Le pouvoir c'est la capacité dévolue à une autorité ou à une personne, d'utiliser les
Comme substantif, le pouvoir désigne soit la capacité naturelle et la possibilité matérielle d'accomplir une action, soit l'exercice d'une autorité et, par extension, l'institution qui exerce cette autorité.
L'autorité, qui vient de « auteur », est la faculté qu'a l'auteur d'être écouté, obéi, ce qui nous mène tout droit vers l'autorité morale, l'autorité du symbolique. Alors que le pouvoir nous mène de son côté vers la puissance, être capable de, soit ce qui précède l'acte.
Autorité, puissance que détient une personne, moyens d'action de quelqu'un sur quelqu'un ou sur quelque chose.
Les trois pouvoirs définis par une Constitution sont le pouvoir exécutif, le pouvoir législatif et le pouvoir judiciaire. La Constitution organise leur rôle mais aussi les liens qu'ils entretiennent, notamment la manière dont ils se contrôlent les uns les autres.
Les 5 sources de pouvoir personnel et fonctionnel. Le cadre établi par les psychologues sociaux John French et Bertram Raven dans les années 1950 définit cinq sources de pouvoir : la légitimité, l'expertise, la coercition, les récompenses et l'influence.
L'autorité correspond au droit de pouvoir commander, d'être obéi. Elle implique les notions de légitimité, de pouvoir, de commandement et d'obéissance. Mais le mot de commandement est trop lié à l'armée, et l'obéissance rappelle trop notre enfance.
Le pouvoir est une façon de faire avancer le monde et ne se transmet que s'il ne sert plus à celui qui le détient dans l'objectif du bien commun.
1. Pouvoir de décider ou de commander, d'imposer ses volontés à autrui : Affermir, perdre, rétablir son autorité.
Élaborée par Locke (1632-1704) et Montesquieu (1689-1755), la théorie de la séparation des pouvoirs vise à séparer les différentes fonctions de l'État, afin de limiter l'arbitraire et d'empêcher les abus liés à l'exercice de missions souveraines.
Principe politique selon lequel les fonctions des institutions publiques sont divisées entre le pouvoir législatif qui fait les lois, l'exécutif qui les met en oeuvre et les fait appliquer, et le pouvoir judiciaire qui les interprète et les fait respecter.
Mise en œuvre afin de limiter l'arbitraire et d'empêcher les abus liés à l'exercice de la souveraineté, cette doctrine, élaborée par Locke (1632-1704) et Montesquieu (1689-1755), est au cœur de l'organisation actuelle des institutions françaises.
En ce sens, l'autorité peut être perçue comme une influence allant de haut en bas (Allan et Porter, 1983). Selon l'analyse stratégique (Crozier et Friedberg, 1977), l'autorité est la confiance que l'on fait à quelqu'un, qu'il soit dans une position hiérarchique ou non, et dont on suit l'ordre ou le conseil.
Alors que le terme « pouvoir » désigne assez clairement la domination d'un groupe sur un autre (pouvoir sur), celui de « puissance » évoque la plénitude d'une réalité qui accomplit dans son être tout ce qu'elle peut être (pouvoir de).
art, capacité, compétence, don, faculté, possibilité, puissance.
Attribut de Dieu signifiant que rien de ce qui est ou pourrait être n'échappe à sa création et à son pouvoir. Le pouvoir de Dieu est différent du pouvoir des puissants de ce monde. L'homme est limité dans le temps, Dieu est Tout Autre, il est hors du temps.
Tout ce qui est de l'ordre de la puissance relève de Dieu, au point que si nous croisons, rencontrons un roi ou un président, quelqu'un qui détient le pouvoir, nous récitons une bénédiction : « Source de bénédiction sois Tu Seigneur, Toi qui a donné de Ta gloire – c'est-à-dire de Ton pouvoir - à un être humain ».
Examinons maintenant les sources du pouvoir les plus communément évoquées. La possession des moyens de sanction (récompense et punition). La compétence humaine du chef (la possession d'aptitudes exceptionnelles). La légitimité.
L'autorité peut être attachée à la fonction (représentant de l'Etat, prélat...), mais elle peut découler de la capacité individuelle. Le chef d'une Eglise, le roi ou le père de famille ont incarné ce pouvoir dans les sociétés anciennes et modernes.
L'autorité naturelle serait à rapprocher du « droit naturel », soit de la marque sur l'être humain des effets du langage et de la parole. Le rapport que quiconque entretient avec cette marque, la façon dont elle s'est inscrite, la lecture qu'il va en faire conditionnent ses rapports au monde.
« Le pouvoir légitime est la perception qu'une personne a le droit formel d'énoncer ses exigences et de s'attendre à ce que les autres s'y soumettent et obéissent. »
Avoir du pouvoir sur les autres, c'est les influencer dans le bon sens. Et pour posséder ce pouvoir, mieux vaut penser et parler d'une manière saine, confiante et humble. Exprimez-vous avec authenticité et cœur, c'est ce qui inspire l'action des autres.
Qui contient le droit de coercition, c'est-à-dire le pouvoir officiel d'obliger, de contraindre quelqu'un à faire (ou pas) quelque chose. Exemple : Une mesure coercitive. Qui se rapporte à la propriété de résister, de repousser l'aimantation. Cette propriété appartient généralement celle de l'acier ou du fer.