~ Vous êtes droitier ? L'arc se tient dans la main gauche, c'est ce que l'on appelle dans le jargon la main d'arc. Inversement, si vous êtes gaucher, l'arc se tient dans la main droite. Tout se passe au niveau de la poignée dans un premier temps.
Bien que les archers aient souvent leurs propres techniques, pour bien bander votre arc, on vous suggère de procéder de la manière suivante. Pour monter votre corde, Tenez votre arc entre les jambes. Toutefois, faites bien attention aux risques d'accident comme le vrillage des branches.
Pour un droitier c'est la main gauche. L'arc doit reposer dans l'Y formé par le pouce et l'index. La poignée doit reposer tout au long de la paume (sur l'éminence thénar) de manière uniforme avec une pression identique entre le pouce et l'index et en bas de paume. Les doigts doivent être décontractés et souples.
Commencez par les échauffements appropriés. La force des muscles des avant-bras et des poignets est nécessaire pour renforcer le bras d'arc. Le poignet, qui permet de soulever l'arc, joue aussi un rôle notable dans sa stabilisation et la bonne résistance de votre bras.
L'archer doit s'entraîner au moins 3 fois par semaine s'il veut progresser vite et bien. Son volume hebdomadaire doit être supérieur à 400 flèches. . Le temps consacré à l'échauffement, à la récupération et ainsi qu'à tous les exercices avec un élastique doit s'ajouter à ces volumes d'entraînement.
Si vous utilisez un viseur pour tirer, placez votre index au-dessus de la flèche et votre majeur et votre annulaire en dessous. C'est ce que l'on appelle la « prise méditerranéenne ». Si votre arc n'a pas de viseur, positionnez les trois doigts sous la flèche de manière à rapprocher celle-ci de votre œil.
Bander l'arc en amenant l'index de la main de corde au ras de la commissure des lèvres. Dans ces deux techniques de visée sans viseur, ajuster la hauteur de tir en descendant légèrement la position des doigts sur la corde pour tirer plus bas et en la montant pour tirer plus haut.
Quels sont les bénéfices ? Le tir à l'arc muscle le haut du corps, en particulier les épaules, les bras, le dos et les abdominaux. Il permet de travailler la posture, de mieux contrôler son souffle et de développer l'adresse et l'équilibre.
La meilleure façon de tenir votre poignée est de bien positionner le creux de votre paume de main et de saisir le grip, votre paume se trouve alors collée à l'arrête de votre « grip ». Il vous suffira de mettre une légère pression pour maintenir l'arc en position.
Pour les arcs classiques, la flèche sera plutôt en carbone pour le tir en extérieur et en aluminium pour le tir en salle. Pour les arcs à poulies, en tir sur cible, la flèche sera en carbone pour l'extérieur et en aluminium de préférence gros diamètre pour le tir en salle.
Tous les doigts doivent rester sur la palette et ne pas • glisser. Le coude d'allonge ne doit pas être abaissé. L'épaule du bras d'arc ne doit pas bouger vers le haut. La main d'arc sur la poignée ne doit pas bouger d'un • côté ou de l'autre.
Un archer droitier vise avec son oeil droit, tient son arc de la main gauche et tire la corde avec la main droite. Un archer gaucher vise avec son oeil gauche, tient son arc de la main droite et tire la corde avec la main gauche.
Enroule une partie de la ficelle autour de ta main puis passe la ficelle dans l'encoche et bloque là sur le nœud simple. Tout en maintenant la ficelle bien tendue prends la flêche côté pointe comme si tu prenais un stylo. Tu es prêt à lancer ta « flèche po » !
Tenez la flèche entre votre index et votre pouce, et utilisez votre majeur pour la supporter. C'est une façon stable et équilibrée de tenir sa flèche, parfaite pour un bon lancer. Tenez votre position équilibrée pour lancer votre flèche droit dans la cible.
Ce réglage doit être effectué en alignant la corde sur le milieu des branches. La flèche et le viseur doivent également être alignés par rapport à la corde. L'alignement de la flèche est ajusté à l'aide du Berger Button. La flèche doit sortir légérement vers l'extérieur (environ d'un demi tube).
Tout d'abord les pieds sont écartés de la largeur des épaules et placés de manière perpendiculaire à la cible. La main qui tient l'arc doit être relâchée, elle ne serre pas l'arc, c'est pour cela qu'il y a une dragonne, pour éviter qu'il tombe à la décoche.
Au cours de son parcours jusqu'à la première place du podium olympique, un archer brûle selon une estimation 1084 calories: c'est seulement 747 calories de moins que les marathoniennes, mais plus de 1054 de plus que les sprinteurs du 100 mètres.
Parce que le tir à l'arc exige une parfaite stabilité du corps, il fait également travailler les jambes, les muscles abdominaux et l'ensemble des muscles qui soutiennent la colonne vertébrale. Pour cette raison, il est souvent recommandé aux personnes qui souffrent de scoliose légère ou de lombalgies.
La FFTA souhaite favoriser la pratique du tir à l'arc à partir de l'âge de 7 ans. La période de 6 à 10 ans est une excellente période d'apprentissage. En effet, on sait que vers 7 ans, la maturité du contrôle postural est acquise.
La plupart des poignées d'arc vendues seules sont destinées à la compétition, ce qui explique aussi leur prix : il faudra compter de 200 à 700 euros en moyenne pour une poignée d'arc et de 100 à 700 euros en moyenne pour une paire de branches.
Dans le tir instinctif, le tireur ne regarde et ne voit que la cible, il n'y a aucun alignement de points ou autres organes de visés (Arc nu, sans viseur, sans correcteur d'allonge !). La flèche doit aller là ou porte le regard.
On peut très bien tenir l'arc vertical, et se concentrer sur la cible. En fait, tenir l'arc penché est obligatoire lorsqu'on tire avec un longbow (comme sur la photo). En effet il n'y a quasiment pas de repose-flèche sur ce type d'arc. Le tenir penché permet à la flèche de rester en place pendant l'armement.
L'arc est une arme de trait destinée à lancer des flèches. Il est constitué principalement d'une pièce courbe flexible qui emmagasine et restitue l'énergie comme un ressort, et d'une corde qui permet l'armement de l'arc (tension du « ressort »), puis la transmission de l'impulsion à la flèche lors de la détente.