RAPPEL ESSENTIEL : bien décliner est IN-DIS-PEN-SA-BLE pour donner un sens à la phrase. En russe il n'y a pas de déterminants et peu de prépositions pour savoir qui fait l'action, qui la subit etc. Par exemple : « Anton donne le téléphone à Mathieu » est parfaitement compréhensible en français.
Pour définir un nom et savoir à quelle déclinaison il appartient, on donne deux cas, son nominatif et son génitif puis son genre (féminin, masculin ou neutre). Pour toutes les déclinaisons, il faudra apprendre les cas au singulier et au pluriel. Il y a 6 cas : nominatif, vocatif, accusatif, génitif, datif et ablatif.
A l'accusatif, les masculins ne changent pas par rapport au nominatif, sauf s'il s'agit d'une personne. Pour les personnes, on ajoute un « а » à la fin pour les mots se terminant par une consonne, si le mot se termine par le signe mou « ь » ou par « й », on remplace cette lettre par « я ».
Il y a six cas en russe : nominatif, génitif, datif, accusatif, instrumental et prépositionnel.
Une prononciation quasi-impossible
La langue russe est une langue accentuelle, contrairement au français : l'accent tonique des mots russes se déplace d'une forme à une autre, rendant l'apprentissage ardu pour les élèves français.
Le baiser russe : en Russie lorsque deux personnes se rencontrent, elle s'embrassent sur les lèvres, la bouche fermée. Le smack n'est pas utilisé dans la sphère intime. Il s'agit d'un baiser cordial, symbole de paix.
L'accusatif s'emploie lorsque le groupe nominal est C.O.D. du verbe dans la phrase. Ex. : Ich rufe den Arzt.
Il s'utilise avec les verbes d'état (être, devenir, paraître, sembler, rester, avoir l'air), et répond à la question : Qui est-ce qui ? L'accusatif est relatif au COD (complément d'objet direct), et répond à : Qui/Quoi ? Le datif est relatif au COI (complément d'objet indirect), et répond à : A Qui/Quoi ?
Pour décliner ce mot, il nous faut un radical. Il vous suffit de retirer le dernier a du mot (fama) pour obtenir votre radical.
Un nom appartient à la première déclinaison quand son génitif singulier est en –æ, le génitif est la forme qui apparaît après le nominatif dans les lexiques : Cura, æ, f. = le soin. La voyelle caractéristique des noms de la première déclinaison est –a.
1 – один [odin] 2 – две [dve] 3 – три [tri] 4 – четыре [četyre]
Ces lettres représenteraient les districts militaires d'où proviennent les unités militaires : « Z » pour le district militaire ouest (Западный, Zapadny), « V » pour le district militaire est (Восточный, Vostotchny) et « O » pour le district militaire central (Центральный, Tsentral'ny).
Pour les noms masculins, der est utilisé, pour les noms féminins, on utilise die et l'article das est utilisé pour les noms neutres. Il est aussi important de comprendre que l'on donne un genre au MOT et non à la personne ou l'objet.
Le génitif est le cas du complément du nom. Il suit le nom qu'il détermine. La marque du génitif est identique pour : le masculin et le neutre : on utilise l'article "des".
Note d'usage : Comme beaucoup d'autres prépositions locatives, über est utilisé avec l'accusatif quand le verbe associé indique un mouvement et avec le datif si le verbe indique simplement une localisation sans mouvement.
L'accusatif marque le complément d'objet direct (COD). Celui-ci correspond en général à quelque chose qui est réalisé. Il devient habituellement le sujet de la phrase à la forme passive. Il est également utilisé après certaines prépositions.
À la différence du locatif, l'accusatif est là pour marquer un mouvement vers un objet ou un lieu. Il a mis le livre sur la table = Он положил на стол книгу. Il regarde le tableau = Он смотрит на картину.
En linguistique, l'accusatif (abréviation : acc ; du latin grammatical accusativus, « qui marque l'aboutissement de l'action »), est un cas grammatical exprimant le complément d'objet direct (COD), c'est-à-dire l'actant qui subit l'action exercée par le sujet d'un verbe transitif direct actif, dit aussi objet patient.
Plusieurs experts militaires ont expliqué à des médias britanniques que ce signe sert à distinguer les blindés russes des Ukrainiens, puisqu'ils sont souvent similaires. Cette méthode avait déjà été employée pendant la Seconde Guerre mondiale pour éviter des tirs alliés, tant au sol que depuis les airs.
Une origine russe, tartare ou saxonne
Avant un combat, les Cosaques criaient ainsi "Ura !". Cela venait très certainement du slave "huraj" que l'on peut traduire par "au paradis". En effet, le cri avant la bataille servait à obtenir l'accès à l'au-delà si les choses tournaient mal.
La France, le pays où on embrasse le mieux
Eh oui ! le fameux et célébrissime french kiss continue de placer la France sur la toute première marche du podium mondial.