Faire de l'exercice régulièrement aide également à préserver son bien-être psychique. Si les pensées négatives vous assaillent, sortez et marchez à allure soutenue ou faites un jogging. Cela vous aidera à rétablir le calme intérieur et ce sera une bonne distraction.
La méditation vous exerce à libérer votre esprit des idées du passé et des soucis de l'avenir, à vous concentrer sur le moment présent comme sur votre respiration. Elle peut clarifier vos pensées et réduire votre stress. Rire fait toujours du bien : le corps libère de l'endorphine, comme lors de l'activité physique.
La réflexion excessive peut avoir pour origine le doute de soi ou un manque d'estime de soi, elle peut être liée au stress et à l'anxiété, ou encore être le résultat de traumatismes passés ou d'expériences négatives dans la vie.
La meilleure manière de contrôler ses pensées indésirables est à travers un moyen indirect, tel que la méditation, la pleine conscience ou la respiration consciente.» Une technique qui a fait ses preuves pour apprendre à accepter ses pensées est le lâcher prise.
Faites un effort conscient chaque jour pour ramener votre cerveau à une pensée neutre (voire positive si possible) et éviter d'être aspiré par le négatif. Prenez cinq minutes le matin au levé pour méditer et respirer afin de diminuer votre hyperactivité cérébrale.
Favoriser une activité physique régulière permet de se protéger de l'anxiété. Certaines disciplines comme le yoga ou le tai-chi sont particulièrement indiquées pour se protéger de l'angoisse. Adopter une alimentation saine et équilibrée. Éviter les excitants (café, thé…).
Ralentir et calmer notre corps permet également de ralentir et de calmer nos pensées. Pratiquez la respiration profonde ou une sorte d'exercice de relaxation, faites des étirements, prenez un bain ou promenez-vous. Apprendre à s'apaiser se traduit par une diminution des inquiétudes et de l'anxiété en général.
Parmi les médicaments de cette catégorie, citons la rispéridone (Risperdal), la quétiapine (Seroquel), l'olanzapine (Zyprexa), la ziprasidone (Zeldox), la palipéridone (Invega), l'aripiprazole (Abilify) et la clozapine (Clozaril).
Pathologie identifiée et définie par la professeure de psychologie Susan Nolen-Hoesksema, l'overthinking est “la propension à ressasser en boucle, de façon obsessionnelle, un certain nombre de pensées ou de sentiments négatifs”.
Le terme tachypsychie provient des mots grecs « tachy », qui signifie rapide et « psyche » qui signifie âme. Il s'agit non pas d'une maladie, mais d'un symptôme psychopathologique caractérisé par une accélération anormale du rythme de la pensée et des associations d'idées créant un état de surexcitation.
Pratiquez la méditation et la respiration consciente pour vous recentrer sur l'instant présent. Écrire vos pensées avant de dormir peut également libérer votre esprit de l'encombrement mental. Enfin, créez une routine apaisante avant le coucher pour préparer votre esprit et votre corps à un sommeil de qualité.
Rester à l'écoute de ses émotions (positives).
Et lorsqu'on va les écouter, on sait qu'il se passe quelque chose en nous. Une fois qu'elles ont fait leur rôle, qu'on les a écoutées, elles vont se calmer naturellement. Et si une émotion se calme, les ruminations, les pensées liées vont également se passer.
Apprendre à bien respirer pour s'endormir
Disciplinez votre respiration pour mieux oxygéner votre cerveau et faire le vide dans votre tête. Répétez 3 fois de suite cet exercice : Inspirez lentement par le nez en comptant jusqu'à 4, bloquez l'air pendant 7 secondes et expirez-le en comptant jusqu'à 8.
Les jeux de mots, le sudoku, la méditation et le sport sont autant d'activités à pratiquer au quotidien pour stimuler votre cerveau.
Manger une alimentation saine, riche en fibres prébiotiques et en probiotiques permet d'équilibrer nos neurotransmetteurs comme la sérotonine et la dopamine (29). L'excès de sucre ou de produits riches en glucides rapides ont un effet sur le système mésolimbique modifiant la sécrétion de dopamine.
Pratiquez le lâcher-prise : prenez des pauses, ce n'est pas plus compliqué que cela. Pour ceux/celles qui ne peuvent s'arrêter de penser, ou de souffrir d'angoisse, de stress ou de culpabilité qui vous empêchent de tranquiliser votre esprit, pratiquez aussi la méditation, la sophrologie ou encore le yoga.
Apaiser ses peurs au quotidien est tout à fait possible grâce à la méditation de pleine conscience. Cette pratique permet de s'habituer à l'idée de devoir les affronter. À terme, le patient prend de la distance face à ses émotions négatives.
Se distraire, changer d'activité est une autre solution efficace. Généralement, on rumine quand on n'est pas absorbé dans ce que l'on fait. Il faut aussi essayer d'identifier dans quel contexte apparaissent ces ruminations pour tenter de le modifier.