L'écart d'acquisition se définit comme la différence entre la juste valeur et la valeur comptable de l'entreprise. Pour calculer l'écart d'acquisition, soustrayez simplement le total des avoirs du prix d'acquisition de l'entreprise. Le résultat est toujours un nombre positif.
Lorsqu'il achète une société cible, un groupe accepte souvent de payer un prix supérieur aux fonds propres figurant au bilan de sa cible. Cet écart entre la valeur comptable de la société et les capitaux investis correspond à l'écart d'acquisition, aussi appelé « goodwill »ou « survaleur ».
Principe. L'écart d'acquisition correspond à la différence entre le prix d'acquisition des titres d'une société et sa situation nette comptable. Il apparait au moment où la société acquise entre pour la première fois dans le périmètre de consolidation d'un groupe.
Goodwill : le calcul
Goodwill = actif du bilan - capital matériel - capital immatériel.
l'écart d'évaluation est clairement identifié : il s'agit de la différence entre la valeur réelle d'un actif et sa valeur comptable telle qu'elle apparaît dans les documents comptables. Il s'agit notamment des plus-values (voire des moins-values) constatées sur ces actifs.
Ecart sur budget = charges réelles – charges budgétées pour le niveau d'activité réel. L'écart sur budget se ramène à un écart sur coûts variables. Cet écart peut s'expliquer par des erreurs de prévisions lors de l'établissement du budget flexible sur les prix des éléments de charges indirectes.
Le goodwill est un écart d'acquisition positif, appelé également survaleur. Un écart d'acquisition nait de la différence entre le prix d'acquisition et la juste valeur de la société acquise. L'écart être positif (goodwill) ou négatif (badwill).
Financièrement, le goodwill est une survaleur payée en contrepartie d'avantages économiques escomptés. Toutefois, depuis le 1er janvier 2016, il n'est plus amortissable en l'absence de limites prévisibles à sa durée d'utilisation.
Utilisé essentiellement lors de l'acquisition ou la fusion d'entreprise, le terme anglais goodwill peut être traduit en français par " écart d'acquisition " " ou survaleur ". Il désigne l'écart positif entre le prix d'achat d'une entreprise ou des titres d'une société et la juste valeur de ses capitaux propres.
C'est l'écart entre le prix payé pour acquérir une société et sa valeur comptable. Quand la valeur d'une entreprise au regard de ses flux est supérieure à la valeur de son patrimoine, la différence constitue le Goodwill. Lorsque cet écart est positif, on parle de Goodwill. Lorsqu'il est négatif, on parle de Badwill.
Le goodwill est intéressant pour les investisseurs qui souhaitent investir dans une société, car une survaleur est un avantage positif indéniable. Le goodwill est un élément qui peut dans le futur, générer des bénéfices. Lorsque cet écart est négatif, on parle alors de badwill.
Le bilan consolidé correspond à l'image financière d'un groupe de sociétés et dont l'obligation d'établissement en Europe est réglementée par la 7e directive sur les comptes consolidés.
L'entreprise qui achète des actions, obligations ou parts sociales doit les comptabiliser en compte 50 pour les valeurs mobilières de placement ou VMP, en compte 271 pour les titres immobilisés ou en compte 261 pour les titres de participation.
L'écart de réévaluation
La réévaluation d'une immobilisation est une étape cruciale dans la gestion du patrimoine d'une entreprise. L'écart de réévaluation correspond à l'excédent entre la valeur actuelle d'une immobilisation et sa valeur comptable nette.
Selon IFRS 3 (§34), un badwill est la résultante d'une « opération conclue à des conditions avantageuses » (bargain purchase en anglais). Celle-ci procurant un gain immédiat à l'acquéreur, le badwill doit être comptabilisé en profit à la date d'acquisition. Il est ainsi attribué à l'acquéreur.
Le mot "achalandage" vient du mot "chaland". Il désigne l'ensemble des clients d'un fonds de commerce dont il constitue un des éléments essentiels à caractériser son existence. Les auteurs opposent l'"achalandage" à la "clientèle". Ils sont tous deux des éléments caractérisant l'existence d'un fonds de commerce.
Pourquoi déprécier le goodwill ? Il peut arriver qu'une entreprise décide de payer une somme supérieure à la valeur comptable pour l'acquisition. Lorsque l'actif diminue suite à l'achat, il va se produire un écart d'acquisition.
La conclusion qui s'impose est que la dépréciation du goodwill est pertinente et prudente. Pertinente, parce que le goodwill est un incorporel à durée de vie indéterminée, auquel l'amortissement en principe ne convient pas.
L'évaluation se fait souvent en deux composantes de prix : Un prix pour l'achalandage : celui-ci est lié généralement au chiffre d'affaires, qu'on multiplie par un facteur qui se trouve généralement entre 80 %-120 %.
Une immobilisation incorporelle est un actif immobilisé et s'inscrit donc à l'actif du bilan comptable. On l'enregistre à son coût d'acquisition qui comprend le prix d'achat et les coûts annexes, ou bien à sa valeur estimée. L'enregistrement comptable d'une immobilisation incorporelle permet alors de pouvoir l'amortir.
Le seuil de rentabilité correspond au niveau de chiffre d'affaires au-delà duquel l'entreprise commence à réaliser un bénéfice.
L'écart global est un élément constitutif de l'écart total au même titre que l'écart sur volume. Il résulte de la confrontation du coût constaté de la production réelle au coût préétabli de la production réelle comme le décrit le schéma suivant.
L'analyse de l'écart sur coût consiste à comparer le coût réellement constaté et le coût préétabli. Lorsque le coût réel est supérieur au coût préétabli, l'écart est défavorable, dans le cas inverse, il s'agit d'un écart favorable. Il peut s'agir d'un écart sur matières premières ou sur main-d'œuvre.