Le nombre de syllabes doit être respecté par l'auteur des vers.Si l'auteur emploie des mots qui rajoutent des syllabes, le vers sera faux.La particularité du décompte des syllabes d'une poésie concerne le « e » muet.Si le « e » muet est à la fin du vers, il ne se prononce pas et ne compte pas en tant que syllabe.Si le ...
Assemblage de mots, mesurés selon certaines règles (coupe, rime, etc.), rythmés d'après la quantité des syllabes, comme chez les Grecs et les Latins (vers métriques), d'après leur nombre, comme en France (vers syllabiques), ou d'après l'accentuation comme chez les Anglais et les Allemands (vers rythmiques).
Exemple : "La marguerite vient d'être cueillie." l'hexasyllabe est un vers de 6 syllabes, l'octosyllabe qui fait 8 syllabes. Exemple : "Tous les jours, les plantes poussaient."
Un vers comporte un nombre précis de syllabes. Pour compter les syllabes, il faut faire attention au "e" muet. Il compte dans un vers, quand il est suivi d'un mot commençant par une consonne. Dans un vers quand il est suivi d'un mot qui commence par une voyelle ou un "h" muet.
Construction d'un Alexandrin.
Un distique : Un distique est une strophe de 2 vers. Un quintil : Un quintil est une strophe de 5 vers. Un sizain : Un sizain est une strophe de 6 vers. Un huitain : Un huitain est une strophe de 8 vers.
On appelle alexandrins les vers de 12 syllabes, décasyllabes les vers de 10 syllabes et octosyllabes les vers de 8 syllabes. Une strophe de 4 vers est appellée quatrain, une strophe de trois vers tercet et une strophe de ... Les strophes plus courantes sont le quatrain (quatre vers) et le tercet (trois vers). ...
- une strophe de 2 vers s'appelle un distique - une strophe de 3 vers s'appelle un tercet - une strophe de 4 vers s'appelle un quatrain - une strophe de 5 vers s'appelle un quintil - une strophe de 6 vers s'appelle un sizain - une strophe de 8 vers s'appelle un huitain - une strophe de 10 vers s'appelle un dizain → Un ...
Construction d'un Alexandrin. Comment Appelle-t-on un poème à 16 vers ? Exemples : 16 poèmes ! La plupart des tercets se trouvent dans des sonnets ; rares sont les poèmes dont les strophes ne sont que des tercets, c'est pourtant le cas de La fileuse (de Paul Valéry).
Pour analyser un poème, il est nécessaire de maîtriser certains éléments de versification. Il faut toujours associer le repérage de ces procédés avec l'effet qu'ils produisent. C'est le nombre de syllabes du vers : un alexandrin est un vers de 12 syllabes, un décasyllabe un vers de 10 syllabes.
Une strophe composée de trois vers est un tercet.
Pour mesurer un vers (définir son mètre), on compte son nombre de syllabes. Les vers traditionnels sont tous pairs.
Pour déterminer le mètre d'un vers, on compte le nombre de syllabes. Ce vers compte 12 syllabes. Il s'agit d'un alexandrin.
L'accent tonique ou rythmique porte sur la dernière syllabe (ou l'avant-dernière quand la dernière comporte un e muet) d'un mot ou d'un groupe de mots. Chaque accent est immédiatement suivi d'une pause. Les coupes correspondent aux pauses faites dans le vers et délimitent les mesures rythmiques.
Un vers de trois syllabes est appelé trissyllabe. Un vers de quatre syllabes est appelé tétrasyllabe. Un vers de cinq syllabes est appelé pentasyllabe. Un vers de six syllabes est appelé hexasyllabe.
Elégie : (en grec : « dire hélas ») poème lyrique, caractérisé par l'alternance des hexamètres et des pentamètres, qui finit par se spécialiser dans l'expression des sentiments mélancoliques provoqués par un deuil ou un amour malheureux.
En poésie, le pied est l'unité rythmique d'un vers ou d'une phrase. Il en permet la scansion et comprend deux ou plusieurs syllabes dont les quantités s'opposent et/ou se subordonnent les unes aux autres et où les temps sont tantôt levés tantôt baissés.
Quand on scande un vers, c'est-à-dire quand on compte son nombre de pieds, on appelle le vers un mètre. Scander un mètre signifie donc compter les syllabes d'un vers. Exemples de scansion : Tes/yeux/sont/si/pro/fond/qu'en/me/pen/chant/pour/boir(e) J'ai/vu/tous/les/so/leils/y/ve/nir/se/mi/rer.
Le vers : la phrase poétique
On écrit avec un s final muet le nom qui désigne la suite de mots constituant une unité rythmique dans un poème. Un vers de douze pieds est un alexandrin. On retrouve le s final dans le dérivé versification, « technique du vers ».
On détermine le nombre de syllabes en comptant toutes les syllabes prononcées. Le ''e'' muet ne se compte pas s'il est suivi d'une voyelle ou d'un ''h'' muet. Il ne se compte pas non plus lorsqu'il est placé à la fin d'un vers (vers féminin). Ex : Une amie = 3 syllabes.