Lorsque les symptômes apparaissent, il s'agit essentiellement de douleurs abdominales, d'une modification du transit intestinal et de la présence de sang dans les selles. Les douleurs abdominales peuvent être plus ou moins intenses, et très localisées ou, à l'inverse, diffuses.
Les principaux facteurs de risque de cancer colorectal sont l'âge supérieur à 50 ans, les maladies inflammatoires intestinales, un antécédent personnel ou familial d'adénome ou de cancer colorectal, une prédisposition génétique, la consommation excessive de viande rouge ou de boissons alcoolisées, le tabagisme, l' ...
Perte d'appétit. Douleur nouvelle et prolongée. Problèmes de vue ou d'audition. Nausées ou vomissements récurrents.
Certains cancers sont dits silencieux. Ils ne présentent aucun symptôme jusqu'à un stade avancé de la maladie. Le diagnostic est donc tardif, ce qui a un impact sur les chances de guérison. C'est le cas du cancer de l'ovaire et du cancer colorectal.
Un test sanguin qui permettrait de dépister la présence ou non d'une tumeur chez les personnes à risque. Il y a donc un réel besoin d'identifier de nouveaux marqueurs tumoraux qui pourraient aider au diagnostic et au suivi de l'efficacité des traitements.
Détecté à temps, lorsqu'il est encore limité à la surface interne du côlon et du rectum, ce cancer se guérit dans 90% des cas, selon l'INCa. Mais les chances de survie tombent à 70% lorsqu'il a atteint les ganglions proches et à 13% quand il touche déjà d'autres organes.
Cette proportion reste plus élevée chez les hommes (4,2 %) que chez les femmes (2,9 %). Elle augmente avec l'âge (de 3,5 % chez les hommes de 50-54 ans à 5,5 % chez ceux de 70-74 ans et de 2,7 % chez les femmes de 50-54 ans à 3,7 % chez celles de 70-74 ans).
À quel âge peut-on avoir le cancer du côlon ? Le risque de développer un cancer du côlon concerne essentiellement les personnes âgées : dans 9 cas sur 10, il est diagnostiqué à partir de l'âge de 50 ans, l'âge moyen au diagnostic est de plus de 70 ans.
des malaises abdominaux, tels des gaz intestinaux, des crampes ou des douleurs au ventre ; la sensation que les intestins ne se vident jamais complètement ou d'avoir constamment envie de déféquer ; une grande fatigue ; une perte de poids inexpliquée.
Des cellules cancéreuses peuvent se propager du côlon ou du rectum jusqu'à d'autres parties du corps. Cette propagation porte le nom de métastase.
Le cancer colorectal est une tumeur maligne de la muqueuse (paroi interne) du côlon ou du rectum. Le côlon et le rectum constituent ce qu'on appelle le gros intestin, c'est-à-dire la dernière partie du tube digestif. Environ 40 % des cancers touchent le rectum et 60 % le côlon.
Habituellement, le cancer du côlon évolue silencieusement, parfois des années durant, avant de provoquer le moindre symptôme. Lorsque les symptômes apparaissent, il s'agit essentiellement de douleurs abdominales, d'une modification du transit intestinal et de la présence de sang dans les selles.
Le cancer se manifeste de manière très variable. Il évolue généralement sur de nombreuses années, souvent sans occasionner de symptômes.
La régression spontanée d'une tumeur maligne peut s'observer en cas de cancer localisé mais également dans les formes métastatiques. En effet, la régression de métastases pulmonaires associées à un mélanome malin ou à un cancer du rein est un phénomène connu après traitement chirurgical de la tumeur primitive.
Le dépistage s'adresse surtout aux personnes à risque moyen. En effet, il est recommandé aux personnes de 50 à 74 ans à risque moyen (sans symptômes et sans autre facteur de risque) de passer un test de dépistage du cancer colorectal tous les 2 ans.
La perte de poids peut être liée au cancer lui-même mais aussi à ses traitements qui s'accompagnent souvent d'effets secondaires. Pour maintenir un poids stable, il faut un équilibre entre les apports et les dépenses c'est ce qu'on appelle « la balance énergétique ».
L'échographie permet de regarder à l'intérieur d'un tissu mou et d'y repérer des anomalies: malformations, tumeurs, caillots sanguins, etc. Guider une biopsie vers la zone suspecte. Mettre en évidence des métastases dans certains organes.
L'imagerie médicale
en première intention dans le dépistage systématique de certains cancers comme le cancer du sein par mammographie, pour confirmer ou infirmer un diagnostic, pour évaluer la sévérité de la maladie et affiner le diagnostic.
Le cancer colorectal est un cancer particulièrement dangereux car il est le deuxième cancer le plus mortel de tous, après le cancer du poumon (17 117 décès en 2018). Cela est en partie dû au fait qu'il touche un grand nombre d'individus (43 336 personnes en 2018).
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La technique de prélèvement est fiable et ergonomique. Elle limite la manipulation des selles. Indolore. Performant : ce test permet une détection des cancers et des lésions précancéreuses (polypes, adénomes).