avare (adj.) 1. qui a de l'argent et ne le dépense pas, même quand c'est nécessaire.
Si le mot avare est utilisé de manière plus péjorative, lorsque quelqu'un n'aime pas dépenser son argent même s'il en a beaucoup, on dit alors de lui qu'il est pingre ou grippe-sou . De manière plus familière, on peut remplacer avare par radin , rapiat ou même rat .
L'oniomanie est caractérisée par des préoccupations, des besoins et des comportements excessifs et non contrôlés vis-à-vis des achats et des dépenses.
L'avarice est un trait de la personnalité qui se traduit par une satisfaction dans la possession de biens et d'argent. L'avare n'aime pas partager ni dépenser car il aime accumuler des richesses pour son propre compte.
Intéressé, avide d'argent, vénal, qui ne pense qu'à des préoccupations financières. Exemple : C'est une personne cupide qui a pour habitude de sélectionner ses amis selon leurs finances. Étymologie : du latin cupidus (qui désire). Avide, gourmand, qui veut toujours plus.
avare (adj.) 1. qui a de l'argent et ne le dépense pas, même quand c'est nécessaire.
Séducteur, l'homme à femmes apprécie la compagnie des femmes et il est souvent en bonne compagnie.
L'avare est pathologiquement incapable de dépenser de l'argent ce qui le distingue de la personne économe qui fait attention à la gestion de son argent, mais accepte de le dépenser à bon escient. Ainsi, l'avarice relève de l'obsession et de l'addiction.
Une personne cupide peut ressentir un sentiment d'avarice envers l'argent, le sexe, le pouvoir, la nourriture, l'attention des autres, la connaissance… Elle peut se sentir cupide de presque n'importe quoi. Ce peut être envers quelque chose de concret comme envers quelque chose d'abstrait, de réel ou de symbolique.
Dans l'oniomanie (du grec onios, «à vendre»), l'objet acheté n'a pas d'importance. Contrairement au collectionneur qui chérit son achat, l'oniomane ne chérit que la transaction, le moment d'excitation qui précède l'acquisition et le soulagement éprouvé par la suite.
Définition "dépensière"
adj. Qui dépense beaucoup d'argent. Qui fait des dépenses excessives et inconsidérées.
(Personne) avare, souvent avec mesquinerie. Synon. chiche, grigou, grippe-sou, ladre (vieilli ou littér.), radin (fam.), rapiat (fam.)
Comment Appelle-t-on une personne qui parle toujours d'argent ? Quelqu'un de cupide est quelqu'un qui pense beaucoup à l'argent. On utilise parfois l'adjectif « mercantile » pour parler de quelqu'un qui aime l'argent.
Quels sont les antonymes du mot avare ? Le mot avare a plusieurs sens, donc ses contraires sont différents selon le contexte d'emploi. Tout d'abord, on dit d'une personne qui aime aider les autres et qui n'a aucun problème à dépenser son argent, qu'elle est charitable , désintéressée ou généreuse .
La seule solution pour se débarasser d'un profiteur, c'est de lui dire non et de l'envoyer chier. A partir du moment où tu considères que c'est « trop », c'est que c'est trop, point.
Ils cherchent dans l'argent ce qu'ils ne trouvent pas dans leurs rapports sociaux", avec un sentiment de malaise parmi leurs semblables.
Une personne radine ramène toutes ses activités à l'argent de façon à en dépenser le moins possible. C'est une obsession pour elle, ce qui peut gâcher sa vie en société, avec des proches ou des collègues. L'avare, quant à lui, n'a qu'une idée en tête : accumuler encore et encore plus d'argent.
1. Relativisez ! « Il faut bien faire la distinction entre le radin pathologique et la personne économe, qui fait juste attention à ses dépenses », souligne Bernard Prieur. Nous avons tous un rapport personnel à l'argent : il est donc bon de se positionner soi-même.
L'imagination en berne
Car l'addiction à l'argent entraîne souvent une autre modification psychologique, visible chez Harpagon : une atrophie de l'imagination. L'avare, selon Rogues de Fursac, souffre d'un défaut d'imagination, dont il est la plupart du temps victime depuis son enfance.
Toujours d'après la même étude de l'Ipsos, 72 % des cinquantenaires s'acceptent telles qu'elles sont. Un nombre important lorsque l'on sait qu'il chute à 62 % pour les femmes entre 25 et 44 ans. Les femmes de 50 ans recherchent un homme qui est à leur image : un homme qui s'assume tel qu'il est.
POLYANDRIE, subst. fém. A. − SOCIOL., ANTHROPOL.