L'oniomanie est caractérisée par des préoccupations, des besoins et des comportements excessifs et non contrôlés vis-à-vis des achats et des dépenses.
Un dépensier (aussi appelé prodigue) est une personne qui dépense beaucoup d'argent de façon extravagante et le plus souvent en pure perte.
1. Qui aime la dépense, qui dépense au-delà du nécessaire : Jeune homme dépensier. 2. Se dit dans certains établissements, de la personne, du service chargé de la dépense.
L'oniomanie ou trouble lié à l'achat compulsif, ou familièrement fièvre acheteuse, est la manie compulsive des achats, généralement peu ou pas nécessaires à l'individu. Cette manie a été découverte en Allemagne à la fin du XIX e siècle par Emil Kraepelin.
L'achat compulsif (ou achat pathologique) représente un problème psychologique avec d'importantes conséquences. 1 à 6% de la population serait concerné.
Dans l'oniomanie (du grec onios, «à vendre»), l'objet acheté n'a pas d'importance. Contrairement au collectionneur qui chérit son achat, l'oniomane ne chérit que la transaction, le moment d'excitation qui précède l'acquisition et le soulagement éprouvé par la suite.
La meilleure aide que l'on puisse apporter au dépensier consiste à l'accompagner dans les magasins, car la majorité des achats compulsifs sont solitaires. Dans tous les cas, mieux vaut privilégier la prudence en optant pour des comptes distincts !
Autre suggestion : si vous êtes inquiet des finances d'un proche, posez-lui des questions ouvertes. Ça peut avoir l'air banal, mais demandez-lui comment il va! Montrez-lui que vous êtes à l'écoute, que vous voulez son bien. Peut-être que ça débouchera sur le sujet de sa situation difficile.
vénaux. Qui n'agit que pour l'argent, qui n'est intéressé que par le gain matériel et financier d'une action.
Les personnes dépensières prouvent leur intense besoin d'être aimées et reconnues par les autres. Elles se disent qu'elles apparaîtront plus belles, plus fortes, plus puissantes grâce à leurs possessions. C'est une manière de réparer une profonde faille narcissique, un manque de confiance en soi."
L'achat compulsif est souvent associé à une difficulté de gestion des émotions comme celle de la colère, la culpabilité, l'anxiété, la frustration, le découragement, un manque de plaisir ou encore un manque non-identifié.
Tout d'abord, il faut lui faire comprendre que cette situation provoque des problèmes dans le couple, qui pourraient facilement être évités. Il faut savoir si elle est consciente du problème d'argent et lui expliquer qu'on l'apprécie non pas pour ses cadeaux mais pour sa personne.
Ce proverbe signifie que les gens qui travaillent durent, ne sont pas ceux qui ont le plus d'argent.
L'imprévu est l'ennemi de l'épargne
Dans la grande majorité des cas, ce n'est pas le fait de dépenser en général qui vous empêche d'économiser : ce sont les dépenses non planifiées. Et il est souvent difficile de se rendre compte du réel impact de ces dépenses non prévues sur notre budget.
Quels symptômes caractérisent l'achat compulsif ? Lorsqu'elle est atteinte par ce trouble, une personne effectue des achats compulsifs à répétition, en réponse à une envie irrépressible d'acheter. Ces achats pathologiques ont lieu durant une phase maniaque (phase d'excitation).
Nous avons besoin d'acheter pour nous conformer à l'image que nous voulons donner et à celle que les autres attendent de nous. » L'objet devient ainsi un faire-valoir, mais aussi une extension de nous-même.
Les personnes présentant des achats compulsifs sont souvent pris par une envie irrésistible d'acheter un objet généralement superflu, mais pourvoyeur de plaisir dans l'immédiat, à court terme. L'achat est induit par l'envie de posséder, en quantité, et pas en qualité, à l'instar de la boulimie ou de l'addiction.
Notre corps est protégé du regard des autres et aussi des bactéries. Au sens plus subtile, les vêtements sont aussi une communication personnelle. Cela nous permets de nous différencier des autres en portant un style qui nous est propre et qui nous permet d'être en confiance.