La responsabilité sociétale des entreprises (RSE) également appelée responsabilité sociale des entreprises est définie par la commission européenne comme l'intégration volontaire par les entreprises de préoccupations sociales et environnementales à leurs activités commerciales et leurs relations avec les parties ...
Au vu de la définition ci-dessus, nous pouvons voir que la RSE se caractérise par trois piliers : le pilier économique, le pilier environnemental et le pilier social. Ces trois piliers sont interconnectés, ils s'articulent entre eux et ne peuvent fonctionner l'un sans l'autre.
Les actions mises en place visent à favoriser la qualité de vie au travail, à encourager le dialogue dans un cadre de travail serein. La RSE intègre également des valeurs en matière d'égalité, de non-discrimination et de juste rémunération au sein de l'entreprise.
Quels sont les 3 piliers de la RSE ? La responsabilité sociale des entreprises est un concept large qui peut prendre de nombreuses formes selon l'entreprise et le secteur d'activité. La RSE est souvent divisée en 3 catégories : les impacts environnementaux, la responsabilité sociale et les responsabilités économiques.
Ainsi, la RSE est défini comme « la responsabilité d'une organisation vis-à-vis des impacts de ses décisions et activités sur la société et sur l'environnement se traduisant par un comportement éthique et transparent qui : Contribue au développement durable, y compris à la santé et au bien-être de la société
ISO 26000 est en cela en phase avec la définition de la Responsabilité Sociale des Entreprises (RSE) telle qu'elle a été définie en 2001 par l'Union Européenne. Bien souvent, la norme ISO 26000 est au coeur de la stratégie RSE des entreprises.
La contribution au développement local ; Les relations et conditions de travail ; Les bonnes pratiques des affaires ; La protection des consommateurs.
Cette loi PACTE rend obligatoire pour toutes les entreprises la prise en « considération des enjeux sociétaux et environnementaux de son activité » (Article 1833 du Code Civil).
Le référentiel a deux objectifs principaux : Accompagner les entreprises de la filière logistique dans une démarche de responsabilité sociétale, et tout particulièrement les TPE, PME et ETI.
Les méthodes d'analyse et de reporting RSE sont trop peu développées. Lorsque les entreprises sont prêtes à s'engager dans des démarches RSE, elles se heurtent au manque d'outils pour mesurer l'impact social et environnemental de leurs activités. Il existe en effet de nombreuses pratiques de reporting et d'analyse.
Ces 3 piliers RSE sont : économique, social et environnemental. C'est sur ces axes que la stratégie de développement durable d'une entreprise va se baser et à partir desquels les plans d'action vont être créés.
Sociale : ce sont les relations avec les personnes dans l'entreprise, mais aussi à l'extérieur. La dimension sociale représente le facteur Humain. Environnementale : Comment l'entreprise impacte t-elle sur l'environnement ?
Qu'est-ce que la Norme ISO 26000 ? La Norme ISO 26000, mise en place par l'Organisation internationale de normalisation (ISO : International Organization for Standardization), est une norme internationale qui pose les bases de l'application de la responsabilité sociétale au sein des organisations.
Le pilier économique : une entreprise RSE soutient l'économie locale en se fournissant auprès d'organismes locaux dans la mesure du possible et en investissant dans sa région. Elle fait aussi preuve de transparence auprès de ses investisseurs et de ses clients.
La Commission Européenne, qui élabore la réglementation en matière de RSE au niveau européen, définissait d'ailleurs en 2001 la RSE comme « l'intégration volontaire des préoccupations sociales et écologiques des entreprises à leurs activités commerciales et leurs relations avec leurs parties prenantes ».
La RSE toujours confrontée à des freins
Les directions RSE sont également confrontées à un manque de ressources humaines, freinant leurs actions. Autre problématique : le besoin de méthodes ou d'outils pour évaluer l'impact ou le ROI des actions RSE. L'engagement des salariés est quant à lui un élément qui divise.
Reporting RSE : qui est concerné par l'obligation ? Les SA sont les principales sociétés concernées dès lors que leur total bilan ou CA et leur effectif dépassent les seuils suivants : 20 millions d'€ de bilan ou 40 millions d'€ de CA et 500 personnes pour les sociétés cotées.
La RSE devrait, dans un avenir plus ou moins proche, tendre vers un renforcement de la gestion des données détenues par les entreprises en incitant ces dernières à former aux enjeux du numérique les dirigeants, salariés et autres acteurs de l'entreprise.