La beauté du poème est dût à l'origine de l'inspiration, comme par exemple la beauté qui demeure importante dans l'inspiration du poète. Les figures mythologiques telles que Apollon ou bien Orphée, ont comme sources d'inspirations première, l'amour, la nature des thèmes qui au cours de l'histoire ne cesse de resurgir.
Je trône dans l'azur comme un sphinx incompris ; J'unis un cœur de neige à la blancheur des cygnes ; Je hais le mouvement qui déplace les lignes, Et jamais je ne pleure et jamais je ne ris.
Le beau est extrait du mal, du laid. Il est ainsi mystérieux et énigmatique. Dans son recueil Les Fleurs du Mal ne dit-il pas dans un poème intitulé « La Beauté » : « Je trône dans l'azur comme un sphinx incompris ».
Poésie : Art de combiner les sonorités,les rythmes, les mots d'une langue pour évoquer des images, suggérer des sensations, des émotions. Esthétique : Qui a un rapport au sens du beau, à la perception du beau.
Pour qu'un texte soit beau, il faut que sa matérialité sonore elle-même soit le lieu de l'appréciation esthétique. La vérité qui se dégage d'un texte poétique est celle du texte, et non celle d'une pensée associée dont celui-là serait un simple support inessentiel.
La poésie permet de se libérer dans les mots et les sons, de rendre et de faire partager, par les rythmes et la musique, la douleur indicible, de faire exister le bonheur ou revivre l'absent [exemples du corpus].
La beauté est décrite comme une alliance du bien et du mal. Sa nature contradictoire la rend insaisissable. Ces alliances de mots contraires définissent la beauté de façon paradoxale : elle est issue du bien et du mal. L'antithèse la plus frappante (on peut même parler d'oxymore) apparaît au vers 22 : « Ô Beauté !
Baudelaire se considère comme un alchimiste qui transforme la laideur du réel en beauté : « J'ai pétri de la boue et j'en ai fait de l'or », écrit-il dans son poème « Orgueil ». Le poète se doit de transformer le réel par le verbe, en en extrayant la quintessence.
Le spleen baudelairien désigne une profonde mélancolie née du mal de vivre, que Charles Baudelaire exprime dans plusieurs poèmes de son recueil Les Fleurs du mal. Quoiqu'il l'associe, discrètement, pour qui veut le lire, non pas à un véritable mal mais plutôt à une rage de vivre.
QU'EST-CE QU'UN BEAU VERS ? Beauté comme notion philosophique, insaisissable depuis l'Antiquité (exemple : Platon dans Hippias majeur). En dehors des textes philosophiques dans la Grèce antique on va attacher la beauté à l'idée d'équilibre et d'harmonie mathématique entre tous les éléments.
La poésie est l'art d'exprimer les émotions et les sentiments, les rêves, les pensées... tout ce qui inspire l'homme en général et le poète en particulier. le poète peut être aussi un être marginal et révolté, qui refuse l'ordre social.
1. Qualité de quelqu'un, de quelque chose qui est beau, conforme à un idéal esthétique : La beauté d'une femme, d'une œuvre musicale. 2. Caractère de ce qui est digne d'admiration par ses qualités intellectuelles ou morales : La beauté d'un acte désintéressé.
La beauté d'une femme (1) ne se trouve pas dans son maquillage, mais dans la vraie beauté de son âme. C'est la tendresse qu'elle donne, son amour et la passion qu'elle exprime. La beauté d'une femme ce n'est pas son enveloppe extérieure, mais en vraie elle se trouve dans son âme.
Globalement on peut donner 6 fonctions principales à la poésie : Exprimer, dénoncer/célébrer, révéler, inventer, guider.
On peut citer comme exemples de ces catégories le tragique, l'épique, le comique, le dramatique, le gracieux, le joli, le mystérieux, le pathétique, le pittoresque, l'humour, le bouffon, etc.
La Beauté est un sonnet de Charles Baudelaire, publié dans son recueil Les Fleurs du mal en 1857 ; il fait partie de la section Spleen et Idéal.
Le beau est communément défini comme la caractéristique d'une chose qui au travers d'une expérience sensorielle (perception) ou intellectuelle procure une sensation de plaisir ou un sentiment de satisfaction ; en ce sens, la beauté provient par exemple de manifestations telles que la forme, l'aspect visuel, le ...
« Tu m'as donné ta boue et j'en ai fait de l'or », écrit Baudelaire dans l'épilogue des Fleurs du mal. C'est ainsi qu'il définit cette esthétique moderne prenant pour objet poétique la laideur et l'horreur banale de la réalité urbaine.
La beauté fascine également par son aspect monstrueux. Ainsi Baudelaire fait un rapprochement de la beauté et du monstrueux, comme un oxymore : "Ô Beauté ! monstre énorme, effrayant". Ces rapprochements inhabituels montrent la modernité poétique de Baudelaire.
À son propos, Baudelaire disait : « dans ce livre atroce j'ai mis tout mon cœur, ma tendresse et ma haine ». Le terme « idéal » apparaît dans le poème dans le ver « Une fleur qui ressemble à mon rouge idéal ».
Publiés en 1857, il a pour but de faire ressentir aux lecteurs le mal que l'auteur ressent. Selon lui c'est fleur dites « maladives » naissent de ses souffrances et, il juge l'ennui comme le premier responsable du mal.
Parmi les poèmes les plus connus : - l'« Albatros », qui dévoile l'analogie entre « le[s] vaste[s] oiseau[x] des mers » persécuté par les marins sur le pont du navire et le poète, « Prince des nuées » que « ses ailes de géant [l] empêchent de marcher ».