Ne critiquez pas devant tous, cela aggraverait la gêne. Isolez-vous avec lui pour faire vos remarques et demandez-lui ce qu'il pense de son travail en toute objectivité. Enfin, demandez-lui ce dont il a besoin pour mieux faire. C'est cela, la critique constructive !
Faire du bruit à outrance
Pour vous venger, faites de même mais en pire : mangez des chips, faites mine de chercher un dossier en foutant le bordel sur votre bureau (et le sien s'il est à côté de vous), parlez fort si vous êtes en Skype en lui faisant croire qu'il s'agit de quelqu'un de haut placé, etc.
Au lieu d'être sur la défensive, exprimez ce que vous avez appris et la manière dont vous ferez les choses la prochaine fois. Une critique au travail ne reflète pas votre propre personne. Ne prenez jamais du feedback négatif comme une insulte à votre personne.
Evitez de réagir à chaud: les réactions immédiates se font dans l'expression d'une colère tournée vers l'autre, alors qu'en réalité, elle nous parle de nous. Prendre le temps d'écouter son message, c'est assurer que la critique exprimée sera la bonne, aussi préférez la réflexion au rôle surjoué de reine outragée.
Vous pouvez commencer ta critique par
Une phrase percutante du livre, une impression forte, ou simplement : « titre du livre » de « auteur » raconte …. Dans ce roman « titre du livre », l'auteur « donner son nom » raconte...
Si votre collègue vous adresse une remarque négative, l'ignorer n'est pas toujours la bonne solution. En effet, vous pouvez répliquer par des réponses ironiques qui vont rendre son agressivité complètement hors de propos. Vous pouvez également jouer la carte du strict contraire : être gentil, agréable, souriant.
La personne irrespectueuse cherche à vous mettre dans une position inconfortable et à révéler votre faiblesse. Ne lui donnez pas satisfaction et n'entrez surtout pas dans le conflit. Adoptez toujours un air serein, respectueux, aimable et poli face à lui, car cela va vite le désarmer.
En conclusion sur le collègue toxique
Il faut également poser des limites, et poser vos limites. Vos interlocuteurs doivent comprendre et accepter qu'elles sont infranchissables (et vos collègues toxiques aussi). Préservez-vous autant que possible. Surtout si vous êtes hypersensible.
Confrontez-vous à lui en tête à tête. Restez calme : en prenant le mors aux dents, vous ne feriez qu'ajouter de la crédibilité aux accusations. Dites-lui – même si c'est du bluff – que vous détenez la preuve qu'il propage des informations douteuses sur votre compte.
Évitez de participer aux commérages et prenez congé dès que vous pouvez. Partez du principe qu'un conflit avec un collègue toxique est perdu d'avance, et protégez-vous du combat frontal. Restez cordial et plus que jamais, faites appel à votre assertivité pour vous concentrer sur vos objectifs professionnels.
Pour qu'une critique soit constructive, son émetteur doit se concentrer sur l'action ou le comportement plutôt que sur la personne « fautive ». L'idée est de donner votre avis sur une situation passée en vue d'améliorer le futur.
I - Comment préparer l'écriture de la critique au moment de la lecture? Avant la lecture : Chercher des informations sur l'auteur pour anticiper sur ce qui est à lire ; Lire la quatrième de couverture et faire des hypothèses sur l'histoire ; Se renseigner sur la maison d'édition pour compléter ses hypothèses.
Face à un reproche, "si la critique semble légitime, vos justifications apaiseront sans doute votre culpabilité ; mais elles risquent fort d'agacer un peu plus la personne. Tâchez plutôt de vous excuser, et demandez-lui ce qu'elle attend de vous, ou ce qu'elle suggère pour améliorer les choses.
Les trois étapes pour faire une analyse critique
Il vous faut d'abord identifier les éléments qui le composent, comme le thème, la problématique, les concepts, la thèse ainsi que et les arguments utilisés par le philosophe pour soutenir celle-ci, selon la nature du texte analysé.
Avis critique.
Sens : Opinion défavorable. La critique est aisée, mais l'art est difficile Sens : Il est plus facile de critiquer que de créer quelque chose. Origine : Cette expression date du XVIIIe siècle.
La conclusion d'un commentaire composé commence par « En conclusion, » ou « Pour conclure, ». Elle reprend les idées que vous avez développées dans votre commentaire, selon le plan que vous aviez annoncé et que vous avez effectivement respecté dans vos parties. C'est le « bilan ».
On peut également passer par une forme de questionnement : « Je t'avais donné rendez-vous à 9 h 00 n'est-ce pas ? Cela fait 3/4 d'heure que je t'attends » (formuler une question est très utile car elle permet de bien vérifier si notre interlocuteur avait la bonne information. Cela évite les quiproquos).
Prendre du recul
La première règle est de ne pas réagir à chaud, sous le coup de l'émotion, en s'aidant éventuellement d'un réflexe "Stop". Se laisser du temps permet de prendre du recul pour mieux comprendre ce qui se joue et élaborer la stratégie la plus adaptée pour amener l'autre à changer.
L'écoute active. L'écoute active est utile lorsque ton interlocuteur te fait part d'un souci. Au lieu de lui donner toutes les solutions qui te passent par la tête, de minimiser son problème ou d'essayer de le raisonner, il s'agit tout simplement de l'écouter vider son sac.