Pour clipper la reine, vous devez la tenir par le thorax (attention à son abdomen qui est très fragile) et à l'aide d'une paire de ciseaux bien coupants, vous devrez amputer un tier de l'aile. En général cette opération s'effectue au moment du marquage.
Prenez la reine entre l'index et le pouce. Attrapez-la par l'une ou les deux ailes. La tâche devient plus difficile par le thorax. Évitez de l'attraper par les pattes, elles sont très fragiles : une reine mutilée est condamnée !
Le plus simple pour trouver la reine est de regarder les cadres et plus attentivement ceux avec de la ponte. Il ne faut pas utiliser trop de fumée. C'est très rapide quand on a l'habitude et encore plus quand la reine est marquée. Plus nous avons une image mentale des reines plus la recherche sera rapide.
Comment relancer la ponte des reines ? absence de réserves de pollen toujours stockées en bordure de couvain, n'hésitez pas distribuer des galettes de pollen, ou à défaut un succédané de protéines. Cette pâte se place toujours au-dessus des cadres, le plus proche pos- sible du couvain.
La méthode d'introduction d'une nouvelle reine fécondée est la suivante. Commencez par trouver et tuer la reine à remplacer. Il faut ensuite attendre 9 jours. Pendant ce temps les abeilles, réalisant l'absence de la reine créent des cellules royales afin de la remplacer.
Division de ruches sans recherche de la reine
On parle également de méthode de l'éventail. L'idée consiste à diviser en nombre égal les cadres de la ruche sur deux ruchettes, placées en éventail. Chaque nouvelle colonie doit impérativement avoir des œufs ou des larves datant de moins de 3 jours.
Dans une ruche sans reine, vous pouvez entendre ce bourdonnement caractéristique des abeilles orphelines. On dit qu'elles chantent. Il s'agit d'un bourdonnement intense ou d'un gémissement aigu. C'est un son différent du bourdonnement normal de la colonie.
Le nourrissement stimulant est à faire un mois et demi avant la « date-cible » choisie – rappel : il faut 42 jours pour faire une butineuse – et se fait par apport successifs et réguliers d'un sirop léger (50/50) tous les 3 à 4 jours en faible quantité (environ 0.5 l) pendant deux à trois semaines.
Le sucre : Seul le glucose ou le fructose seraient les mieux adaptés pour les abeilles car ce sont des sucres simples (glucides monosaccharides)d'assimilation directe,mais dans le commerce ont trouve aisément du saccharose pur, issu du sucre de betterave ou de canne.
Quelques jours après sa fécondation, la reine commence à pondre.
Commencez par trouver de la ponte fraiche, la reine n'est souvent pas très loin. Après il faut être attentif et avoir l'œil. Elle se balade pres de ses oeufs, c'est logique. Commencez par chercher sur les cadres de couvain ouvert.
Elle est la mère de la totalité des abeilles de la ruche si on exclut les ouvrières présentes dans la ruche mais venant d'une autre ruche (ce qui peut constituer jusqu'à 30 % des effectifs d'une colonie). Une reine (Apis mellifera carnica) entourée au-dessus d'alvéoles d'abeilles.
Trouvez le nid à couvain, la zone à l'intérieur d'une colonie d'abeilles qui contient les œufs, les larves et le couvain non-operculé. Repérez les cadres qui contiennent des œufs ou des larves. C'est la partie la plus récente du nid à couvain et l'endroit le plus probable où se trouve la reine.
De nombreux produits naturels constituent de puissants attractifs pour les abeilles et certains peuvent s'avérer suffisants pour amorcer un piège. Notez que la cire, le miel et la propolis dégagent une odeur qui leur est propre, mais leur mélange crée une atmosphère idéale pour un essaim d'abeilles.
Avril à juin. C'est tôt en saison qu'il est le plus facile de trouver la reine à supprimer. La colonie aura également plus de chance de se développer suffisamment pour avoir une production de miel.
Elle sort une fois lors du vol nuptial, alors que des mâles, les faux bourdons, l'attendent à l'extérieur quelques jours après sa naissance afin de la féconder. Elle peut aussi sortir de la ruche lors de l'essaimage.
L'odeur de la citronnelle ou de la menthe repousse les abeilles qui n'aiment pas leurs odeurs. Prenez-en quelques-unes et placez dans des pots autour de la piscine. Avec une quantité de plantes suffisante, cela suffira à éloigner les abeilles de la piscine.
Les abeilles se régalent du nectar des fleurs des arbres fruitiers et des légumes (notamment des fleurs de courges et de tomates) ainsi que des fleurs des plantes aromatiques (thym, romarin, menthe, sauge, mauve, verveine, marjolaine ou origan, camomille).
De nombreuses espèces dont la guêpe commune, la guêpe germanique et le frelon «vespa crabo» sont les plus connues. Ces guêpes rôdent autour des ruches. Elles coupent les abeilles en deux et partent avec l'abdomen pour nourrir le couvain.
Apifonda est une nourriture de qualité sous forme de pâte pour vos abeilles. Utilisable en toutes saisons, elle est particulièrement conseillée en hiver.
L'Apidou est un combustible 100% végétal qui a un effet apaisant sur les abeilles grâce à la fumée blanche qu'il dégage. Facile d'allumage, il rend le travail de l'apiculteur plus agréable de par son odeur plaisant et sa fumée qui ne pique pas les yeux.
Le principe est de mettre 1 part de sucre pour 1 part d'eau + 1 cuillère à soupe de vinaigre de cidre par Kg d'eau (pour la conservation et non pas pour l'hydrolyser mais aussi pour acidifier le mélange et faciliter l'assimilation par l'abeille).
Une reine fécondée possède un long abdomen qui contient les spermatozoïdes issus de ses accouplements. Une reine vierge peut être plus difficile à reconnaitre car son abdomen est moins développé. Il est également possible de reconnaitre la reine en observant le comportement des ouvrières sur le cadre de la ruche.
Les abeilles sont très nombreuses (plus de 40 000) ; les ouvrières élèvent alors des larves de reines. Peu avant la naissance des « princesses », la vieille reine quitte la ruche avec une partie des abeilles et crée une nouvelle colonie : c'est l'essaimage.
Le pillage se manifeste par une bataille sans merci autour des ruches. Il cause de nombreuses victimes au sein des abeilles assaillantes et des abeilles assiégées, avec possiblement des dégâts collatéraux dans la ruche (cadres déchiquetés...).