La déclaration est à réaliser exclusivement en ligne, sur le site impots.gouv.fr, à partir de votre espace personnel. Rendez-vous dans l'onglet “Biens immobiliers” pour accéder au service “Gérer mes biens immobiliers”. Certaines cases seront déjà pré-remplies avec les informations connues de l'administration.
La déclaration s'effectue en ligne au travers du service « Gérer mes biens immobiliers » (GMBI), sur le site Internet Impots.gouv.fr. Souvent, la démarche se limite à valider les informations déjà connues de la Direction générale des finances publiques (DGFiP).
Cette déclaration est à réaliser en ligne, sur le service en ligne « Gérer mes biens immobiliers » à partir de votre espace personnel ou professionnel du site impots.gouv.fr impérativement avant le 1er juillet 2023.
Tous les propriétaires doivent s'acquitter de la déclaration de biens immobiliers avant le 1er juillet 2023. Pour effectuer cette déclaration, il suffit de se rendre sur le service en ligne « Gérer mes biens immobiliers » du site impot.gouv.fr.
Selon Bercy, cette déclaration, inscrite à l'article 1418 du Code général des impôts (CGI), sert notamment “à mettre à jour ses informations et à bien identifier les résidences secondaires qui restent soumises à la taxe d'habitation”.
Déclaration fiscale des biens immobiliers : identifier les biens taxables. Cette nouvelle procédure a pour objectif de vérifier si le ou les biens sont soumis à la taxe d'habitation, voire à la taxe sur les logement vacants. La non-déclaration expose à une amende forfaitaire de 150 euros par local.
Les propriétaires qui vivent dans leur logement doivent s'acquitter des impôts locaux : la taxe d'habitation, la taxe foncière sur les propriétés bâties et la taxe (ou redevance) d'enlèvement des ordures ménagères. À noter : Depuis 2018, la taxe d'habitation baisse progressivement pour l'ensemble des Français.
Appelé également titre de propriété, l'acte de propriété est un document qui prouve que vous êtes bel et bien le propriétaire d'un bien immobilier : un terrain, une maison, un appartement, un immeuble. Il s'agit d'un acte authentique, délivré par un notaire. On parle dans ce cas d'un acte notarié.
Les contribuables non connectés à Internet ou qui ne sont pas en mesure de déclarer en ligne peuvent se rendre directement à leur centre des impôts fonciers pour accomplir cette formalité, ou appeler le 0809 401 401 (appel non surtaxé).
Le Centre des Impôts Foncier (CDIF) ou Service des Impôts des Particuliers (SIP) en charge de votre taxe foncière sera destinataire d'un extrait de l'acte de cession signé chez le notaire. Il modifiera donc automatiquement et sans aucune intervention de votre part le redevable légal de la taxe foncière.
Cette déclaration peut être réalisée, dès aujourd'hui, depuis le service en ligne « Gérer mes biens immobiliers » à partir de l'espace sécurisé d'impots.gouv.fr. Pour faciliter cette nouvelle démarche déclarative, les données d'occupation connues des services fiscaux seront pré-affichées.
Vous pouvez avoir une seule résidence principale. Votre résidence principale est celle où vous avez votre principal établissement au 31 décembre de l'année de perception des revenus.
Perdre le titre de propriété peut s'avérer embêtant si vous avez des formalités administratives à réaliser ou que vous prévoyez de le vendre prochainement. Mais heureusement, il est tout à fait possible de demander un duplicata de votre attestation de propriété à votre notaire ou au service de la publicité foncière.
Titre de propriété : comment l'obtenir ? Le notaire va rédiger l'acte de propriété dans la foulée de la signature de l'acte authentique. Il va ensuite le faire enregistrer et le faire publier auprès du Service de publicité foncière (ex conservation des hypothèques).
Cette disposition s'applique sous certaines conditions : vous n'êtes pas assujetti à l'impôt sur la fortune ; votre revenu fiscal de référence ne doit pas dépasser 27 947 € pour la première part de quotient familial (plus 6 530 € pour la première demi-part supplémentaire et plus 5 140 € pour les autres demi-parts).
Les loyers exigés pour l'utilisation d'une habitation qui ne fait pas partie d'un immeuble résidentiel sont habituellement taxables, quelle que soit la période d'occupation, sauf si l'habitation est louée à 20 $ ou moins par jour.
Le nombre de pièces au sens foncier est différent du nombre de pièces communément utilisé par les agences immobilières (T1, T2, T3…). Il s'agit des espaces cloisonnés, destinés à être utilisés pour y séjourner, y dormir ou y prendre les repas (cuisine, salle de bain, chambre, séjour,...).
La valeur estimée de votre bien sera calculée à partir de sa surface au sol, quelle que soit la hauteur du plafond. Cette dernière prendra en compte les pièces principales de votre logement (chambre, salon, salle de bain, etc.) mais également les annexes (couloirs, entrées, rangement, etc.)
Indiquez simplement le montant de vos loyers ou fermages perçus en 2019 sur votre déclaration n° 2042 (case 4BE). Un abattement de 30 % (évaluation forfaitaire de vos charges) sera appliqué pour déterminer votre revenu imposable . Ne le déduisez pas, il sera calculé automatiquement.
Demande auprès du service de publicité foncière
Le service de publicité foncière est un service administratif et fiscal où sont enregistrés les actes notariés. Vous pouvez obtenir une copie de votre acte de propriété auprès du service de la publicité foncière dont dépend votre bien.
Seul un notaire peut effectuer un tel acte de vente
L'article 1369 du code civil dispose que l'acte authentique est celui qui a été reçu, avec les solennités requises, par un officier public ayant compétence et qualité pour instrumenter. Il s'agit des notaires qui sont des officiers publics et ministériels.
L'acte de vente certifie un transfert de propriété entre deux parties, tandis que le titre de propriété atteste la propriété légale de l'acheteur. Il constitue l'étape finale du processus et prouve que l'acheteur est le propriétaire légal.
Pour les personnes qui bénéficient d'un logement social, celui-ci doit obligatoirement être leur résidence principale. Ils doivent y résider au moins huit mois par an, sauf motif légitime. Le bailleur peut résilier le bail, mais sous certaines conditions.
Si vous avez quitté votre résidence principale pour entrer dans un établissement d'accueil spécialisé (maison de retraite ou centre de soins de longue durée), vous êtes exonéré de taxe d'habitation sur les résidences secondaires pour votre ancien logement.