Il est important de se mettre à sa hauteur et d'établir un contact oculaire. Vous pouvez aussi établir un contact physique comme lui tenir les mains si nécessaire. Une fois que vous avez son attention vous pouvez alors lui expliquer ce qu'il ne doit pas faire et lui proposer une alternative.
Rapprochez-vous de lui au fur et à mesure qu'il s'apaise. N'acceptez pas que votre enfant vous frappe ou frappe une autre personne, se frappe lui-même ou lance des objets. Éloignez vos autres enfants et les objets de votre tout-petit le temps que dure la crise. Attendez qu'elle soit passée pour discuter avec lui.
Il est important de rester calme pendant une crise de colère d'un enfant. Il faut essayer de comprendre ce qui a provoqué la colère de l'enfant et lui parler calmement. Il ne faut pas céder à ses caprices et lui faire comprendre qu'il doit se calmer avant de pouvoir obtenir ce qu'il veut.
La frustration, la fatigue et la faim sont les causes principales des accès de colère. L'enfant peut crier, pleurer, se débattre, se rouler par terre, jeter des choses et taper des pieds pendant un accès de colère.
Bien sûr le premier professionnel à consulter est le pédiatre s'il n'est pas déjà suivi. Ensuite celui-ci vous orientera, s'il le pense nécessaire, vers une psychologue.
Si votre enfant, habituellement gai et souriant, change d'attitude et présente régulièrement un ou plusieurs des signes suivants, il est possible qu'il souffre de troubles du comportement : Il a des troubles de conduite (attitude agressive, colérique, anxieuse, provocatrice) Il est hyperactif.
Placez-vous à sa hauteur afin de pouvoir le regarder dans les yeux. Exprimez fermement et calmement votre désaccord. Dites-lui par exemple : « Je n'accepte pas que tu tapes ton frère. Dans notre famille, on ne frappe pas » ou « Tu as le droit d'être en colère, mais je ne vais pas te laisser me faire mal ».
On dit souvent, à propos des enfants qui poussent à bout, que l'enfant cherche la limite : il teste la limite. On peut dire en fait que l'enfant qui pousse à bout cherche à savoir ce qu'il y a au bout. Il n'est pas sûr de ce qu'il y a au bout.
Dites à votre enfant que vous êtes en colère et ce que vous comptez faire pour vous calmer, par exemple : « Ouf, je sens une boule de colère qui monte en moi, j'ai chaud et mon cœur bat rapidement, je vais compter jusqu'à 10 pour me calmer. » Nommer l'émotion ressentie (« Je suis très fâché »), et non la raison de la ...
L'enfant peut être en retrait, s'isoler ou avoir peur. À l'inverse, sa tristesse peut se manifester par de l'agitation, de l'agressivité, voire de l'hyperactivité ou de la provocation ; il se sent impuissant, désespéré, seul ou rejeté.
Si les crises de colère occasionnelles ne signifient pas forcément que votre enfant a un problème, il faut s'inquiéter lorsque sa colère est fréquente et s'accompagne de comportements agressifs et violents.
Prendre dans les bras, parler calmement (parfois presque à voix basse), au lieu de crier dire « allez, viens me voir », peut permettre un retour au calme =) physiologiquement, une parole calme, un geste tendre, contenant, permet la sécrétion de "l'hormone du bonheur", l'ocytocine.
Laissez-la tranquille quand elle fait une colère, ne la grondez pas, ne l'isolez pas mais laissez la finir tranquillement sa colère puis faites un câlin sans forcément reparler de ce qu'il s'est passé . Et puis pour désamorcer les colères suivez des stratégies de contournement.
Un jeune enfant qui fait preuve de retenue toute la journée, à l'école par exemple, sans ses figures d'attachement, accumule des tensions, du stress, des émotions. Il ose moins se confier, se « lâcher ». Ce comportement a tendance à provoquer une décharge émotionnelle en fin de journée, face aux parents.
Parler avec tendresse et empathie, cela baisse le niveau de stress du parent et de l'enfant. Puis enchainer, en pratiquant l'écoute, avec un petit peu d'explication. Se dire que c'est un mauvais moment à passer et que l'enfant va forcément finir par se calmer afin de pouvoir en reparler avec lui tranquillement.
Il ne faut pas crier mais se faire comprendre. Il est essentiel de se mettre à la hauteur de l'enfant pour lui parler et de capter son regard même si cela implique de lui tenir le visage. Chez les plus jeunes, il ne faut pas uniquement punir. L'apprentissage des règles passe surtout par des explications.
Si l'éthylisme chronique et les états d'agitation et d'agressivité qu'il entraine sont la principale raison de prescrire du Tiapridal®, il en existe d'autres. Ce neuroleptique peut en effet également traiter certains troubles du comportement chez l'enfant.
Colère. Les personnes atteintes de trouble de la personnalité borderline ont des difficultés à contrôler leur colère, elles s'irritent souvent de façon injustifiée et excessive. Elles peuvent exprimer leur colère par des sarcasmes cinglants, de l'amertume ou des diatribes virulentes.
L'idéal étant pour l'enfant d'avoir un endroit à lui avec des jouets ou des doudous réconfortants. Si la crise se passe en famille ou chez des amis, s'isoler avec l'enfant est une solution. Parfois, l'intervention d'une tierce personne va calmer la crise.
Le comportement d'un enfant est souvent le baromètre émotionnel de ses parents : stress, dépression, colère ou chagrin. Ses cris et ses colères peuvent être un moyen d'extérioriser la tension familiale. Le stress et les émotions se propagent, y compris de manière non verbale.