Voici quelques solutions à tester pour calmer les pleurs du soir d'un bébé agité : S'isoler dans un endroit calme avec bébé, l'installer à plat ventre sur l'avant-bras d'un de ses parents puis le bercer en lui parlant doucement. Le porter en écharpe.
Puis, dites-lui de souffler en refermant les bras sur sa poitrine. Puisque votre enfant a besoin de bouger lorsqu'il est excité, il lui sera plus facile de se calmer en bougeant plutôt qu'en restant immobile sur une chaise. Proposez un jeu physique à votre enfant, comme aller courir dehors ou danser.
Ils semblent être une période normale d'activité du nouveau-né: quand on enregistre l'activité physique et cérébrale d'un fœtus on retrouve déjà cette phase d'activité entre 18-20h et minuit. La plupart des mamans savent que leur fœtus est agité à cette période de la journée, au moment où elles se couchent.
Les troubles du sommeil de votre enfant peuvent aussi être la manifestation d'une incompréhension, d'une inquiétude de votre bébé qui ressent des difficultés relationnelles dans votre couple, dans votre famille. Rassurez-le, apaisez le pour éloigner ses angoisses.
L'enfant est souvent agité avant de dormir durant les trois premiers mois. Cette situation peut s'expliquer par le fait qu'il est encore en phase d'apprentissage du sommeil. En effet, durant cette période, les bébés s'adaptent progressivement au rythme de veille-sommeil. Ainsi, cette situation est normale.
"A partir de quatre ou cinq semaines, tous les bébés pleurent le soir, un peu avant la tombée de la nuit, indique le Dr Cohen-Solal, pédiatre. Cela survient après le quatrième ou cinquième repas. La durée de ces pleurs est variable - de quelques dizaines de minutes à deux ou trois heures !-
Les causes en sont variées: il peut s'agir de l'expression d'une insécurité, d'une angoisse, ou d'une difficulté à trouver sa place et à en ménager une aux autres, comme si les limites entre soi et les autres étaient mal repérées. Le contact des autres génère alors une grande excitation difficile à maîtriser.
« Parce qu'on peut l'utiliser chez les plus jeunes, avant 4 mois », explique Evelyne Martello, qui rappelle que la méthode du 5-10-15 convient à des enfants à partir de 4 à 6 mois, et jusqu'à 18 mois environ.
Pour faire diminuer le stress de votre enfant, vous pouvez lui proposer des activités calmes, comme le yoga ou la méditation, par exemple. De plus, la plupart des enfants auront besoin de dépenser leur énergie pour évacuer une partie de leur stress et se sentir mieux.
Pour cela, veillez à proposer chaque jour à l'enfant : des temps calmes : lecture, pâte à modeler, jeux de construction ; quelques jeux de concentration : trouver 5 objets de telle couleur ; des exercices de relaxation qui permettent notamment à l'enfant de travailler sa respiration.
Les bras et les jambes
Parfois, les bébés gigotent uniquement pour attirer l'attention et s'occuper. Si votre bébé pleurniche en gigotant et s'il est très agité, cela peut vouloir dire qu'il est gêné, par exemple par des ballonnements. S'il rit et gazouille en gigotant, c'est qu'il est tout simplement content.
Le nom « Terrible two » (de l'anglais « terribles 2 ans ») désigne la phase d'opposition qui commence vers l'âge de 18 mois et peut durer jusqu'aux 3-4 ans de l'enfant. Bien qu'elle prenne souvent les parents au dépourvu, cette période constitue une étape importante dans le développement psycho-affectif de l'enfant.
Comme les pleurs sont l'unique moyen de communication du nouveau-né, si ces derniers sont ignorés, cela va augmenter son stress, et peut, sur la durée, endommager son système nerveux central, sa croissance ou encore son potentiel d'apprentissage.
Un bébé doit se sentir en sécurité. Il peut donc avoir besoin de la présence d'un de ses parents pour pouvoir s'endormir. Parfois, un bébé âgé de 1 mois ne veut pas dormir dans son lit. C'est ce qu'on appelle l'« association sommeil-dépendance » : votre enfant ne peut s'endormir que lorsqu'il se sent en sécurité.
Passé son premier mois, le nourrisson fait de grosses crises de larmes le soir. Survenant généralement vers le cinquième repas de la journée, ces pleurs sont tout à fait normaux. Il s'agit, pour bébé, du seul moyen d'expression qu'il connaisse et dont il dispose pour extérioriser ses sentiments.
Le principal symptôme d'hyperactivité chez bébé est une vive et constante agitation. Elle peut se manifester de diverses manières : bébé a un tempérament colérique, peine à fixer son attention sur quoi que soit, bouge beaucoup… Il a aussi généralement beaucoup de mal à s'endormir.
Un bébé tonique et volontaire
C'est un bébé dont on a l'impression qu'il ne se détend pas (sauf lorsqu'il dort) par besoin de participer à la vie collective. Il aime les positions dominantes, dans les bras, face vers l'extérieur.
À la maison, évitez de stimuler trop souvent votre bébé : préférez les jeux calmes, et ne lui proposez pas plusieurs activités à la fois. Soyez également présent pour lui, notamment au moment du coucher, car il a particulièrement besoin de vous à ce moment précis.
Quand faut-il intervenir ? Dans les premiers mois de la vie, les pleurs d'un enfant doivent être soulagés le plus rapidement possible, car ils témoignent généralement d'un état d'insécurité émotionnelle. À cet âge-là, les enfants n'utilisent pas les pleurs comme un moyen de pression sur leurs parents.
Comment savoir si mon bébé développe un lien d'attachement sécurisant? Pour le parent, les premiers signes d'attachement sont extrêmement gratifiants : À 4 semaines, votre bébé réagira à votre sourire, par exemple par une expression du visage ou un mouvement. À 3 mois, il vous sourira en retour.
Les pleurs de décharge sont des pleurs intenses, difficiles à calmer, qui surviennent plutôt le soir, généralement autour de 18 heures. Ces pleurs apparaissent entre la naissance jusqu'à l'âge de 3 ou 4 mois environ, avec un pic généralement compris autour de 6 à 8 semaines.
Vous pouvez voir que votre enfant est stressé s'il se met à bégayer, a un changement d'humeur subite, a des soucis de concentration ou troubles du sommeil. Le changement d'humeur chez bébé subite se caractérise ainsi par une irritabilité plus prononcée ou des crises de colère.