Une des raisons qui vous empêchent d'aller lui parler est la peur que votre assurance en prenne un coup. Ne vous en faites pas. Vous ne devez pas penser que votre assurance ne repose que sur l'opinion d'une seule personne. Une grande partie de celle-ci devrait venir de ce que vous ressentez à propos de vous-même.
Voici les 3 raisons qui sont à l'origine de ce comportement : La peur de soi : de se laisser submerger par l'émotion, de perdre le contrôle qui serait alors considéré comme un manque de professionnalisme ou de compétence. La peur du conflit : la crainte de blesser son interlocuteur indispose beaucoup de personnes.
Si vous n'arrivez pas à dire ce que vous pensez, il est fort probable que vous ayez également du mal à gérer vos émotions. Le meilleur moyen d'apprendre à les gérer, c'est de se recentrer sur soi-même.
En juin dernier, une étude réalisée par des chercheurs en neurosciences de New York parvenait à une conclusion étonnante : une région bien particulière du cerveau, le cortex cingulaire antérieur subgénual (sgACC), s'active lors d'une action courageuse.
Être courageux a des avantages: d'une part, il empêche un pessimisme injustifié, car les personnes courageuses croient en elles-mêmes et donc en leur propre efficacité. Les personnes courageuses surmontent aussi plus facilement les difficultés et ne sont pas découragées par l'adversité.
1. Qui a du courage, de la fermeté, de l'ardeur, de l'énergie au travail ; brave : Une femme courageuse devant l'adversité. 2. Qui manifeste ce sentiment : Une courageuse intervention.
Cela consiste à exprimer de façon claire et directe ses sentiments et ses besoins aux autres, sans pour autant les frustrer ou à les offusquer. L'assertivité permet de se montrer authentique, sans masquer nos faiblesses ni ses qualités, sans changer son comportement par peur du jugement des autres.
C'est le droit de s'affirmer !
En fait, dire les choses ne consiste en rien d'autre qu'à s'affirmer, c'est-à-dire à se comporter en nous respectant tel que nous sommes, si possible en toute situation. C'est vrai, exprimer son avis, son désaccord ou encore son accord n'est pas toujours chose facile, et pour cause !
Nous sommes également susceptibles de perdre nos moyens par manque de confiance en soi. De nombreuses études ont démontré le rôle de l'estime de soi dans la qualité des performances, que ce soit en examen, en entretien, en sport.
Le courage vient de la peur que nous sommes en train de dépasser. et Pourquoi le courage est important ? Le courage (dérivé de cœur) est une vertu qui permet d'entreprendre des choses difficiles en surmontant la peur, et en affrontant le danger, la souffrance, la fatigue.
On reconnaît généralement dans le courage une disposition à affronter ses peurs, à faire face au danger de manière résolue et volontaire. C'est l'élan qui pousse à s'engager dans l'action malgré le risque.
La témérité est définie comme la disposition à oser, à entreprendre sans réflexion ou sans prudence ; alors que le courage est défini comme la prise de conscience de risques dans la réalisation d'une action.
Fermeté, force morale face aux épreuves, au danger et à la souffrance. Ardeur, énergie, zèle. Exemple : Ils travaillaient sans relâche et faisaient preuve d'un grand courage.
Le courage ressemble à l'audace mais avec quelque chose en plus : une durée et une dimension morale. Avoir du courage, c'est exprimer une combativité qui s'inscrit dans la durée et porte en elle des valeurs. Le courage est une persévérance et, de façon implicite au moins, une éthique.
Se sentir en permanence en colère peut également être le signe d'un mal être que l'on ne reconnait pas ou que l'on ne veut pas reconnaitre. Comme il faut bien que cela s'exprime à un moment, cela passe par une émotion vive et forte.
Il est absolument nécessaire d'exprimer ce que l'on ressent, à partir d'un lieu, en nous, centré et responsable : c'est à dire qui ne nie pas les émotions et ressentis mais ne rend pas non plus les autres ou les situations responsables de ce qui nous arrive. »
La Thérapie Interpersonnelle (TIP) et la Thérapie cognitive et Comportementale (TCC) sont à privilégier dans cette situation. Le diagnostic doit être posé par un psychiatre afin d'organiser la stratégie thérapeutique. L'impulsivité peut entraîner des conséquences graves dans la vie de la personne impulsive.