Cette quantification s'effectue à l'aide de thermomètres numériques spécifiques à la mesure de la température du fluide frigorigène. La quantité exacte de sous-refroidissement est indiquée par la différence entre température constante et température de saturation.
Abaissement de la température d'un liquide (notamment un frigorigène) au-dessous de sa température de condensation.
La surchauffe est mesurée comme la différence entre la température réelle de la vapeur de réfrigérant et la température de saturation du réfrigérant au même point. La surchauffe sur la partie inférieure du système peut être divisée en deux types : surchauffe de l'évaporateur et surchauffe totale.
Elle correspond à la différence de température prise sur le tube d'aspiration entre le bulbe du détendeur et l'entrée du compresseur, la surchauffe totale ne doit pas dépasser 15 K car les vapeurs aspirées servent à refroidir le compresseur.
Il est possible de connaître la température de condensation du fluide frigorigène en établissant la relation Pression / Température avec le manomètre HP. L'écart de température entre l'entrée d'air (tae) et la température de condensation du fluide (tk) est appelé (ΔT) delta T° Totale.
Si cet air rencontre une surface froide, il se condensera lorsqu'il touchera une surface suffisamment froide pour s'abaisser en-dessous de 14°C (100% d'humidité relative).
P = qv × 0,34 × ΔT
Cette formule est logique : Comme pour l'eau, plus le débit d'air qv est important plus la puissance (de chauffage ou de refroidissement) véhiculée est à priori importante.
Pour que le système fonctionne correctement, le sous-refroidissement doit être réglé entre 6 et 10 degrés Fahrenheit afin de prévoir l'inefficacité du climatiseur. Cela limite la quantité de chaleur que le réfrigérant peut absorber.
La surchauffe de l'évaporateur :
On peut aussi la prendre avec un thermomètre a 2 sondes dont l'une sera située à l'entrée de l'évaporateur et l'autre à côté du bulbe du détendeur. généralement comprise entre 5 et 8 C°.
C'est finalement assez simple. Lorsque le thermomètre affiche 0 °C et que le vent souffle à 40 km. h-1, votre peau ressent le froid comme si le thermomètre affichait -7 °C sans vent.
– Le thermomètre : il s'agit d'un instrument qui permet de mesurer la température de l'air. Il est constitué d'un tube de verre contenant un liquide (de l'alcool). Lorsque la température augment, le liquide se dilate et monte dans le tube ; lorsque la température diminue, le liquide se contracte et son niveau baisse.
Lorsque les pièces du moteur ont une température trop élevée, elles ne sont plus lubrifiées correctement avec l'huile moteur et les frictions entre elles sont de plus en plus fortes. Cela provoque donc une usure prématurée de ces dernières voire une casse complète dans les cas les plus graves.
Les températures sont mesurées à l'aide d'un thermomètre avec sonde de contact ( tube) et une sonde d'ambiance (air).
Vos produits doivent être refroidis en respectant le couple temps/température suivant : 2 heures au maximum pour passer de +63 °C à +10 °C. Dès la fin du refroidissement ils doivent être stockés en enceinte réfrigérée à 3 °C maximum.
La puissance frigorifique des évaporateurs est donnée par la formule Φ = K.S.∆ϑ. Celle-ci est fonction du ∆ϑ de l'évaporateur et donc de la température d'évaporation.
La surchauffe du compresseur est une combinaison de la surchauffe de l'évaporateur et de la surchauffe de la ligne d'aspiration. C'est toute la surchauffe que le compresseur voit. Des surchauffes élevées du compresseur peuvent être causées par le fait que l'évaporateur manque de gaz.
Sur-ventiler la nuit pour amener de l'air frais dans le logement. En effet, la nuit, la température est souvent plus basse à l'extérieur qu'à l'intérieur. Il ne faut alors pas hésiter à laisser les fenêtres ouvertes dès que la température extérieure baisse et que le soleil est couché afin de rafraîchir son logement.
Elle se situe entre 36,1°C et 37,8°C. En effet, elle n'est pas identique chez tous les individus et la valeur de 37°C est seulement une valeur « repère ». On parle de température moyenne, car la température corporelle peut varier au cours d'une même journée, en raison de multiples facteurs.
Cette augmentation de température se traduit alors par une surchauffe du véhicule. La chaleur issue de la combustion n'est plus correctement évacuée par le système de refroidissement, et va alors provoquer une usure prématurée de certaines pièces du moteur, puis une probable casse si l'usager continue de circuler.
Un écart minimum entre la température de reprise et la température d'air soufflé de 14°C en mode froid est requis.
A 0°C, l'air est à saturation pour 3,77 g d'eau/kg air sec. Ces deux chiffrent illustrent l'ampleur possible des phénomènes de condensation. La température de rosée est la température à laquelle la vapeur en présence dans l'air est à saturation. C'est le 'début' de la condensation.
Pour convertir une puissance en BTU/h et obtenir la puissance en Watt, unité légale, il suffit de diviser la puissance en BTU par 3415 pour obtenir la puissance en kW. Exemple un climatiseur de 9000 BTU est un climatiseur de 2.6 kW de puissance frigorifique.
Le niveau doit être situé entre les graduations « mini » et « maxi ». De nombreux automobilistes se demandent s'il faut contrôler le niveau du liquide de refroidissement à froid ou à chaud. Comme vu plus haut, il est préférable de le faire à froid.
Il s'agit de mettre le circuit sous pression avec de l'air comprimé (maxi 1,5 bars) et constater visuellement l'état de tout le circuit.