«Une des meilleures façons d'amorcer une discussion est de poser une question. Les questions ayant un lien avec la situation dans laquelle vous vous trouvez sont souvent les meilleures. Par exemple, lors d'un évènement, vous demandez : “Avez-vous déjà entendu cet auteur avant ?”»
Continuer la discussion
Essayez d'éviter les questions qui se répondent par “oui” ou par “non”, essayez de faire parler votre partenaire de discussion. Au lieu de lui poser une question directe, comme par exemple, concernant son emploi, proposez-lui de le deviner!
Vous pourriez dire par exemple : « cette robe est très jolie. Où l'avez-vous achetée ? » ou bien « j'aime beaucoup votre style. Où avez-vous trouvé ses vêtements ? » Utilisez des questions ouvertes autant que possible pour que la conversation ne se termine pas sur un « oui » ou sur un « non ».
Lorsque tu commences à te dire « Je ne sais pas quoi dire« , c'est le moment de te recentrer sur le moment présent. Comment faire cela ? En pratiquant l'écoute active, c'est-à-dire prêter attention à ce que ton interlocuteur est en train de te raconter.
Quel était ton endroit préféré quand tu étais enfant, et pourquoi appréciais-tu cet endroit ? Raconte-moi un défi auquel tu as fait face au travail ou à l'école et demande moi conseil sur la manière de le relever. Quelle est la première chose que tu as acheté avec ton propre argent ? Qu'est-ce qui t'intrigues le plus ?
Pour toujours avoir quelque chose à dire, c'est important de garder à l'esprit les deux dimensions d'une conversation. Soit vous pouvez parler d'un nouveau sujet avec votre interlocuteur. Soit vous approfondissez un sujet déjà mentionné. La difficulté est de trouver l'équilibre entre ces deux axes.
Essayez de penser à un sujet de conversation avant de commencer à parler. Cela pourra aussi vous aider à détourner une conversation d'un sujet déplaisant. N'ayez pas l'impression de devoir dominer la conversation. Laissez aussi l'autre personne s'ouvrir.
4/ Laissez des silences pour avoir des idées de discussion ou laisser l'autre relancer. Dans une discussion, on a l'impression qu'il faut tout le temps relancer et ne jamais laisser de silence. C'est une erreur : ça fait du bien de temps en temps d'arrêter de parler pendant quelques secondes.
Le deuxième problème qui coupe l'émergence des sujets de conversation, c'est le fait de juger son idée avant même de l'avoir dite à l'autre. Vous êtes le pire juge qu'il soit. Surtout quand on est timide et que l'on manque de confiance en soi, on se juge très négativement bien souvent.
Dans ce genre de situations, une solution consiste à faire l'effort de s'intéresser vraiment à ce qui se dit, faire comme si on devait résumer les idées principales. On s'empêcherait par exemple de réfléchir à un autre sujet en faisant semblant de suivre, ou de lire ses e-mails pendant une conférence téléphonique…
Il(elle) te fait un grand sourire et engage immédiatement la conversation. Il(elle) te fait un petit geste de la main, en guise de salutation. Tu as l'impression qu'il(elle) ne te voit pas. Est-ce que ses amis t'ont déjà dit qu'il(elle) parlait souvent de toi ?
Montrez à votre chéri qu'il vous plaît, qu'il vous attire.. Dites-lui que vous aimez sa peau, son odeur, sa bouche, ses mains, ses yeux... Tout ce que vous voulez ! L'important c'est qu'il se sente désiré par la femme qui est à ses côtés.
Regardez-la dans les yeux. Si vous êtes timide, il peut être difficile de regarder l'autre dans les yeux, mais vous devez lutter contre l'envie de détourner le regard. Montrez-lui que vous êtes intéressé par ce qu'elle ou ce qu'il dit en le ou la regardant dans les yeux pendant la conversation.
Le stress d'avoir à parler, d'avoir à dire quelque chose d'intéressant. Le stress de ne pas parler, et que les autres pensent que nous n'avons rien à dire. Le stress de n'avoir pas parlé, et de se rendre compte après la situation de tout ce qu'on aurait pu dire. C'est ce stress qui nous bloque.
Un manque de sécurité intérieure
C'est toujours très difficile de parler de soi. Cela suppose une estime de soi et une sécurité intérieure suffisantes. » Plus nous en manquons, et moins nous nous dévoilons.