Malicieux, malveillant, maussade, méfiant, menaçant, méprisant, modeste, moqueur. Narquois, noir, noyé. Oblique, observateur, offensant.
Regard : vif, aigu, perçant, scrutateur, vague, distrait, morne, éteint, inexpressif, soucieux, préoccupé.
Les yeux : noisette, noirs, vairons, verts, bridés, brillants, écarquillés, en amande, enfoncés, éteint, étincelants, exorbités, froids, globuleux, écartés, rapprochés...
C'est dans vos yeux que votre interlocuteur cherchera à deviner vos pensées. Dans notre société, avoir un regard profond est un signe de confiance et d'assurance.
Si quelqu'un vous regarde dans les yeux pendant trop longtemps, il se peut que cette personne mente. Afin d'éviter d'avoir le regard fuyant, certains menteurs font exprès de vous fixer du regard, ce qui met légèrement mal à l'aise.
Les interprétations possibles sont liées aux différents regards portés sur les évènements – ce qui se révèle particulièrement intéressant dans le cadre d'une didactique de la littérature. En effet, un texte littéraire ne se lit pas de façon littérale : il s'interprète.
Le mauvais œil est une croyance selon laquelle un regard, un éloge ou un compliment d'une personne à une autre aurait le pouvoir de faire peser une malédiction ou de la malchance sur cette dernière.
La théorie des cadrans est fausse
Il existe une théorie selon laquelle le mouvement de nos yeux nous trahirait quand nous mentons. On lui a même donné le nom de « théorie des cadrans ». A noter qu'il existe une variante où l'orientation gauche / droite dépendrait de si on est droitier ou gaucher.
Le regard charmeur, tout en détente et en profondeur, qui nécessite un contrôle parfait et sert à communiquer son attirance pour les autres avec subtilité. Le regard du prédateur ou du tombeur, très risqué, est utilisé pour communiquer un désir sexuel. Le look taquin est très populaire pour son côté ludique et joyeux.
Ses yeux s'emplissent de larmes / commencent à briller / se révulsent. Yeux écarquillés / baissés. Pupilles dilatées / regard lubrique. Son regard se voila / se perdit au loin.
Quelques conseils pour parvenir à lire dans les yeux d'une personne : il faut bien analyser les expressions du regard, les sourcils, les plis de la peau autour des yeux, la dilatation des pupilles et observer si les yeux regardent tout droit, dans le coin ou s'ils fuient le regard.
La colère. Le regard noir et insistant, les sourcils froncés, les lèvres pincées, les poings qui se serrent, les joues qui se gonflent légèrement si la colère est boudeuse, etc.
Le regard fuit par manque d'estime de soi ? Alors pour expliquer les raisons qui font que, parfois, notre regard fuit, il faut trancher entre la psychologie et les neurosciences. Pour les psy, il s'agit clairement d'un problème d'estime de soi : on n'ose pas regarder les autres car on a peur de leur jugement.
Quand le regard ou la voix parle, alors la parole se tait; quand le discours accorde, le chant refuse; quand le sentiment est le plus puissant, le geste est souvent le plus contenu. La timidité a ses oublis et la témérité ses regrets. Cette phrase de Henri-Frédéric Amiel contient 45 mots.
Commencez par un ou deux brefs coups d'œil.
Si vous êtes timide, commencez doucement avec quelques regards brefs. Si vous regardez une personne deux fois à la suite, cela exprime votre intérêt. Essayez de regarder brièvement quelqu'un, de détourner les yeux et de lui lancer un deuxième regard.
De nombreux articles de presse listent ainsi les "détails" qui permettent de confondre un menteur : le mouvement des yeux, le fait de se gratter le cou ou de lisser ses vêtements seraient autant de "signes révélateurs" d'un mensonge.
Les indicateurs fiables d'un mensonge
Lorsque le menteur s'exprime, son discours contient généralement plus d'hésitations, moins de mots, moins de détails contextuels, plus d'omissions. Ses réponses sont plus évasives, moins plausibles, moins structurées et manquent parfois de cohérences.
Par pudeur, peur du regard extérieur et du jugement, les timides ou les personnes n'ayant pas confiance en elles vont avoir tendance à éviter de regarder dans les yeux. Ainsi, il peut y avoir une sensation d'infériorité ou de puissance vis à vis de la personne qui nous regarde.
Le regard des autres nous intimide, nous impressionne, il influence nos opinions comme nos comportements. Il devient rapidement une sorte d'entité autonome – les Autres – dont l'œil impitoyable serait à l'affût du moindre manquement, du plus petit défaut, pour nous mettre ensuite au pilori, voire au banc de la société.
Peur de décevoir, peur d'être jugée, peur que l'on se moque de vous… Les raisons pour craindre le regard des autres sont multiples. Ces angoisses peuvent être aggravées par un contexte familial difficile, et faire resurgir un manque de confiance en soi qui remonte à l'enfance.
Au niveau du regard, ils peuvent s'exprimer par un ralentissement du clignement des paupières. Si initialement ce réflexe permet d'humidifier le globe oculaire, lorsqu'une personne ment, le clignement traduit l'émotion intense. Lorsque nous omettons la vérité, le regard peut également être fuyant.
regard mauvais ; regard furieux ; regard plein de colère ; gros yeux.