Dealer. Article détaillé : Dealer.
Pour devenir guetteur – ou «chouf», leur autre nom –, pas besoin de qualification particulière. Il suffit d'avoir du temps et une bonne vue.
Le terme dealer ou dealeur est un anglicisme pour désigner un vendeur de drogue, produits illicites ou dopants (le terme deal désignant ici spécifiquement l'échange de marchandise entre le vendeur et le consommateur).
Son rôle consistait à garder le cannabis, l'arme et les munitions à son domicile, mais aussi à conditionner la drogue en sachets pour la remettre à un livreur se présentant chez lui quotidiennement.
90 € par jour pour les guetteurs
À un stade intermédiaire, un « gérant » qui a la main sur plusieurs réseaux de revendeurs (à ne pas confondre avec les « charbonneurs ») peut encaisser jusqu'à 250 000 euros par an.
Le cannabis rapporte le plus d'argent
Si le nombre de consommateurs a tendance à rester stable, le cannabis reste la drogue qui rapporte le plus d'argent : il génère près de l a moitié du chiffre d'affaire des trafiquants.
(Argot) (Drogue) Dealer qui revend de la drogue au détail.
Un four c'est un terrain qui faisait plus de 10 000 € par jour de vente de résine de cannabis et de beuh. Les anciens à qui appartenait le terrain sont millionnaires aujourd'hui. Maintenant, le terrain a régressé et appartient à des gars qui ont à peu près mon âge. Dans le terrain, tout en haut, il y a le patron.
« Il faut garder à l'esprit que dix ans de prison, c'est la peine maximale encourue, souligne Corentin La Selve. Dans les faits, la justice examine chaque affaire au cas par cas. Les nourrices sont souvent choisies en raison de leur vulnérabilité ou de leur précarité, elles ont souvent des casiers judiciaires vierges.
Populaire. Personne se livrant à un petit trafic de revente de drogue. (On trouve aussi la forme francisée dealeur, dealeuse [nom].)
Le terme narcotrafiquant est un néologisme pour désigner un trafiquant de drogue, produits illicites ou dopants. Ce terme s'applique notamment aux barons des cartels comme le cartel de Medellín, qui impliquent de grandes quantités de produits ou une dimension internationale dans les échanges commerciaux illégaux.
Pablo Emilio Escobar Gaviria, né le 1er décembre 1949 à Rionegro, Antioquia, Colombie, et mort le 2 décembre 1993 à Medellín, Colombie, est un trafiquant de cocaïne colombien. À la tête du cartel de Medellín, il a été l'un des principaux barons de la drogue dans les années 1980.
chouf. (de l'arabe chouf, regarde.) Argot. Guetteur posté à un point de vente de drogue et chargé d'alerter un dealeur de l'arrivée de la police ou de toute personne suspecte lors d'une transaction.
Le mot Arah nous vient de l'arabe. Il signifie "attention" et est utilisé comme une alerte.
Ce « Ara » est un terme utilisé par les guetteurs pour avertir les trafiquants de drogue de la présence des policiers.
La quantité de produits stupéfiants retrouvée sur le contrevenant rentrera en ligne de compte dans la possibilité d'avoir recours à une AFD. Elle ne devra pas dépasser un plafond fixé à 10 grammes pour la cocaïne et 100 grammes pour le cannabis.
Un baron présumé du cannabis condamné à 18 ans de prison pour une série de go fast. Un homme soupçonné d'être un important baron de la drogue a été condamné en appel à Bordeaux à 18 ans de prison, mercredi 9 février 2022.
Nom commun
(Argot) Dealer ; vendeur de stupéfiants illégaux au détail.
Les secteurs les plus propices à une rencontre à Marseille sont sans conteste la Place Thiars et le Vieux-Port.
Le Matelot de spécialité « Opérations navales » peut être sélectionné entre 2 et 6 années de service pour suivre une formation à l'Ecole de Maistrance qui lui permettra de devenir Officier Marinier et de choisir le métier de « guetteur de la flotte ».
1. L'argent de la drogue principalement réaffecté à la police et la gendarmerie. Les revenus des biens saisis dans les affaires de trafic de stupéfiants sont reversés au "fonds de concours drogue", un fonds géré par la Mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie (MILDT).
Pendant des années, le patron de l'Office central de lutte contre le trafic illicite de stupéfiants (Ocrtis), le commissaire François Thierry, a été le visage de la lutte antidrogue en France, loué par les ministres successifs pour ses résultats spectaculaires.