Être alcoolique ou addict à l'alcool est caractérisé par le fait consommer de manière inadaptée, et de ne plus pouvoir se passer de la substance en développant un besoin irrépressible qui efface les autres aspects de votre vie. En général, un sentiment de perte de contrôle est ressenti, ainsi qu'une dépendance.
un désir de consommer des boissons alcoolisées puissant, compulsif, irrésistible. le besoin de boire toujours plus pour ressentir l'ivresse. l'apparition de symptômes de manque lors d'arrêt de la consommation. une consommation persistante malgré la survenue de problèmes liés à la consommation d'alcool.
Parmi les symptômes remarqués, on note : malaise physique avec sueurs, courbatures des bras et des jambes,douleurs abdominales, nausées, insomnies, agitation, anxiété importante, tremblements et irritabilité.
On considère qu'un homme qui boit plus de 21 verres par semaine et une femme plus de 14 verres est à risque de développer une dépendance. Cependant, la quantité ne fait pas tout, pour repérer une consommation excessive, certains signes peuvent aider : Vous consommez de l'alcool de plus en plus souvent.
L'asaret est généralement utilisé comme émétique (qui provoque des vomissements). Grâce à son odeur nauséabonde d'éthanol, il donne une sensation de dégout de l'alcool. L'asaret provoque non seulement des nausées en contact avec l'alcool, mais comme les autres remèdes de grand-mère.
chez les hommes : toute consommation d'alcool est associée à une augmentation du risque d'hypertension artérielle. chez les femmes : le risque est accru pour une consommation supérieure à 30 g d'alcool par jour.
Aujourd'hui, les experts s'accordent à dire que les gènes jouent pour moitié dans le risque de dépendance à l'alcool, l'autre moitié étant liée à des facteurs relatifs à l'environnement de la personne : cadre familial et professionnel, niveau socio-économique, exposition aux occasions de boire, troubles du comportement ...
LA TRANSPIRATION LIÉE À L'ALCOOL
De plus, le corps perçoit l'alcool comme une toxine et travaille donc plus fort pour s'en débarrasser via notre foie, mais aussi via l'urine et la sueur. La transpiration excessive la nuit peut être causée par l'alcool.
L'apparition progressive de crampes musculaires qui commencent aux extrémités (sensation d'avoir les pieds froids) et remontent ensuite aux mollets est classique. L'arrêt de la consommation d'alcool associé à la prise de vitamine B1 permet de réduire progressivement cette atteinte nerveuse.
Le questionnaire AUDIT (Alcohol Use Disorders Identification Test) est un test simple en 10 questions développé par l'Organisation Mondiale de la Santé pour déterminer si une personne présente un risque d'addiction à l'alcool.
Cette dépendance se manifeste à travers des symptômes physiques de manque quand vous ne consommez pas (tremblements, sueurs, crises de tachycardie, hypertension, nausées, vomissements), mais elle est aussi psychologique, au point de ne plus arriver à vivre sans l'alcool.
Pour en parler : faire preuve d'écoute, tenter de comprendre les raisons qui poussent l'autre à boire. Les reproches et le chantage peuvent se montrer néfastes. Restez ouvert au dialogue. Pour l'aider à résoudre ses problèmes : orienter vers des professionnels, des numéros d'aide ou des associations locales.
La pauvreté, l'isolation sociale, une éducation déficiente et la timidité peuvent aussi constituer des facteurs de risque. En outre, la façon dont le corps d'une personne traite l'alcool peut avoir des répercussions sur le risque de dépendance à l'alcool.
Une érythrose faciale (gonflement et rougeur du visage), parfois de la couperose témoignent d'une consommation d'alcool excessive. Si c'est une personne plus proche de vous, comme votre conjoint, observez-le intimement.
Si vous êtes un alcoolique, vous allez surement constater que des cernes se forment au niveau de vos yeux, que votre visage perd de son élasticité et surtout que vos pores s'ouvrent complètement. Vous noterez aussi la présence de quelques petites ridules.
D'ailleurs l'alcoolisme est parfois accompagné de troubles psychiatriques. La modification du comportement de la personne va augmenter les conflits, la violence verbale et/ou physique, les comportements à risque. L'agressivité ou des comportements inappropriés sont plus souvent exprimés car l'alcool désinhibe.
Adaptez vos dessous. Le coton absorbe bien mieux l'humidité qui résulte de la transpiration que les matières synthétiques. Oubliez donc la lingerie en soie ou viscose et les dentelles pour un temps, pour leur préférer des culottes simples en coton, bio si possible. Evitez aussi les jeans serrés, pantalons moulants, etc ...
Quelques effets concrets :
Une érosion de l'émail dû à l'effet des acides contenus dans l'alcool et de ceux produits par les bactéries, entraînant un jaunissement des dents et une diminution de l'effet protecteur ; La prolifération des bactéries s'attaquant aux dents et aux gencives.
La vodka fait partie de la famille des eaux-de-vie, elle est distillée jusqu'à insipidité, elle n'a ni couleur, ni odeur, ni goût. Elle ne conserve pas l'arôme de la matière première, ce qui en fait une base de cocktail idéale.
Comment vivre avec une personne alcoolique
La toute première étape est de prendre conscience du problème d'alcoolisme du proche en question et de bien s'informer pour comprendre qu'il s'agit d'une maladie. Ce premier pas vous permettra de trouver les réactions appropriées et de vous donner les moyens d'être aidé•e.
Les plus âgés sont les plus gros consommateurs
Les consommateurs quotidiens sont plus nombreux chez les personnes plus âgées (26 % des 65–75 ans déclarent boire de l'alcool chaque jour, contre 2,3 % des 18–24 ans).
La personne alcoolique se défend alors de trop boire , et va boire en cachette . Très souvent , les proches de l'alcoolique cachent le problème vis – à – vis de l'extérieur , afin de protéger la famille . Le co – alcoolisme se met ainsi en place , de mille et une façons .