Il s'agit de retenir un nombre constant, quel que soit le mois considéré, de jours ou d'heures travaillés pour calculer l'absence du salarié : On divise le salaire mensuel par 151,67 pour définir un taux horaire moyen et on le multiplie par le nombre d'heures d'absence.
Méthode sur les heures réelles (Cour de Cassation)
Pour calculer l'absence au réel, il faudra procéder comme suit : Montant de la retenue = salaire mensuel * heures d'absence / le nombre d'heures qui auraient dû être réalisées. Attention, cette méthode utilise les heures réelles que le salarié aurait dû faire.
La case pourcentage d'absences s'obtient en divisant le nombre de ½ journées d'absences par le nombre total de ½ journées possibles, le tout multiplié par 100.
147 jours *Chaque période de l'année n+1 efface la même période de l'année n. La période de référence n'est pas l'année civile. L'année médicale de référence correspond aux 12 mois qui précèdent chaque jour d'arrêt de maladie examiné jour après jour et non pas au début ou en fin de période.
En arrêt maladie, le calcul du délai de carence est simple : chaque jour compte. L'hypothèse d'un premier jour de carence le week-end n'a donc aucune incidence sur le décompte : le samedi et le dimanche seront décomptés comme n'importe quel autre jour calendaire.
L'arrêt de travail doit être envoyé dans les 48 heures sauf dans le cas d'une hospitalisation ou si l'état de santé du malade ne permet pas un envoi en temps utile. Le délai de 48 heures est calculé entre la date de prescription de l'arrêt et celle de la réception du document pendant un jour ouvré.
Taux d'absentéisme = 100 * (nombre d'employés absents * nombre de jours d'absences * nombres d'heures quotidienne travaillées) / (nombre total d'employés du service * nombre de jours mensuels travaillés * nombre d'heures quotidienne travaillées)
Par exemple, on considère qu'un taux d'absentéisme de 4% est plutôt normal, et qu'un taux supérieur ou égal à 8% est plutôt alarmant. Mais cela varie d'une entreprise à l'autre, et chaque entreprise doit prendre en compte les facteurs qui lui sont propres pour déterminer si son taux d'absentéisme est trop élevé.
Pour obtenir le taux horaire de l'absence, il faut diviser le salaire par le nombre d'heures réelles, normalement travaillées dans le mois. On obtient ainsi un taux horaire moyen à appliquer au nombre d'heures d'absence. Cette absence apparaît sous le libellé « Retenue pour absence » en haut du bulletin de salaire.
Un salarié absent de son poste de travail dispose en général d'un délai de 48 heures pour justifier de son absence. Si au-delà de ce délai l'employeur n'a pas reçu de justificatif d'absence, il doit lui envoyer une mise en demeure de justifier son absence.
La méthode de la Cour de Cassation est plus équitable
Valeur de l'absence à déduire du salaire mensuel = Nombre d'heures absence x salaire horaire du mois avec : Nombre d'heures d'absence : nombre d'heures qui auraient dû être travaillées si le mois entier avait été travaillé.
Pourquoi divisé par 26 en jours ouvrable et 21.67 en jours ouvrés ? Tout simplement parce qu'en jours ouvrables une semaine correspond à 6 jours de CP et 6 x 52 semaines / 12 mois = 26. Le même calcul s'appliquera pour les jours ouvrés mais avec 5 jours de CP pour une semaine soit 5 x 52 /12 = 21.67.
Le calcul consiste à diviser le nombre d'absents par le nombre total de joueurs. Nous connaîtrons ainsi la proportion d'absents, soit le taux d'absentéisme. Le nombre d'absents vient d'être délivré par le calcul précédent. Le nombre total de joueurs peut se déduire.
Selon le 12ème baromètre de l'absentéisme au travail et de l'engagement réalisé par la société Ayming, le taux d'absentéisme moyen était de 5,11% en 2019 en France (le calcul pour l'année 2020 n'étant pas représentatif en raison de la crise Covid et des nombreux arrêts pour chômage partiel qui ont été engendrés).
Il concerne des absences qui se répètent et dont la durée peut s'avérer longue. Plus qu'un simple taux, il est considéré comme un véritable indicateur du climat social en entreprise ou un révélateur de dysfonctionnement. En effet, tout comme il n'y a pas de fumée sans feu, il n'y a pas d'absentéisme sans cause.
On parle d'absentéisme quand un salarié est absent de manière répétée et non justifiée. Les congés-maladies, congés-payés, congés de proche aidant et autres absences encadrées par le contrat de travail, ne sont pas considérées comme de l'absentéisme.
L'indicateur proposé par nos spécialistes est « Nombre d'absences par jour de la semaine – absence d'une journée ». Cet indicateur n'est pas souvent regardé par les ressources humaines alors qu'il donne un aperçu précis de la tendance par jour de la semaine.
Il peut avoir différentes causes : Une maladie : l'arrêt maladie est accordé lorsque votre état de santé vous empêche d'exercer votre activité. Un accident du travail/accident de trajet : l'arrêt de travail peut avoir pour origine un accident survenu au cours de votre activité professionnelle.
Sur le podium des maladies à garder pour soi : le covid, la grippe, la gastro-entérite et la varicelle. D'autres problèmes de santé peuvent nécessiter un arrêt de travail, comme la migraine, l'intoxication alimentaire ou le mal de dos.