Perte du sens des réalités, intolérance à la contradiction, actions à l'emporte-pièce, obsession de sa propre image et abus de pouvoir... Ce seraient quelque uns des symptômes d'une maladie mentale liée à l'exercice du pouvoir, le syndrome d'
Les «obstineux» compulsifs.
En psychanalyse, on parle de "syndrome d'hubris" lorsqu'une personne fait preuve de "narcissisme, d'arrogance, de prétention, d'égotisme, voire de manipulation, de mensonge et de mépris" en réaction à son pouvoir. Cette personne a le sentiment d'être invulnérable et d'avoir la toute-puissance.
"Les “j'ai-toujours-raison” se caractérisent souvent par une difficulté d'écoute et d'empathie. Ils sont trop passionnés et concentrés sur leur discours pour pouvoir écouter quelqu'un d'autre, ou alors ils se braquent par peur d'avoir le dessous", explique Christophe André, psychiatre à Paris.
Maniaques du contrôle selon leur entourage, parfois appelées control freaks, elles sont décrites par des termes comme « rigidité, froideur, intransigeance, critique inlassable ». Avec elles, il est souvent difficile de garder patience au fil des ans.
Les personnes psychorigides sont également peu chaleureuses, voire froides, même avec des personnes qu'elles apprécient. Elles ont aussi généralement un côté obsessionnel et perfectionniste à l'extrême, qui les pousse à vouloir tout gérer, tout contrôler (tout doit être organisé, planifié. Tout doit être rangé...).
omnisciente. Relatif à une Personnequi sait tout ou qui pense tout savoir sur tous les sujets. Par extension, personne qui a une grande culture générale.
On a pu voir que les narcissiques sont des personnes obsédées par la publication quasiment constant de leurs réussites, objectifs atteints, vertus apparentes et compétences élevées. Cependant, ce type de personnalité caractérisé par une vision élevé de soi-même n'admet jamais ses propres erreurs.
altruiste. Dévouement, se consacrer à autrui de façon désintéressée, sans rien attendre en retour. Aider les autres. Exemple : Faire preuve d'altruisme envers son prochain est un art de vivre.
Loquace signifie qui parle beaucoup. Quelqu'un de loquace a tendance au bavardage, il apprécie parler. Ce terme est aussi souvent utilisé à la négative pour désigner quelqu'un qui parle peu : "qui n'est pas loquace".
C'est une maladie idiopathique c'est-à-dire que les causes sont généralement inconnues. "Mais il existe des facteurs de risques tels que l'arrière du pied varus. Cette malformation du pied se manifeste par l'os du talon qui a tendance à rentrer à l'intérieur et augmenter la pression sur l'os naviculaire.
Le syndrome de West ou spasmes infantiles associe, chez un nourrisson, des spasmes axiaux en salves, une détérioration psychomotrice et un tracé EEG intercritique hypsarythmique. C'est le type le plus fréquent d'encéphalopathie épileptique.
Il désigne la propension des otages ayant partagé longtemps la vie de leur geôlier à sympathiser avec eux et à adopter leur point de vue. L'histoire du syndrome remonte à un hold-up dans une banque commis à Stockholm en 1973 par deux évadés de prison qui prennent en otage quatre employés.
Présomptueux : Définition simple et facile du dictionnaire.
"On aime tous avoir le dernier mot, dès lors que le sujet est important pour nous. Ça nous structure, ça nous définie, et nous cherchons à être du bon côté de la barrière. On veut être dans le camp des gens intelligents et on ne veut pas céder la dessus", analyse Jean-François Marmion, psychologue.
Le bon équilibre pour avoir de bonnes relations avec une personne susceptible tient au fait de lui donner de la reconnaissance tout en restant sincère. Face à une personne susceptible, vous pouvez contrebalancer une réflexion négative par une remarque positive afin que celle-ci passe mieux.
Le critiqueur
Ses commentaires vous blessent et minent peu à peu votre confiance.
adjectif. Qui persévère ; qui a de la persévérance. ➙ obstiné, opiniâtre, patient.
Une personnalité orgueilleuse aura du mal à reconnaître ses erreurs en se pensant supérieure aux autres, et remettra toujours la faute sur les autres.
Le trouble de la personnalité narcissique est caractérisé par un sentiment constant de supériorité (mégalomanie), un besoin d'être admiré et un manque d'empathie.
Paranoïaques et inhibés sont les plus touchés
« Il y a trois grandes familles de personnes très susceptibles à la critique, explique la psychologue clinicienne Marie Haddou. D'un côté, les paranoïaques qui sont très vigilants. Ils remarquent des choses que nous ne voyons pas et ont un sentiment de persécution.
Le professeur de sociologie américain Charles Derber a donné un nom à cette légère tendance égocentrique à attirer les conversations à soi : le narcissisme conversationnel. Dans ses travaux, il décortique sans ménagement notre société de plus en plus individualiste.
Strictes, inflexibles: les personnes psychorigides dirigent leurs existences grâce à un arsenal de règles auxquelles il ne faudrait déroger sous aucun prétexte. Un cadre qu'ils ont tendance à imposer à leur entourage.
Comme souligné par l'équipe belge, la thèse de l'orgueil est la comparaison favorable et explicite de soi par rapport aux autres. Cela amène les autres à croire que l'on a une attitude désobligeante à leur égard, car on les laisse penser qu'on se sent supérieur.