L'euphorie peut survenir chez des personnes sous influence d'alcool ou de drogues, car leur consommation entraîne une libération de dopamine et d'endorphines, hormones du bonheur, qui ont pris certains médicaments, ainsi que chez les personnes en manque d'oxygène (en altitude).
1. Sensation intense de bien-être, d'optimisme. 2. Sentiment de grande joie, de satisfaction, de contentement : L'euphorie des premiers mois de vie commune.
Précisions sur les troubles bipolaires
Passer de l'euphorie à la dépression en quelques jours, c'est ce qui caractérise les troubles bipolaires autrefois appelés psychose maniaco-dépressive. Une pathologie qui se manifeste au moment de l'adolescence ou au début de l'âge adulte et qui est difficile à diagnostiquer.
Les personnes souffrant de troubles bipolaires n'ont pas conscience de leur état et perçoivent comme normales les deux premières phases liées à cette maladie.
Emprunté du grec euphoria, « force de porter, de supporter », de euphoros, « facile à porter », de eu-, « bien », et pherein, « porter ».
Affaissement, creux, fosse.
invariable adj. Qui ne change pas, qu'on ne peut pas modifier.
Les troubles bipolaires débutent le plus souvent à l'adolescence entre 15 et 19 ans soit par un épisode dépressif soit par un épisode maniaque. Dans les deux cas, l'entourage observe un changement brutal de l'état psychique de l'adolescent.
Le trouble bipolaire débute le plus souvent précocément, parfois à l'adolescence mais le plus souvent au début de la vie adulte (début entre 15 et 25 ans le plus souvent).
Pour les personnes souffrant d'un trouble bipolaire, un bilan de santé initial est mis en place, souvent par un médecin psychiatre. En général, celui-ci travaille en collaboration avec d'autres professionnels de santé : médecin traitant, médecin du travail, médecin de santé scolaire, etc.
La dépression sévère mélancolique (niveau le plus élevé de dépression) : forme très douloureuse, avec perte d'intérêt total pour le monde extérieur, incapacité à aimer, perte d'estime de soi, autodépréciation constante…
La bipolarité est une maladie contraignante, affectant la vie quotidienne mais qui peut être prise en charge. Elle se traduit par une perte de contrôle extrême dans le comportement, le discours et les pulsions et par l'impossibilité de pouvoir gérer ses émotions. Elle peut ainsi donner lieu à des troubles anxieux.
Le trouble bipolaire (autrefois appelé maniaco-dépression) est un trouble biochimique qui entraîne un déséquilibre des neurotransmetteurs dans le cerveau.
Les bipolaires se disent plus sensibles. Les borderline également, mais souvent ils ont tendance à se faire beaucoup plus de mal et cela évolue de manière chronique. Il y a finalement peu de rémission chez les borderline alors que chez les bipolaires, il y a des phases de normothymie relativement paisibles.
Le mot borderline veut dire « à la limite ». Il a été utilisé car le trouble était, à l'origine, considéré comme « à la limite » entre la névrose et la psychose. On sait maintenant que c'est une maladie clairement définie. Vous entendrez aussi parler d'état limite.
Dans les phases aiguës de la maladie, l'alcool et les drogues sont les principaux facteurs de risque qui conduisent à des comportements agressifs. L'alcool et les drogues augmentent en fait les épisodes de violence verbale et physique, même s'ils réduisent l'irritabilité et les crises d'agitation psychomotrice.
Bipolarité : des conséquences sur le cerveau à déterminer
Cette pathologie psychiatrique grave se caractérise par des variations disproportionnées de l'humeur. Les épisodes maniaques ou hypomaniaques (agitation, euphorie exagérée) alternent en effet avec des épisodes dépressifs et des moments de rémission.
Les symptômes les plus connus sont le repli sur soi, l'incapacité d'agir, les sautes d'humeur, un comportement désorganisé, des problèmes de concentration, des mouvements répétitifs, des difficultés à tenir une conversation.
Le schizophrène ne parvient pas à organiser ses idées, il n'a plus de raisonnement logique, son discours devient incohérent. Son esprit peut rester longtemps fixé sur une idée, et des pensées parasites entravent le déroulement de son raisonnement.
En outre, lorsqu'une personne bipolaire sort d'une phase de crise, elle est capable de prendre conscience de son propre état émotionnel. Tandis que, de son côté, le pervers narcissique est froid, surtout quand il manipule l'autre et ne prend pas conscience de la façon dont il se comporte.
discret, discrète
2. Qui n'attire pas trop l'attention : Une toilette discrète. 3. Qui sait garder un secret : Vous pouvez tout me confier : je serai discret.
Immuable : Définition simple et facile du dictionnaire.