Le verbe bénir a deux participes passés et adjectifs : béni et bénit, qui, au féminin, donnent bénie et bénite.
Le mot «bénit» (avec un t) ne sert pas qu'à former la locution «eau bénite». On peut aussi écrire, par exemple, «un cierge bénit». Le terme «bénit», autrefois participe passé et adjectif, n'a vraiment plus que cette dernière fonction et son emploi se fait de plus en plus rare.
(Que) Dieu vous bénisse, souhait qu'on adresse parfois à quelqu'un après un éternuement.
Les autres laïcs, hommes ou femmes, en vertu du sacerdoce commun dont ils ont reçu la charge à leur baptême et leur confirma- tion, peuvent célébrer certaines bénédictions, avec les rites et les formules prévues pour eux, comme cela est indiqué dans chaque formulaire.
Grâce, faveur accordée par Dieu.
Il arrive que l'on mette un peu d'eau bénite sur les lèvres. Mais, en principe, elle ne se boit pas, contrairement à l'eau des sources ou des fontaines bénites. Un rituel qui n'est pas sans danger, mettent en garde les chercheurs, surtout pour les personnes dont le système immunitaire est déjà fragilisé.
Si vous souhaitez que votre maison soit bénie par un prêtre ordonné, invitez-le chez vous à bénir votre maison et il sera content de le faire. Normalement, le prêtre marche d'une pièce à l'autre, en éclaboussant de l'eau bénite. Alors qu'il marche, il récite des passages de l'évangile.
L'eau bénite est une eau naturelle consacrée au service divin par un rite de bénédiction. On peut y ajouter du sel, également béni (le sel bénit), qui rappelle le sel jeté dans les eaux par le prophète Élisée pour les guérir de leur stérilité. Elle sert aux aspersions des fidèles et aux diverses bénédictions.
Cette expression à forte connotation religieuse s'emploie généralement pour remercier le Ciel, ou Dieu, pour un bienfait concret ou abstrait. On loue le Divin pour ses actions sur Terre. Plus généralement, même les personnes non croyantes l'utilisent pour remercier le destin.
"Au cas où" sert à exprimer une éventualité. Cette locution soulève une hypothèse. Elle peut être employée seule ou introduire une proposition au conditionnel ou au subjonctif. Exemple : Prends ton sac, au cas où.
Mon Dieu, je vous offre mon cœur, mon esprit, mes pensées, mes paroles, mes actions, tout moi-même, pour ne servir que votre gloire. Je renouvelle les promesses de mon baptême. Mon Ange gardien, je vous remercie de m'avoir gardé pendant ce jour ; offrez à Dieu tous les battements de mon cœur pendant que je dormirai.
Saint Christophe, saint patron des voyageurs,protège-moi et conduis-moi en toute sécurité vers ma destination."
Les psaumes pénitentiels ou psaumes de confession est le nom donné aux psaumes 6, 32, 38, 51 (aussi appelé Miserere), 102, 130 (aussi appelé De profundis) et 143 car ils expriment la tristesse du péché.
Pour la rhumatologue nord-américaine Esther Sternberg, "l'atmosphère de compassion" qui règne à Lourdes peut "avoir un effet sur les émotions, et donc sur le cerveau". Cet effet peut produire "un changement dans le cerveau qui permet au corps et au système immunitaire de guérir".
On retrouvera le sel comme symbole d'une alliance dans le baptême chrétien. On partage le sel comme le pain. Cette communion, est le symbole d'un lien de fraternité. C'est ce qu'exprimait un proverbe latin datant du Moyen-Âge : Amicitia pactum salis qui se traduit par L'amitié est un pacte de sel.
L'eau bénite est un mélange d'eau et de sel. Elle doit être bénite chaque dimanche avant la grand'messe. Les fidèles en entrant dans l'église peuvent utiliser l'eau bénite qui se trouve dans un meuble de l'entrée appelé bénitier. Avec leurs doigts trempés ils font le signe de la croix.
La bénédiction paraît plus « efficace » que la grâce, d'abord parce qu'elle se manifeste physiquement : la corporéité et les sens sont impliqués comme lieux de médiation de la proximité de Dieu, en lien avec une parole personnellement adressée qui affirme ce qui est donné.
Acte rituel d'un prêtre qui, étendant la main sur les fidèles et prononçant une formule consacrée, appelle sur eux la protection divine, généralement en figurant le signe de la croix. Les fidèles reçurent la bénédiction du pape. Le pasteur donna sa bénédiction au catéchumène par imposition des mains.
Dans le judaïsme, une berakha ou brakha (héb.: ברכה; pluriel ברכות, berakhot) est une bénédiction, habituellement récitée à un moment spécifique, avant de réaliser une prescription, qu'elle soit d'origine biblique ou rabbinique, de consommer un mets, lors de retrouvailles avec un ami, etc.
Le cimetière et les tombes, lieux où reposent nos morts, sont sacrés aux yeux de l'Eglise. Nous prions à la fois pour ceux qui sont morts dans la paix du Christ et pour ceux dont Dieu seul connaît la foi. Aussi est-il de coutume que le jour de la Toussaint soit proposée la bénédiction des tombes après la messe.
Terminer votre prière
Une fois que vous avez dit tout ce que vous vouliez dire, terminez votre prière en disant : « Au nom de Jésus-Christ, amen ». Nous disons cela parce que Jésus est le moyen d'entrer en relation avec notre Père céleste et parce que toutes choses doivent être faites en son nom.
Les objets de piété que vous avez apportés à bénir expriment votre foi d'une certaine manière, car ils ont pour rôle de vous rappeler l'amour de notre Seigneur et d'augmenter votre confiance dans l'aide de la Vierge Marie et des saints.