Il est très difficile de se connaître soi-même, d'une part parce qu'une partie de nous-mêmes est inaccessible (cf. Freud, "le moi n'est pas maître de sa propre maison"). D'autre part, parce qu'un sujet ne peut devenir objet pour lui-même. En ce sens, la connaissance d'autrui est plus aisée.
En effet, de la connaissance de soi découle la confiance en soi, la motivation ou bien encore la persévérance. Pour gagner en efficacité, le collaborateur doit avoir conscience de ses forces, ses faiblesses ainsi que de ses propres limites..
Elle est utile pour comprendre qui on est, comment les autres nous voient, et la façon dont nous nous intégrons au monde. La connaissance de soi nous donne le pouvoir. Peut-être qu'on n'aimera pas forcément ce que l'on voit, mais c'est un grand réconfort et une grande aide de se connaître soi-même.
La connaissance de soi est le savoir qu'une personne acquiert sur elle-même, en termes psychologiques ou spirituels, au cours de sa vie à l'occasion de ses expériences.
Se connaître c'est donc un peu se construire : il y a une réflexion sur soi, et non un simple constat. C'est un travail, créatif, puisque je m'y construis. En effet en réfléchissant à qui je suis, je crée celui que je suis, car je cesse de subir mon être pour le choisir : je deviens conscient de moi même.
L'un des moyens pour se connaître est la relation avec les autres, cela permet d'avoir une meilleure connaissance de notre personne. Il est plus facile de critiquer une personne, de dire ses défauts plutôt que de se faire un vrai portrait de nous mêmes.
La connaissance de soi est plus facile que la connaissance d'autrui. a) La conscience comme accès immédiat à l'intériorité. La connaissance de soi, à première vue, est plus facile, car directe : parce que je suis conscient, j'ai un accès immédiat à mon intériorité, et je sais donc ce que je pense ou ce que je ressens.
Qu'est-ce que la confiance en soi ? La confiance en soi permet d'avoir une vision réaliste de nos capacités. Croire en nos capacités permet de mieux gérer nos émotions et atteindre nos objectifs. Avoir confiance en soi est bénéfique pour la santé mentale, la réussite, la prise de décision et la résilience.
Le plus connu est le Test MBTI (myers Briggs Type Indicator). Ce test permet de déterminer le type psychologique d'une personne. C'est assez bluffant comme test. Il est très simple et nécessite 15 minutes environ.
Une bonne dose d'empathie est utile pour pouvoir comprendre vos semblables. La définition même de l'empathie est la capacité de se mettre à la place d'une autre personne. Si cette habileté est variable selon les individus, vous pouvez toujours la travailler et la développer comme toute autre compétence.
La connaissance de soi favorise l'acceptation de soi.
Elle aide à se libérer de ses automatismes, se dégager des contraintes de son image, s'ouvrir aux relations authentiques, savoir recevoir avec gratitude. Voilà l'intérêt d'apprendre à se connaître.
II. On ne peut pas se connaître soi-même. On ne peut pas se connaître soi-même, car l'expérience des sens nous en empêche. En effet, nos sens sont trompeurs et sont considérés comme une source d'illusion, d'incertitude, car ils nous détournent de notre pensée.
La question «qui suis-je?» englobe toutes les dimensions de l'existence, qu'elles soient temporelles ou spirituelles, y compris la quête de qui nous pourrions ou devrions être.
Se connaître soi-même, c'est bien davantage se reconnaître dans ses propres choix, dans la manière de les assumer en étant capable, par exemple, de tenir ses promesses. La connaissance de soi met alors à jour notre identité-ipsé, c'est-à-dire notre dignité morale qui nous élève au-delà de ce que la nature fait de nous.
Un sentiment de haine de soi peut également être le résultat d'un problème de santé mentale comme la dépression ou l'anxiété. La dépression, par exemple, peut provoquer des symptômes tels que le désespoir, la culpabilité et la honte, qui peuvent vous donner l'impression que vous n'êtes pas assez bien.
Qui est misanthrope, qui éprouve de l'hostilité, voire de la haine envers le genre humain.
La connaissance de soi se traduit par la sagesse, et n'est pas une fin en soi, car on ne peut jamais se connaître complètement. En revanche, on peut faire plus ou moins d'efforts pour tenter de mieux nous connaître dans notre changement perpétuel.
La connaissance désigne un rapport de la pensée à la réalité extérieure et engage la notion de vérité comme adéquation de l'esprit et de la chose. Par extension, le terme connaissance désigne le contenu de la pensée qui correspond à la nature de la chose visée, et s'oppose à erreur ou illusion.