Contractez les muscles à l'arrière de votre gorge.
Ces muscles se contractent naturellement un peu quand vous bâillez. Les contracter peut stimuler votre corps à former un vrai bâillement. Votre cerveau fera le lien entre la sensation de ces muscles en train de se contracter et le fait de bâiller.
Retenir ses bâillements
Baillez aussi fort que vous voulez et aussi longtemps que votre corps vous le demandera. Et pour une meilleure oxygénation, respirez profondément deux ou trois fois (en laissant un peu d'espace entre chaque inspiration), le tout, en levant les bras et en expulsant l'air progressivement.
"Quand le bâillement devient excessif et se répète à l'envi, il peut signaler une dette de sommeil, voire un syndrome d'apnée du sommeil", indique le spécialiste. "Le bâillement peut aussi accompagner une migraine, un AVC, une hypertension intracrânienne, parfois une tumeur au cerveau.
Nombre de spécialistes l'assurent : bailler est bon pour la santé. Contraction des muscles du visage et du diaphragme, le bâillement permet notamment de décontracter tout le corps. Une vertu apaisante qui apparaît comme un révélateur de notre capacité à réactiver notre énergie.
Les girafes ne bâillent jamais.
« Lorsque l'on bâille, on a tendance à pleurer un peu. Cela est dû à la contraction des sacs lacrymaux, à la base de l'œil, provoquée par la contraction de la mâchoire lors du bâillement. »
Inspirez par le nez pendant 2 secondes. Faites descendre l'air dans votre abdomen. Pincez les lèvres et expirez lentement, pendant 4 secondes. Vous devez prendre deux fois plus de temps pour expirer que pour inspirer.
«Bâiller à fond permet de détendre les muscles de notre visage et de respirer profondément pour oxygéner le cerveau», explique Eva Lothar, docteur en médecine. Comme vous n'aurez pas l'air très sexy, mieux vaut veiller à ce que personne ne pose un œil distrait sur vous, ou au moins à mettre la main devant votre bouche.
Souvent associé à la fatigue ou à l'ennui, le bâillement aiderait surtout à retrouver son calme et sa vigilance avant et après un effort ou un stress. S'il se déclenche spontanément, il peut aussi être provoqué volontairement pour se détendre.
Outre l'humeur, la qualité et la quantité de sommeil diminuent : les siestes plus courtes, des réveils en majorité en pleurs, un sommeil plus agité, une transition entre les cycles plus difficile… C'est aussi ça une dette de sommeil!
La girafe, le seul animal qui ne baille pas
Mais alors pourquoi ? Selon certains scientifiques la raison viendrait du cycle du sommeil particulier de la girafe et du fait que qu'elle dort très peu et en pointillé tout au long de la journée et que le bâillement ne lui serait pas nécessaire.
Inspirer par le nez puis expirer par la bouche
Les bâillements seraient en partie dus à un manque d'oxygène dans le cerveau, et inspirer par le nez puis expirer par la bouche est la technique la plus efficace pour le réoxygéner, ce petit sacripant.
En fait, le bâillement serait déclenché par une augmentation de la température du cerveau[1], qui se produit souvent lorsqu'on est fatigué, qu'on s'ennuie, qu'il fait chaud ou qu'on est malade. Bâiller a un effet thermorégulateur qui nous permet de retrouver de la vigilance.
On sait aussi que la faim déclenche des baillements, tout comme les repas repas trop copieux ou alcoolisés. Plus la ration calorique est élevée au cours d'un repas, et plus on a envie de bailler ensuite. Le baillement est lié à la régulation des rythmes de veille, de sommeil et d'alimentation.
C'est dû à certaines grosses « gorgées » de lait qu'il a avalé et qui, en descendant dans son « oesophage » ( le chemin qui relie la bouche à l'estomac), ont chatouillé des nerfs et cela provoque des petits spasmes très bénins du diaphragme (le muscle qui sépare le ventre du thorax).
Il faut donc apprendre à respirer par le ventre. Par le bas des poumons, en gonflant votre ventre. La respiration est alors plus libre et elle détend. Faites un exercice 3 fois par jour : il s'agit de respirer par le ventre en inspirant pendant 5 secondes, puis en soufflant pendant 5 secondes (à chronométrer).
Buvez beaucoup d'eau : L'eau peut aider à fluidifier les mucosités. Utilisez un humidificateur ou prenez une douche chaude. Reposez-vous en gardant la tête surélevée. Buvez du thé chaud avec du citron et du miel.
Exercez-vous: assis, allongé ou même debout, mains sur le ventre pour sentir le va-et-vient respiratoire, inspirez pendant 3 s par le nez en gonflant le ventre comme un ballon, bloquez l'air 3 s puis expirez lentement par la bouche pendant 6 s en laissant le ventre dégonfler jusqu'à se creuser.
Cela dépend des circuits nerveux. On pense notamment que les larmes viennent du fait que c'est le même nerf qui est concerné par les mouvements de la face et le système lacrymal ». Ce que l'on sait en revanche, c'est que certaines hormones, comme les œstrogènes, favorisent l'émission de sécrétions, dont les larmes.
Est-ce que tout le monde pleure en bâillant ? Une chose est sûre, il n'y a pas dans notre cerveau de centre du bâillement; tout le monde baille et à tous les âges.
Quand "j'ai mal", le fait de pleurer est une réaction affective, un comportement, en réaction à une situation de mal-être, qu'il s'agisse d'une douleur physique ou d'une souffrance psychique...