Pour calculer u1, on fait n = 0 dans (*) : u1 = 2u0 − 1 = 2 χ 3 − 1 = 5. Pour calculer u2, on fait n = 1 dans (*) : u2 = 2u1 − 1 = 2 χ 5 − 1 = 9. De même : u3 = 2u2 − 1 = 17. On remarque que, pour calculer un terme de la suite, on doit calculer tous les termes d'indice inférieur.
Pour déterminer le sens de variation d'une suite (un), on peut utiliser l'une des règles suivantes : a) On étudie le signe de la différence un+1 − un. ▶ Si un+1 − un est positive, alors la suite (un) est croissante. ▶ Si un+1 − un est négative, alors la suite (un) est décroissante.
− d'une relation qui permet de calculer à partir de chaque terme le terme suivant (On exprime un+1 en fonction de un pour tout entier naturel n). Cette relation est appelée relation de récurrence. Exemple Soit (un) la suite définie par u0 = 2 et pour tout entier naturel n par un+1 = −2un + 3. Calculer u1 et u2.
Exemple : Montrons que la suite (Un) définie par Un = 5n + 3 est arithmétique. Un+1 - Un = [5(n + 1) + 3] - [5n +3]. Un+1 - Un = [5n + 5 + 3] - [5n +3].
Le terme général d'une suite arithmétique (Un) est donné par la formule suivante: Un = Up + (n-p)×r (où Up est le terme initial). Cas particulier si U0 est le terme initial, alors Un=U0+nr.
On peut aussi définir une suite par récurrence, en donnant son premier terme et une relation entre différents termes de la suite. Par exemple, soit (un)n∈ la suite définie par : u0 = 3 et, pour tout entier naturel n : un+1 = 2un − 1 (*). Pour calculer u1, on fait n = 0 dans (*) : u1 = 2u0 − 1 = 2 χ 3 − 1 = 5.
2.2 Calcul des termes d'une suite arithmétique
Le premier terme est donc un0 . Le deuxième terme est un0+1 = un0 +r. Le troisième terme est un0+2 = un0+1 +r = un0 +r +r = un0 +2r.
Pour déterminer le premier terme de la suite, il suffit de remplacer la raison dans une des équations et résoudre pour . Calculer la raison d'une suite arithmétique nous aide à déterminer son sens de variation.
1) n est l'indice (ou le rang) et un le terme de rang n. Par exemple, un+1 est le terme de rang n + 1 (celui qui suit un) alors que un +1 est le terme de rang n augmenté de 1. 2) Attention ! (un ) désigne la suite alors que un est un nombre.
Pour résoudre une équation du premier degré à une inconnue on peut : ajouter ou soustraire un même nombre aux deux membres de l'équation. multiplier ou diviser les deux membres de l'équation par un même nombre non nul.
Calcul du terme de rang n Soit u une suite géométrique de premier terme u1 et de raison q. Ona: u2 = q ×u1 ; u3 = q ×u2 = q ×q ×u1 = q2u1 ; u4 = q × u3 = q × q2u1 = q3u1. On admet que pour tout entier n non nul, on a : un = qn−1u1.
Généralités. Une suite (un) est dite arithmétique lorsqu'il existe un nombre réel r tel que, pour tout entier naturel n, un+1=un+r. Le nombre réel r est appelé la raison de la suite (un). Logique « Il existe r tel que pour tout n » signifie qu'on utilise le même nombre r pour toutes les valeurs de n.
La suite définie par un+1 = 2un avec u0 = 1 est une suite géométrique de raison 2. Les premiers termes de cette suite sont 1 ; 2 ; 4 ; 8 ; 16… Dire qu'une suite de termes non nuls est géométrique signifie que le quotient de deux termes consécutifs quelconques est constant, quel que soit n.
Forme explicite : si la suite (un) est géométrique de raison q et de premier terme u0, alors pour tout entier naturel n, un = u0qn. Plus généralement, pour tous entiers naturels n et p, un = up qn−p. si q = 1, alors S = u0 +u1 +···+un = u0 1−qn+1 1−q .
Dans cet exemple, vous utilisez le calcul de pourcentage pour retrouver la valeur initiale. Le secret pour retrouver la valeur initiale réside dans l'utilisation du coefficient multiplicateur. La formule à appliquer est Valeur finale = Valeurs initiales × Coefficient multiplicateur.
Zéro est le seul nombre entier qui ne possède qu'un seul multiple: lui-même (0). Zéro possède un seul multiple, mais il est le multiple de tous les nombres entiers. Tous les nombres entiers sont dans la table de multiplication de 1, donc tous les nombres sont des multiples de 1.
En mathématiques une relation est définie par son extension, ce qui signifie que la façon d'exprimer la relation importe peu, seul compte le résultat obtenu : dans le cas d'une relation binaire les couples d'éléments qui sont en relation et ceux qui ne le sont pas.
Une relation doit se baser sur le respect mutuel et sur l'estime de soi. Les partenaires s'aiment comme ils sont, écoutent et respectent les opinions de l'autre même s'ils ne les partagent pas.
∑ [terme général d'une suite arithmétique] = [nombre de termes] × [premier terme] + [dernier terme] 2 .
Comment calculer les suites en mathématiques ? Pour calculer la valeur d'un terme dans une suite, si la suite a une forme explicite, il faut remplacer le rang (ou indice) dans la formule. Si la suite est définie par récurrence, il faut calculer le deuxième terme, ensuite le troisième terme, etc.
On peut donc écrire t=2×n+rang 0. t = 2 × n + rang 0. On trouve le nombre à additionner ou soustraire en remplaçant le terme et le rang par un couple dans la table des valeurs. On peut déterminer la valeur du terme qui serait situé au rang 0.
Il encadre le cercle par des polygones inscrits et circonscrits possédant un nombre de côtés de plus en plus grand. Par ce procédé, Archimède donne naissance, sans le savoir, à la notion de suite numérique.
Le terme général d'une suite, parfois appelé terme de rang 𝑛 et noté 𝑇 , est une expression algébrique qui relie le terme à son rang dans la suite. On considère le terme général 𝑇 = 3 𝑛 + 4 . Par conséquent, les trois premiers termes sont 7, 10 et 13.
Dans ce cas, on pose g=f∘f g = f ∘ f , qui est croissante sur I , puis vn=u2n v n = u 2 n et wn=u2n+1 w n = u 2 n + 1 . Alors (vn) et (wn) vérifient la relation de récurrence vn+1=g(vn) v n + 1 = g ( v n ) et wn+1=g(wn) w n + 1 = g ( w n ) , avec g croissante sur l'intervalle I .