Il est causé par une destruction auto-immune du pancréas qui ne produit plus d'insuline. La cause est mal connue et il n'y a pas de prévention possible actuellement. Les gens atteints sont donc dépendants de l'insuline qui doit être administrée par injection.
Les causes du diabète de type 2
une origine génétique : le facteur familial est tout à fait prépondérant. Des antécédents de diabète du même type sont souvent présents dans la famille ; une alimentation déséquilibrée, manque d'activité physique, surpoids...
Le diabète de type 2 est la forme la plus fréquente de diabète, avec 90 % des cas. Il se manifeste généralement à l'âge adulte, chez les individus de 40 ans et plus.
On considère généralement que le diabète de type 2 est une maladie chronique irréversible, dont on ne peut espérer guérir, et que la seule option thérapeutique demeure de limiter les dégâts causés par l'hyperglycémie.
Limiter, voire supprimer, votre consommation de produits sucrés (sucre en morceaux, sucre en poudre, miel, bonbons, friandises, pâtisseries, viennoiseries, et céréales du petit déjeuner chocolatées ou au miel ou fourrées) car ils provoquent une forte augmentation de la glycémie.
Avec un diagnostic à 80 ans, l'espérance de vie était la même que celle des contrôles, alors qu'un diagnostic avant 20 ans était associé à 10 années de vie en moins. Dans l'ensemble, les sur-risques étaient numériquement plus élevés chez les femmes atteintes de diabète de type 2.
L'âge moyen au décès est de 79 ans, et est plus élevé chez les femmes que chez les hommes (81 vs 76 ans), comme en mortalité générale.
Le diabète peut-être une cause d'altération du sommeil. Certaines insomnies sont en effet liées à des troubles de la régulation glycémique (notamment en cas d'hypoglycémies nocturnes, fréquentes chez les diabétiques de type 1).
Maintenir une bonne hydratation grâce à l'eau peut vous aider à contrôler le taux de glycémie dans le sang, d'après une étude citée par Best Health Mag (Source 1). En cause, une hormone appelée vasopressine, qui augmente lorsqu'une personne est déshydratée, et qui stimule le foie afin qu'il produise plus de sucre.
Le diabète de type 2 (également appelé « diabète non insulinodépendant » (DNID) ou « diabète gras »), plus fréquent que celui de type 1, touche essentiellement les personnes de plus de 40 ans. Cette maladie est grave par ses complications, notamment sur le cœur, les vaisseaux sanguins, les reins et les nerfs.
Le diabète de type 2 se définit par une glycémie supérieure à 1,26 g/l (7 mmol/l) après un jeûne de 8 heures lors de deux examens différents ou supérieure à 2 g/l (ou 11,1 mmol/l) deux heures après l'ingestion contrôlée de sucre.
Les carottes sont donc loin d'être interdites dans un régime de diabète de type 2. De fait, elles ne contiennent que 5% de glucides et ont leur place dans l'alimentation adaptée au diabète de type 2.
"En cas de diabète, il faut privilégier les alcools forts qui sont peu ou pas sucrés comme le cognac, le gin, la vodka ou le whisky", conseille le spécialiste. Attention à la bière, aux digestifs et aux vins cuits qui contiennent davantage de sucre.
Un des effets de la prise d'insuline est le risque accru de prendre du poids. Le sucre présent dans le sang qui n'est pas utilisé lorsque l'insuline le transporte vers les cellules est stocké sous forme de graisses.
le diabète et l'obésité! Contrairement à ce que veulent nous faire croire les marques qui produisent des boissons allégées, elles sont loin d'être meilleures pour la santé. Elles favoriseraient même certaines maladies, voire l'obésité…
Le sucre ne peut plus assurer son rôle de source d'énergie chez le diabétique, il en résulte un état de fatigue intense même au repos. Cela résulte des hypoglycémies qui sont fréquentes. D'où l'importance de contrôler son taux de glycémie régulièrement lorsqu'on est diabétique.
La neuropathie est une atteinte des nerfs. Les nerfs permettent de transmettre des messages entre le cerveau et le reste du corps. On parle de neuropathie diabétique lorsque la glycémie, c'est-à-dire le taux de sucre dans le sang, est souvent élevée et endommage les vaisseaux sanguins qui nourrissent les nerfs.
Le diabète n'est pas une contre-indication à la vie sexuelle. Au contraire, celle-ci peut être considérée comme une forme d'activité physique douce, qui est recommandée.
Dans le cas du diabète de type 1, ce dérèglement est dû à un déficit d'insuline, une hormone régulatrice de la glycémie. Potentiellement très grave s'il n'est pas contrôlé, le diabète de type 1 est aujourd'hui très bien pris en charge (mais pas guéri) grâce à un apport d'insuline exogène.
La HAS recommande de prescrire la metformine seule en première intention. Si le traitement par metformine ne permet plus d'atteindre l'objectif glycémique cible, une bithérapie puis éventuellement une trithérapie pourra être envisagée sur la base d'une association de metformine et de sulfamide hypoglycémiant.