Règle N°3 pour cerner les gens : observer la cohérence
C'est-à-dire la différence qu'il peut y avoir entre : Le non-verbal. Le verbal (c'est-à-dire les mots). Et le para-verbal (le ton de la voix, l'intonation, etc…)
Les causes courantes de la peur de parler en public incluent l'anxiété sociale, le manque de confiance en soi et en ses capacités ainsi que la crainte du regard des autres ou de l'inconnu.
Pour convaincre il vous faut parler aux deux hémisphères du cerveau de vos interlocuteurs. Pour réussir à créer de l'empathie avec ces derniers, adressez vous donc à leurs émotions tout comme à leur rationalité, avec un ratio qui devra être ajusté en fonction de votre thématique ainsi que du profil de chaque public.
Être empathique signifie voir les choses du point de vue d'une autre personne ou s'imaginer dans la même situation qu'elle et déterminer ce que cette personne ressent (sur la base de ses propos, du ton de sa voix, de l'expression de son visage, de son langage corporel, etc.).
La construction du profil psychologique d'une personne répond à plusieurs types d'objectifs : le psychodiagnostic psychiatrique, l'orientation professionnelle, la sélection de candidats en entreprise ou dans des services de sécurité publique ou même l'élaboration du portrait-robot d'un suspect éventuel.
Le profil de base d'une personne correspond à sa « zone de confort » ou « état de repos ». Observez son comportement lors de moments insignifiants. Notez la façon dont la personne réagit face à certains évènements, évaluez-la lors de jours différents et voyez la façon dont elle interagit avec son entourage.
Une personne difficile a des traits qui rendent assez difficile ou presque impossible de coexister ou de communiquer efficacement avec elle. Elles disent souvent des choses inappropriées et irrationnelles. Elles ne parviennent pas à utiliser l'intelligence émotionnelle pour résoudre des problèmes.
L'empathie permet une plus grande compréhension et un profond respect des perceptions, des sentiments, des croyances, des désirs de l'autre. En plus de ce ressenti de l'émotion de l'autre, il faut être capable de dissocier soi de l'autre, et de réguler ses propres réponses émotionnelles.
Pratiquer l'empathie : se mettre à la place des autres, en essayant de comprendre leurs points de vue, mais aussi leurs émotions. C'est une bonne façon de remettre en question votre façon de communiquer, d'interagir.
L'émotion la mieux documentée est la peur. La sensibilité individuelle représente une partie importante de notre personnalité.
Dans mon post du 4 janvier, je vous présentais les 3 formes d'empathie : empathie cognitive, empathie émotionnelle et bienveillance.
Être empathique c'est travailler sur soi-même, et ce n'est pas inné, ça se travaille et s'apprend avec le temps.
Il y a 66 % de chances qu'une personne psychopathe ait un score de dangerosité plus élevé qu'une personne choisie au hasard dans la population. En général, ce sont des individus qui ne ressentent pas d'empathie, ils se soucient peu de ce que les autres ressentent et les utilisent pour atteindre leur but.
Généralement, ces cas d'alexithymie sont causés par un ou plusieurs traumatismes vécus par la personne. La difficulté à ressentir les émotions et à les exprimer sera alors une réponse défensive face aux évènements. En dehors de cela, l'alexithymie peut être la manifestation d'un trouble psychologique plus complexe.
Patience et Respect du Rythme de l'Autre. La patience est une vertu clé dans la communication avec quelqu'un qui ne veut pas parler. Il est important de respecter le rythme de l'autre et de ne pas forcer la conversation. Parfois, donner du temps et de l'espace à l'autre est la meilleure façon de l'encourager à s'ouvrir ...
Lorsque votre interlocuteur ou interlocutrice décide de se taire, ne prenez pas cela comme un affront, mais comme une expression : précisez-lui que vous en avez conscience en lui disant "je vois que tu n'as pas envie de parler, donc je n'insisterai pas".
Comme la parole, le silence fait partie intégrante de la communication. Pour cela, il est nécessaire de savoir communiquer pour échanger et aussi de savoir se taire pour prendre ou donner la parole.
Tenez compte des sentiments de votre interlocuteur et choisissez une approche aimable, et non menaçante. Utilisez des mots constructifs, en particulier si vous donnez des conseils ou demandez à quelqu'un de faire un changement. Validez ce que la personne ressent, évitez de l'accabler, et évitez de porter des jugements.
La parole nous rapproche des autres notamment parce qu'elle libère de l'ocytocine dans notre cerveau, ce qui consolide notre lien avec l'autre. Converser, c'est aussi exister aux yeux des autres. On a besoin de se sentir compris, mais aussi d'obtenir un soutien et une validation de nos points de vue.