, che-rè-s'] 1. Celui, celle qui commet des péchés.
Nom commun. (Religion) Celle qui commet des péchés, qui est sujet au péché, qui est enclin au péché, qui est dans l'habitude du péché.
− RELIG. [Dans les relig. monothéistes, en partic., dans la tradition judéochrétienne] Personne qui commet ou a commis un ou plusieurs péchés, qui est en état de péché.
Thomas les péchés les plus grave sont les péchés qui sont directement contre Dieu : L'infidélité, le désespoir et la haine de Dieu. La passion peut indirectement mouvoir la volonté, et cela de deux façons: – En épuisant l'énergie de la volonté.
Jacobus Arminius a défini le péché impardonnable comme le rejet et le refus de Jésus-Christ par une méchanceté et une haine déterminées contre le Christ.
La liste des sept péchés de la chrétienté comprend l'avarice, l'envie, la paresse, la gourmandise, l'orgueil, la luxure et la colère, les définitions en bleu ci-dessous étant issues de Wikipedia.
le péché mortel, dont la matière est grave (ex. violence, adultère, vol important...) et qui est commis en pleine conscience et de propos délibéré. Cet acte coupe totalement celui qui le commet de la grâce divine, plaçant ainsi l'âme en état de mort (c'est-à-dire séparée de Dieu) jusqu'à son absolution.
C'est la prière la plus simple. Elle consiste à répéter longuement le Nom de Jésus, une phrase de psaume ou une invocation : « Seigneur, Fils du Dieu vivant, prends pitié de moi pécheur », « Seigneur, ne t'éloigne pas de moi », « Seigneur, montre-moi ton visage », « Seigneur, tu sais bien que je t'aime ».
Difficultés. Le féminin vengeresse ne s'emploie que dans le registre soutenu : pamphlet écrit d'une plume vengeresse.
Au féminin, on dit un compagnon, plus rarement une compagnonne.
commère n.f. Marraine d'un enfant par rapport au parrain (ou compère).
Ce sont l'orgueil, la gourmandise (ou addiction), la paresse (ou acédie, la négligence spirituelle), la luxure, l'avarice, la colère et l'envie.
La liste que nous connaissons aujourd'hui a été fixée par Thomas d'Aquin. Elle pointe l'orgueil et l'envie comme vices irrécupérables et place gourmandise et luxure en bas de l'échelle. Au centre, la colère, l'avarice et la paresse.
Car, comme Bouddha semblait le penser : « S'accrocher à la rage, c'est comme attraper un charbon ardent dans l'intention de le jeter sur quelqu'un : c'est vous qui vous brûlez. » Pas étonnant de fait, qu'au-delà de la liste des péchés capitaux, l'on retrouve la colère parmi les « trois poisons » du bouddhisme qu'il ...
La paresse, en revanche, consiste à ne pas avoir envie de faire ce qu'il serait en principe nécessaire que l'on fasse, pour soi ou pour les autres, afin en général de mieux vivre. Le terme prend alors une connotation négative jusqu'à désigner un péché.
La gourmandise dans les 7 péchés capitaux
La gourmandise est un péché car les gourmands sont suspectés de manger trop et sans savourer mais aussi de faire preuve de faiblesse ou de dépendance vis-à-vis de certains aliments. Elle est donc souvent confondue avec la voracité.
Contre toi, et toi seul, j'ai péché, ce qui est mal à tes yeux, je l'ai fait. Détourne ta face de mes fautes, enlève tous mes péchés. Crée en moi un cœur pur, ô mon Dieu, renouvelle et raffermis au fond de moi mon esprit. Rends-moi la joie d'être sauvé ; que l'esprit généreux me soutienne.
L'Église catholique romaine indique sept péchés capitaux, desquels découlent tous les autres : l'acédie (la paresse), l'orgueil, la gourmandise, la luxure, l'avarice, la colère, et l'envie.
“Tout est pardonnable, excepté le mensonge, l'infidélité et la trahison.” Vos avis (4) : “Ce qui est pardonnable est d'avance pardonné. D'où l'aporie : on n'a jamais à pardonner que l'impardonnable.”
« La communion sacramentelle peut ne pas être possible pendant un très long intervalle à cause des différentes infirmités que Dieu envoie à sa créature pour l'éprouver, mais cette privation, lorsqu'elle ne dépend pas de nous, n'empêche pas la sainteté.