Nous distinguons deux sous paradigmes du positivisme à savoir : - Le positivisme logique : appelé aussi néo-positivisme ou empirisme logique - Le post positivisme : appelé positivisme aménagé, il s'agit d'une réforme du positivisme logique.
Dans le paradigme positiviste, d'après Guba et Lincoln, le texte va mettre en évidence « des variables, des hypothèses, des propositions dérivées d'une théorie particulière qui voient le monde en termes de causes et d'effets » (Guba & Lincoln, 1994 dans Riverin-Simard et al., 1997 p. 64).
Pour acquérir des connaissances, le positivisme s'efforce d'être objectif, par contre le constructivisme s'efforce d'être subjectif. Le paradigme interprétativiste vise à comprendre comment le chercheur construit le sens qu'il donne à la réalité.
En sciences de gestion, trois grands paradigmes sont traditionnellement distingués : le positivisme, le constructivisme et l'interprétativisme. Le positivisme a pour projet d'expliquer la réalité en lui donnant une essence propre.
On parle de posture ou de position épistémologique pour indiquer le paradigme de recherche dans lequel s'inscrivent les choix théoriques et méthodologiques effectués (ex : explication, compréhension, description, herméneutique, etc.).
Le positivisme est le système philosophique fondé par Auguste Comte qui considère que l'homme ne peut atteindre les choses en elle-même (leur être, leur essence) et que seuls les faits expérimentés ont une valeur universelle.
Ils évoluent entre deux pôles principaux : le paradigme déterministe et le paradigme interactionniste. Chacun de ces paradigmes propose un regard sur la réalité sociale, privilégiant la structure sociale pour le paradigme déterministe, l'individu pour le paradigme interactionniste.
Kant est souvent considéré comme le père fondateur de l'épistémologie. En effet, le philosophe allemand est notamment connu pour avoir été le fondateur au XVIIIe siècle du criticisme, doctrine fondée sur la critique de la valeur de la connaissance.
Le Positivisme, nous l'avons dit, ne reconnaît de valeur scientifique qu'à la méthode positive ; il prétend que les procédés spéculatifs sont incapables de nous donner une connaissance certaine. pour ne leur reconnaître qu'une valeur hypothétique, il aboutit à la négation pure et simple de toute science spéculative.
La formation de l'esprit scientifique a été progressive.
Gaston Bachelard montre ainsi dans La formation de l'esprit scientifique que c'est la construction de la fonction de l'expérience – qui ne se résume pas à l'observation empirique – qui a permis le passage de l'esprit « préscientifique » à l'esprit scientifique.
Caractéristiques du positivisme
Parmi les caractéristiques que présente le positivisme, les suivantes ressortent : Rejet du dogme et des vérités absolues. Observation et expérimentation pour rechercher des lois et des théories. Rejet de la métaphysique, tous les phénomènes doivent avoir une explication scientifique.
3 – Les principales techniques de collecte de données qualitatives. Les principales techniques de collecte de données qualitatives utiles pour mener une recherche en soins de santé sont les entretiens individuels, les focus groups et l'observation.
L'interprétativisme, dans son projet de compréhension des représentations, des jugements, des motivations et des raisons d'agir d'autrui, repose sur l'empathie et la sympathie, c'est-à-dire sur la possibilité pour le chercheur de vivre ou de revivre les vécus intérieurs.
fanatique. qui a une passion excessive pour quelque chose ou pour quelqu'un (comme une star, une idole...)
Mouvement philosophique de l'entre-deux-guerres qui préconise comme objet d'étude l'analyse du rapport entre les faits objectifs et le langage qui cherche à en rendre compte. (Synonyme : néopositivisme.)
Le positivisme sociologique est l'opinion, développée à partir du positivisme philosophique d'Auguste Comte (voir ci-dessus), que les sciences sociales (comme toutes les autres sciences) devraient observer des méthodes empiriques strictes.
C'est bien une définition ou une série de définitions stipulatives qu'adopte Norberto Bobbio lorsqu'il affirme caractériser le positivisme juridique en distinguant trois aspects : un mode d'approche du droit, une certaine théorie du droit, une certaine idéologie de la justice [4][4]Norberto Bobbio, Giusnaturalismo e ...
Ramener le droit à un ensemble de règles qui sont les lois : c'est le positivisme légaliste. C'est la présentation la plus commune de ce qu'est le droit. Cette présentation du droit comme reflet de la loi est qu'une apparence.
Pour les positivistes, en effet, les droits de l'homme, comme tous les droits subjectifs, ne deviennent des droits que s'ils sont reconnus par l'ordre juridique positif, c'est-à-dire « par les organes de l'État, autorisés en cela par la constitution.
- La philosophie des sciences regroupe épistémologie ( qui a trait davantage en général aux notions (la matière, le temps, la démonstration...) relatives aux utilisations faites en sciences) et histoire des sciences (dans son versant conceptuel et sa logique de développement historique).
L'épistémologie est l'étude des sciences ou de la connaissance au sens large. C'est un domaine exploré par plusieurs disciplines, notamment l'histoire, la sociologie, les sciences cognitives et la philosophie.
L'épistémologie est la « conscience critique des méthodes actuelles d'un savoir ». Elle interroge l'adéquation entre les méthodes employées et leur objet théorique. Il n'existe pas de méthode générale permettant la découverte, ni de transfert simple de méthodes d'un champ à un autre.
Représentation, vision du monde, modèle, courant de pensées, point de vue.
paradigme
1. Ensemble des formes fléchies d'un mot, pris comme modèle (c'est, par exemple, la déclinaison d'un nom ou la conjugaison d'un verbe) ; ce mot lui-même. 2. En linguistique structurale, ensemble des unités qui peuvent être substituées les unes aux autres dans un contexte donné.
« Nouveau paradigme » est une expression de la seconde moitié du XX e siècle et du début du XXI e siècle utilisée par des auteurs populaires, et notamment vulgarisée dans des magazines, invitant à une nouvelle représentation du monde dans les domaines les plus divers, management, alimentaire, économie, religion, ...