Le handicap invisible peut par exemple être une déficience visuelle ou auditive, un trouble mental comme la schizophrénie ou la bipolarité, une dyslexie ou dyspraxie, une maladie chronique... Les troubles concernés sont extrêmement divers. La situation de handicap peut-être récente ou parfois passagère.
Un handicap ou une maladie invisible est non perceptible si la personne touchée ne le mentionne pas. Ces pathologies ne sont pas sans conséquences sur la vie des patients : impact sur la vie sociale et professionnelle, soins adaptés, thérapeutique à respecter…
La loi du 11 février 2005 reconnaît différents types de handicap dont le handicap moteur, sensoriel (auditif et visuel), mental, cognitif et psychique.
Nombreuses sont les affections de longue durée qui peuvent être considérées comme un handicap invisible. Ainsi toutes les incapacités des personnes telles qu'un défaut d'audition, une grande fatigue, une douleur permanente ou des troubles de la mémoire et du sommeil provoquent des difficultés quotidiennes.
Aussi, la dépression (au même titre que tout autre maladie ou pathologie) est susceptible d'être prise en compte par la mdph.
Epilepsie, troubles moteurs, sensitifs, syndrome cérébelleux, des anomalies des paires crâniennes avec en particulier des troubles de l'odorat sont très classiques. Les déficiences cognitives sont de loin les plus fréquentes, elles sont responsables du « handicap invisible « des patients [6].
Handicap mental (ou déficience intellectuelle)
La trisomie 21 est la forme la plus connue de handicap mental, et vient d'une anomalie chromosomique. Elle concerne 50 000 à 60 000 personnes en France (soit 10 à 12% des personnes handicapées mentales françaises) et touche 1 000 nouveaux nés chaque année.
Une personne présentant des troubles intellectuels ou cognitifs se heurte à des problèmes de réflexion et de conceptualisation, et éprouve des difficultés à s'exprimer.
La fibromyalgie, ou syndrome fibromyalgique, est une affection chronique caractérisée par des douleurs diffuses persistantes et une sensibilité à la pression. Le plus souvent, ces douleurs sont associées à d'autres signes évocateurs comme une fatigue intense, des troubles du sommeil, etc.
Un choc émotionnel ou physique (un accident, une intervention chirurgicale) pourrait déclencher la maladie. Mais il est aussi possible que d'autres dérèglements en soient à l'origine. Ainsi, le lien entre douleur, troubles du sommeil et dépression permet d'envisager un déficit en neurohormones, notamment en sérotonine.
La RQTH est accordée par la commission des droits et de l'autonomie des personnes handicapées (CDAPH), au regard du PPC.
Ce sont des maladies évolutives, qui se caractérisent par une perte progressive de la force musculaire et qui entraînent des troubles divers : déformations orthopédiques, difficultés de déglutition, troubles digestifs, insuffisance respiratoire et parfois cardiaque.
La CIH (Classification Internationales des Handicaps) a été créée en 1980, à l'aide du modèle du Docteur Philip Wood qui définit le handicap en 3 points généraux : - La déficience psychologique, physiologique ou anatomique.
La maladie est une altération des fonctions ou de la santé d'un organisme vivant. Elle est souvent opposée à la santé. La santé et la maladie sont parties intégrantes de la vie, du processus biologique. Le terme handicap désigne la limitation des possibilités d'interaction d'un individu avec son environnement.
Le handicap mental ne se guérit pas, mais une action éducative, thérapeutique et pédagogique adaptée peut en réduire les conséquences et apporter à la personne qui en est atteinte la plus grande autonomie possible.
Un handicap simple se produit quand il existe une différence de compétence perçue entre l'équipe X et l'équipe Y. Un handicap de but approprié sera attribué à l'équipe supposée supérieure pour rééquilibrer les chances en matière de paris, par exemple : -0,5 but, -1 but, -1,5 but, etc.
Les symptômes physiques de la dépression
Ainsi, les symptômes physiques sont nombreux : Troubles du sommeil : le sommeil est souvent mauvais, moins profond, et peu réparateur avec des réveils précoces.
Psychiatre. On vient le voir lorsque ça ne va pas. Mais contrairement à tous les autres “psy”, c'est le seul à devoir justifier d'une formation de médecin. Il s'occupe de tous les types de troubles psychiques, comme la dépression, les troubles obsessionnels compulsifs, l'anorexie, ou encore l'anxiété.
Etats dépressifs d'intensité variable : - soit avec une asthénie persistante : 10 à 20 %. - soit à l'opposé, grande dépression mélancolique, anxiété pantophobique : 50 à 100 %. Troubles du comportement d'intensité variable : 10 à 20 %.