On la calcule en multipliant par 100 le montant du loyer annuel et en divisant ce total par le prix d'achat du bien. La rentabilité nette inclut dans ce calcul tous les frais liés à l'acquisition du bien (frais d'agence, de notaire, crédit souscrit, travaux).
Calculer la rentabilité nette revient à effectuer le calcul suivant : 100 x (loyer mensuel x 12) – (total des frais et charges) / Prix d'achat. A ce calcul, doit être déduit le taux d'imposition du propriétaire.
La méthode dite « Larcher » énonce que les différentes charges locatives représentent en moyenne 25 % du loyer annuel. Il vous suffit donc de prendre en compte 75 % du loyer annuel au lieu de 100 % pour calculer la rentabilité nette. Il s'agit d'une méthode de calcul pratique, mais qui reste bien sûr approximative.
Pour y voir plus clair, prenons un exemple avec un loyer de 500 € (hors charges) par mois, soit 6 000 € annuels pour un achat de 95 000 €, le calcul est donc : (6 000/95 000) x 100, soit : 6,3 %.
Prix de vente = coût de revient + gain souhaité
Exemple : une entreprise produit un bien A pour un coût de revient unitaire de 150 euros. Elle espère réaliser un gain de 20 euros sur la vente de chaque bien A. Le prix de vente doit donc être égal à 170 euros pour parvenir à l'objectif de rentabilité espéré.
Les points clés à retenir. Pour fixer un prix au plus juste et vendre le plus rapidement possible, il faut absolument prendre en compte, d'une part, l'offre et la demande sur le marché immobilier et d'autre part, les caractéristiques propres à votre bien (superficie, état, localisation...).
Il se calcule simplement : il suffit d'additionner le prix d'achat, les frais d'acquisition (droits de mutation à titre onéreux, honoraires de notaires…) et le coût des travaux effectués.
En France, le loyer moyen (toutes surfaces et régions confondues) se situe à 13,6 € / m2. Pour un appartement, la moyenne est à 15,3 € / m2 et pour une maison à 11,9 € / m2. (chiffres SeLoger.com).
Elle s'obtient en divisant le loyer annuel par le prix du logement et en multipliant le résultat par 100. Il s'agit donc d'un rendement locatif brut annuel. Exemple : un studio acheté 150.000 € et loué 650 € par mois rapporte 5,2 % bruts (650 x 12 /150.000 x 100 = 5,2).
Lorsque l'on parle d'estimation immobilière, on pense logiquement à deux professionnels du secteur : le notaire et l'agent immobilier. Mais le premier est d'autant plus légitime à effectuer cette expertise qu'il est le professionnel libéral en charge d'authentifier les transactions sur les ventes de maisons.
Il est important de se rappeler que le rendement affiché n'est pas une fin en soi, mais, il est généralement admis qu'un bon rendement locatif se situe entre 5 % et 10 %, selon vos objectifs patrimoniaux.
Que ce soit à la vente ou à location, c'est le marché qui détermine le prix au m2 de votre appartement. Concrètement, sauf cas particulier, le tarif à la vente ou à la location est fixé par les prix en vigueur dans votre quartier.
Une baisse de prix de 5 à 10% environ est appliquée pour un logement occupé dont le bail se termine dans douze mois, alors qu'un appartement vendu avec un bail signé récemment pourra être vendu avec une décote pouvant atteindre 15 à 20%.
La taille du logement : plus il est grand, moins le m² est cher. En règle générale, le prix au mètre carré d'un bien immobilier décroît lorsque la surface augmente. Le prix du mètre carré d'un studio dans un même immeuble est souvent plus élevé qu'un 3 pièces, qui sera lui-même plus élevé que le prix d'un 5 pièces, etc ...
Pour calculer la valeur d'un jardin, on considère qu'un mètre carré vaut 20 % du mètre carré habitable. Par exemple, un jardin de 10 m² attenant à un appartement évalué à 2 000 € du mètre carré habitable sera estimé à environ 4 000 €.
Pour obtenir une estimation fiable, il est conseillé de faire appel à un agent immobilier. Avant sa venue, pensez à réunir les documents suivants : titre de propriété, règlement de propriété et derniers procès-verbaux d'assemblée générale, si vous êtes en copropriété…
Calcul du prix au m² : le principe de base
Le calcul d'un prix au mètre carré consiste à diviser le tarif de vente du bien immobilier par sa surface habitable. Le résultat obtenu est un indicateur important, et peut être comparé utilement aux autres biens en vente dans le quartier.
L'indice du 2e trimestre 2022 s'élève désormais à 135,84, ce qui représente une hausse annuelle de 3,60 %. Pour rappel, il avait augmenté de 2,48 % au 1er trimestre 2022.
Il est calculé à partir de la moyenne de l'évolution des prix à la consommation (hors tabac et loyers) sur les 12 derniers mois. L'IRL est établi chaque trimestre : pour une année, il y a donc 4 IRL. Pour le 1er trimestre 2022, l'Insee a fixé l'IRL à 133,93, soit une hausse annuelle de 2,48 %.
En divisant le prix affiché par la surface habitable, vous obtiendrez un prix moyen au mètre carré. Vous pourrez le comparer avec d'autres biens vendus dans le secteur et déterminer ainsi une moyenne de prix qui vous serviront dans le calcul de la valeur de votre propre maison.
Vous devez toujours informer les consommateurs du prix fixé avant la conclusion de la vente, sans qu'ils soient obligés de le demander. De même, si des frais supplémentaires s'appliquent (frais de dossier, frais de livraison, frais de transport, etc.), le consommateur doit aussi en être informé avant la vente.
Celui-ci précise que « les frais d'actes et autres accessoires à la vente sont à la charge de l'acheteur ». Il est ainsi clairement établi que le paiement des frais à l'office notarial incombe à l'acheteur, et non au vendeur, quel que soit le logement.