Pour cela il vous suffit de récupérer une bouteille d'eau en plastique (1,5L) et de percer un trou dans le bouchon de celle-ci. Ensuite, remplissez votre bouteille avec de l'eau. Idéalement, il est conseillé de récupérer de l'eau de pluie pour vos tomates. De plus, c'est écologique !
Comment fabriquer son goutte-à-goutte enterré dans le jardin ? Prenez une bouteille en plastique, faites des petits trous à l'aide d'une aiguille chauffée, en les répartissant sur sa hauteur et ses côtés. Puis, enterrez-la, en ne laissant dépasser que le goulot, pour pouvoir la remplir facilement.
Le goutte à goutte simple qui consiste à percer un trou dans le bouchon à l'aide d'un clou et plusieurs trous dans le fond de la bouteille, puis de retourner la bouteille en plaçant le goulot dans la terre. Son point faible ? Un écoulement imprécis.
Remplissez la bouteille d'eau et vissez l'embout. Plantez la bouteille dans la terre, à l'envers. L'embout doit être dans la terre et le fond de la bouteille sur le dessus. Une fois retournée, faites plusieurs trous dans le fond de la bouteille pour permettre à l'eau de s'écouler.
Remplissez une bouteille de 1,5 L ou 5 L avec de l'eau. Vissez l'embout correspondant au débit souhaité. Retournez la bouteille et enfoncez le cône en céramique dans la terre du pot de fleurs ou en pleine terre à côté de la plante à arroser. À l'aide d'un clou, pratiquez un trou dans le fond de la bouteille.
Ceci est très important, vu que la principale raison de l'apparition du midou de la tomate, est effectivement l'humidité accumulée sur le feuillage. Ce qui plus est, le système d'arrosage par bouteille permet de mieux maîtriser et doser le processus d'irrigation.
Pour avoir de belles tomates, mieux vaut réussir l'arrosage. Arrosez à peu près tous les jours, à raison d'un litre d'eau par jour, et par plant, notamment quand il fait chaud et sec ! Plutôt que de se munir d'un arrosoir, mieux vaut opter pour un kit d'irrigation en goutte-à-goutte bien réglé.
Une autre astuce pour que vos plantes ne sèchent pas pendant votre absence est de prévoir un arrosage par capillarité. C'est très simple : il suffit de placer un récipient d'eau à côté de votre plante et de disposer une mèche en coton ou une ficelle dont les extrémités relient la terre de la plante à l'eau.
Cette méthode ingénieuse nécessite deux bouteilles de 1,5 l et 5 l. La grande bouteille est coupée à la base, tandis que la petite est coupée en deux, dont une partie est enterrée près de la plante à arroser. Cette dernière fait office de réservoir et doit être remplie d'eau.
Pour garder la terre humide en permanence, un paillis épais (5 à 10 cm) sera étalé au pied des plants de tomates et tout autour. Toutes sortes de mulchs peuvent convenir : tontes de gazon séchées, foin, paille, etc…
Une Oyas® AEL suffit pour 4 plants de tomates, et une Oyas® AEM est facile d'installation dans une jardinière avec 2 plants de tomates 'cerise' par exemple.
Pour cela il vous suffit de récupérer une bouteille d'eau en plastique (1,5L) et de percer un trou dans le bouchon de celle-ci. Ensuite, remplissez votre bouteille avec de l'eau. Idéalement, il est conseillé de récupérer de l'eau de pluie pour vos tomates. De plus, c'est écologique !
Arrosez un carré potager
Écartez le paillis. Arrosez abondamment les jours précédant votre départ, pas seulement en surface mais de façon à imbiber le sol en profondeur. Remettez le paillis en place, renforcez-le si nécessaire.
Pour la réaliser c'est très simple, prenez une bouteille d'eau vide et percez-la un peu partout. Utilisez un clou fin ou une aiguille afin que les trous ne soient pas trop grands. Ensuite, plantez la bouteille dans un trou à côté de la plante à arroser (sans abîmer les racines) tout en laissant le goulot déborder.
La capillarité est le phénomène physique que l'on observe lorsque l'on immerge partiellement un tube de petit diamètre dans un liquide. On constate que le liquide s'élève spontanément dans le tube. Cette propriété est utilisée par les plantes : la sève monte dans les tiges sous l'effet de la capillarité.
Le bassinage ou trempage consiste à placer la base du pot dans l'eau (dans un récipient ou dans l'évier remplis d'eau). L'eau va peu à peu s'infiltrer par les trous d'évacuation du pot de la plante. Et grâce au phénomène de capillarité, l'eau va remonter jusqu'à la surface de la motte.
Les tomates en manque d'eau se repèrent à un feuillage mou, pendant, mais vert. Un arrosage et la plante se redresse, tout rentre dans l'ordre. Un paillage épais, surtout lors de fortes chaleurs, permet de conserver l'humidité du sol le plus longtemps possible.
Le truc le plus souvent partagé est de planter profondément. Oh miracle, quand on enterre une portion de la tige d'un plant de tomate, celle-ci développe des racines. Plus de racines, plus de portes d'entrée pour la nourriture. Quelques centimètres de plus sous terre sont donc bénéfiques.
Il est important d'observer les plants régulièrement pour détecter les symptômes d'un mauvais arrosage des tomates. Des feuilles flétries ou des taches noires (le cul noir de la tomate) pourront indiquer un stress hydrique, alors que si vos fruits sont fendus, cela serait dû à un excès d'eau.
L'arrosage doit être régulier et se gère en fonction de la croissance des fruits et de la région où vous vous situez. Dans les régions du Sud, un arrosage toutes les 24/48h est recommandé. Dans les régions plus fraîches, l'hydratation peut être espacée tous les 3 ou 4 jours maximum.