L'antiphrase (substantif féminin), du grec antiphrasis, de anti- préfixe (« contre ») et phrasis (« action d'exprimer par la parole »), est une figure de style qui consiste à employer, par ironie ou par euphémisme, un mot, une locution ou une phrase, dans un sens contraire à sa véritable signification.
L'antiphrase
Le mot vient du grec anti-, « contre », et de phrazeïn, « exprimer, dire ». L'antiphrase revient donc à « dire le contraire ». Comment ? En employant un mot, un groupe de mots ou une phrase dans un sens contraire à sa véritable signification, le plus souvent par ironie.
L'antiphrase est une figure de style par laquelle on dit quelque chose dans le but d'exprimer le contraire de ce que l'on pense réellement, afin de créer un effet d'ironie ou de dénoncer quelque chose.
Le terme d'énantiosémie désigne le fait qu'un mot désigne à la fois une chose et son contraire. Cette particularité se retrouve dans de nombreuses langues dont le français.
La réponse se trouve dans un procédé connu en psychologie sous le nom de renforcement. Le fait de refuser l'action suscitée par l'émotion en tentant de raisonner cette dernière ne fait que provoquer sa réapparition, encore et encore. Bref, plus vous direz non, plus vous en aurez envie !
adj. D'une manière contraire, opposée.
Figure de style basée sur l'atténuation d'un mot, d'une expression qui serait trop choquante. Exemple : Les "personnes de couleur" ou le "troisième âge" sont des euphémismes qui permettent de ne pas froisser certaines populations. Étymologie : du grec ancien euphêmismos, qui signifie l'emploi du mot approprié.
instar de (à l')
Synonyme : comme, à l'exemple de, à l'image de, à l'imitation de.
L'antiphrase (substantif féminin), du grec antiphrasis, de anti- préfixe (« contre ») et phrasis (« action d'exprimer par la parole »), est une figure de style qui consiste à employer, par ironie ou par euphémisme, un mot, une locution ou une phrase, dans un sens contraire à sa véritable signification.
"Au cas où" sert à exprimer une éventualité. Cette locution soulève une hypothèse. Elle peut être employée seule ou introduire une proposition au conditionnel ou au subjonctif. Exemple : Prends ton sac, au cas où.
ou adv.] Pronom, adverbe relatif désignant le lieu au propre ou au figuré et secondairement le temps.
Ecoutez-le et repérez dans son discours ce avec quoi vous êtes sincèrement d'accord. Ensuite, restituez-lui les idées que vous partagez. Soit il a un esprit de contradiction si fort qu'il ira jusqu'à se contredire – faites-lui alors remarquer son ambiguïté, cela l'aidera à prendre conscience de son problème.
Soyez d'accord, puis présentez votre point de vue.
Par exemple, vous pourriez lui dire : « je comprends ce que tu dis. C'est une opinion intéressante, mais voilà ce que je pense... » Vous pourriez aussi lui dire : « je te remercie de m'aider à comprendre ton point de vue. Je vois ce que tu veux dire.
Les «obstineux» compulsifs.
Figure de style qui réunit deux mots en apparence contradictoires. (Exemple : un silence éloquent.)
Procédé d'expression qui consiste à dire moins pour faire entendre plus. Exemple : Il n'est pas mauvais, ce gâteau ! Autrement dit, il est excellent.
Dispute et altercation, sont des mots synonymes.
Une logorrhée verbale est un terme de psychologie qui désigne un flot de parole incessant. C'est un symptôme fréquemment rencontré en psychiatrie et en neurologie car il est présent dans différentes maladies comme le trouble bipolaire ou l'aphasie de Wernicke.
La litote est la figure inverse de l'hyperbole, elle tend à tout diminuer. Si elle en dit moins, c'est pour suggérer davantage. Elle cherche à susciter chez le lecteur un sens bien plus fort qu'une formulation simple de l'idée exprimée.
Qui recouvre le fait de parler pour parler, souvent de parler pour ne rien dire. (En particulier) Qui a une fonction de pure civilité et ne veut rien dire en soi. « Je vous prie » est une phrase phatique : on ne « prie » pas vraiment l'interlocuteur auquel on s'adresse.
La misandrie (du grec ancien μῖσος / mîsos (« haine ») et ἀνήρ / anếr (« homme ») est un terme désignant un sentiment de mépris ou d'hostilité à l'égard des hommes. Ce terme est sémantiquement le correspondant inverse de celui de misogynie (sentiment de mépris ou d'hostilité à l'égard d'une ou des femmes).
Contraire : assuré, audacieux, cynique, décidé, désinvolte, dynamique, effronté, entreprenant, fanfaron, fier, hardi, impertinent, impudent, insolent, intrépide, résolu. – Familier : crâneur.
Répétition dans un même énoncé de mots ayant le même sens, soit par maladresse (par exemple descendre en bas), soit dans une intention stylistique (par exempleJe l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres yeux, vu [Molière]).
Ne pas confondre ces deux mots. Bimensuel = qui a lieu, qui paraît deux fois par mois. → bihebdomadaire. Bimestriel = qui a lieu, qui paraît tous les deux mois.
Sans avoir égard à ; en dépit de, malgré.